About Me
Stereotypical Working Class ou l histoire de cinq jeunes musiciens amricains partis de rien, qui ont reussi a se faire une place dans le coeur des francais. L aventure debute en 1999 a Bakersfield, Californie, lorsque Jefferson Flambers (guitar), Peter Money (guitar), Steven Brex (bass) et Invisible Man (drums) forment un groupe de musique pour etre copains dans la vie. Tres vite le groupe s apercoit qu il manque une piece a leur puzzle. Apres plusieurs tentatives toutes aussi infructueuses les unes que les autres, ils en arrivent a la conclusion que la recherche d'un chanteur est finalement la priorite numero 1 du moment. Au diable le puzzle, ils auront tout loisir de le terminer plus tard. C est ainsi que Thomas Wolf (vocals) devient la voix du groupe quelques jours plus tard. Un soir, alors qu'ils avaient bu beaucoup d'alcool, les jeunes americains stereo WC rencontrent au comptoir d' un bar branché de L.A un producteur appelé communément JordanMaster ( ancien producteur de X converti dans la production metal hardcore ). Séduit par les calembours incessants du groupe et leur sens de l'improvisation hip hop, il leur fait faire une premiere démo qui fait en quelques semaines l'unanimité sur toutes les radiocampus des états unis. C'est le début de la consécration. Puis, sous la pression des plus grosses Majors, il enregistre et réalise leur 1er album qui se vendra a plus de 4 millions d'exemplaires. Desormais aussi inseparables que les doigts de la main, les cinq amis decident aussitot de partir en France, le pays du rock n roll, tenter leur chance avec seulement 2 dollars en poche selon la legende. En deux temps trois mouvements, le groupe obtient la nationalité francaise et s installe du coté de Lyon, Rhone-Alpes. Quelques temps plus tard et un changement d'etat civil en poche, Martin (chant), Christophe (guitare), David (guitare), Bertrand (basse), Olivier (batterie) font la connaissance de Bob, le chanteur de Watcha, qu ils invitent sur un de leurs morceaux, le denomme ci-apres "Illusion" qui figurera sur leur premier maxi 4 titres eponyme (avril 2001 - Musicast). Aussitot, la presse s'empare de l'affaire et ne tarie pas d'eloges quant a cette nouvelle trouvaille en provenance des Etats-Unis ("Il y a parfois des noms quon peine a retenir" Rock Sound, Mai 2001). Malheureusement, une scission au sein du combo amricano-lyonnais intervient un matin d'avril 2002 : Olivier decide de quitter l'aventure juste avant que les Stereotypical n'entrent en studio pour enregistrer de nouveaux tubes. C'est l'incroyable Aymeric Moneste (Silmarils) qui le remplace au pied leve. Le disque, egalement intitule "Illusions" (mais attention, avec un "s" cette fois-ci, pour ne pas confondre avec la chanson du meme nom), qui comprend les quatre morceaux du maxi ainsi que quatre nouveaux titres et un bonus cach (un detail assez important pour etre souligne) sort quelques mois plus tard la plus grande joie de leurs familles, amis et collgues de bureaux (fevrier 2003 - Next Music). Dans le meme temps, Benjamin un percussionniste en free-lance de la region lyonnaise anciennement connu sous le patronyme de Murdock, est curieusement lui aussi la recherche d'un chanteur, d'un bassiste et de deux guitaristes. Les Stereotypical Working Class se forment donc pour la deuxime fois avec la clef une amitie encore plus forte qu'auparavant. L'alchimie fonctionne du tonnerre et les talents vocaux de Martin ne laissent pas indiffrents les parisiens de Pleymo qui insistent pour que ce jeune loup quelque peu fougueux pose sur la chanson "Star FM'R" tire leur album succes Episode 2 : Medecine Cake. S'en suit une tourne des stades en compagnie des plus grands noms de la nouvelle scne rock franaise parmi lesquels AqME, Lofofora, Mass Hysteria, Eths, Stupeflip, Enhancer, j'en passe et des meilleurs (mais moins connus) Pour finir l'annee en beaute, l'institution d'envergure nationale qu'est le FAIR accorde sa benediction au groupe en le slectionnant suite a une candidature rondement mene. La boucle est bouclee. Merci. Bonsoir. Un an apres, la joyeuse bande part s'installer un mois aux Studios Impuls chers au fabuleux producteur, et nanmoins belge, Stephan Kraemer (Pleymo, Watcha, etc.). Le mastering est ensuite confi aux mains expertes du fantastique Jean-Pierre Bouquet (plus ou moins tous les groupes de rock de ces dix dernires annes). Aujourd'hui arms d'un album de classe mondiale au titre enchanteur (Sans Repres), les Stereo sont dfinitivement prts faire parler la poudre aux quatre coins du pays. Preuve d'une volonte d'intgration toujours plus grandissante au fil des annees, le groupe fait desormais la part belle a la langue de Molire dans ses textes, non sans reussite d'ailleurs ("Silence", "Si j'en sors", "Sans Repres", "Lucide"). Enfin, signe de temps, l'album atterri dans les bacs le 24 mars 2006. Et ca, c'est quand meme le plus important.
Guillaume Fouque (Rock Sound)
Note : Les personnages et les situations de cette biographie tant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existes ne saurait etre que purement fortuite.Le métal by SWC
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