Dee Jill, JillCorro, JillDeckoro etc...
CorroTestoZoides.
Edit de DeeJilll le 18.06.2009 : Pour du son récent, ben faut vous bouger les fesses quand je joue en soirée ^^
Un jour viendra, ou peux être une nuit, ou je mettrais un mix récent, mais pour ça faut commencer par s'enregistrer et c'est pas un truc naturel. Avis aux organisateurs de soirées, enregistrez moi et je mettrais les mixs ici :þ
(Dé)formé à la musique par le piano (classique) dans son enfance (1er prix à un concours), il commence à enchainer des vinyl vers l’age de 10 ans. Il improvise dans sa chambre une mini boîte de nuit avec jeux de lumières et collection de 45 tours du moment, animant ainsi les partys de l’époque.
A la fin des années 80 il enchaîne hip-hop, rock 70, variétés internationales pour des soirées étudiantes et pour des partys privées le week-end.
C'est vers 1986 encore au collège, qu'il rencontre Hubert en classe de quatrieme avec qui il fera les 400 coups. Ecoutants tous deux les Bérus ( Béruriers noirs ) Gilles le surnomma naturellement Béru. 21 ans après, c'est resté et sieur Hubert officie maintenant dans les soirées Test. Quand ils se retrouvent 20 ans après, c'est forcement autour de l'électro (au sens large) que ça se passe.
(CQFD, Gilles a dorénavant rejoint le Test crew en 2008)
En 91 il fait des études de Photographie avec le dj house Rork qui essaye de l’entrainer aux soirées Space du Rex et de le convertir a la House vocale (trop fluffy pour lui !
).
Mais c’est en 92 qu’il commence à vraiment s’intéresser au mouvement Techno. D’abord dans les clubs Parisiens, avec la Techno et la Hard-House, puis à la Techno dure avec les raves sauvages des fameux Spiral Tribe à Berlin en 93, les premiers Teknivals de Fontainebleau, les afters du pont de Tolbiac les dimanches matins, ainsi que les grosses raves du Bourget... C’est peu de temps après qu’il commence à devenir DJ à travers le son Acid de la Roland TB 303, dans une variété de son éclectique, puisque mixant de la House au Hardcore dans une sonorité toujours â€wicked“.
C’est en 95 qu’il crée le Corrosive Sound System . Dès la première soirée (plateau avec Manu le malin et Torghull) est affichée une volonté de réaliser des soirées à mi-chemin entre l’officiel et la Free, tant de par la programmation que par les moyens techniques engagés, notamment au niveau projections visuelles. La soirée de 1997 à Survilliers-fosse près de Paris qui a rassemblé environ 5000 personnes est gravée dans les mémoires en partie grâce au reportage sur la techno d’envoyé spécial (France 2).
Jill joue les outsiders en mixant de la techno américaine et de la jungle/drum’n’bass en Free. Il invite d’ailleurs dj Sree en 1996 (dévastated season) lors d’une soirée à Gretz (77).
En 2000 et 2001, Technoplus Paris fait appel à lui pour animer son atelier mix où il guide les dj’s en herbe. En effet, sa technique des Technics (platines vynil) est reconnu des initiés.
DJ agile, Jill joue dans les soirées officielles avec nombre d’artistes réputés de la scène Techno et Drum’n’bass, pour les plus connus : Jamalsky, Miss Ficel, Elisa do Brasil, Le Lutin, Ben, Aphasia, Jean Yves Leloup, John Thomas, Crystal Distortion, Tuttle, Kraft, Ascender, Manu le malin, Thorgull, Jeff (sp 23), Oxya, Radium, 69DB, Noisebuilder, Tonio, D’Julz, Chaotic Ramses, Stephanovitch, Laurent Ho, Scan-X, Sex Toy (RIP) pour les plus connus, et dans la plupart des clubs de Paris (Batofar, Peniche concorde, Rex-club, Gibus, Locomotive, Glazart, etc…) et de navarre ainsi que des radios dont FG…
Pour les free, désolé, la liste serais trop longue.
Jill est un anticonformiste qui aime à rompre les frontières musicales en incorporant ses influences multiples : accidents sonores controlés, électronique, percussions, hip-hop, jazz, ragga-hip-hop, dance-hall, dub, abstract hip-hop, musique du monde…
Le leitmotiv : dancefloor or die & Keep it real !