Pierre Kaspar débute aux platines en 1996, après s’être confectionné une discothèque métissée. Attiré au début par deux courants massifs, le hip hop et la techno, l’éclectisme deviendra son credo. La diversité de ses sets ne cessera de s’émanciper, collant à l’évolution de la musique électronique, et fouillant les racines jazz.
Désormais, Pierre Kaspar navigue dans les méandres abstract hip hop, electrojazz, electronica (douce ou barrée), et les styles à beat dancefloor comme la drum&bass, l’electro et la house. Il agrémente ses sets de scratchs modernes et de bandes sons délirantes, tirées de documentaires.Il s’est produit partout à Dijon (l’An-fer, la Vapeur, le Tribu Festival, l’Espace Grévin, l’Usine, l’Atheneum, le B’@rt, le Rio, le Brighton, l’Antrepots, Le 88club…beaucoup sont fermés, snif), à Nantes aussi (la Route du Rhum, le Purgatoire, Radio Prun’), à Beaune (Le bout du Monde, Goog parties), à Paris (le Batofar) et dans quelques festivals Printemps de Bourges, Montreux Jazz Festival, Generic. Enfin, il anima pendant plusieurs années l’émission « Eklectik » sur Radio Campus Dijon.
Son utopie : incarner un hybride de Gilles Peterson et Q-bert.
