The Yvette H. Psychomotor Xmas Porno Orchestra

si Yvette H. avait été un chien elle aurait aiméManger des fraises dans un cinema Porno en s'imaginant que Dieu(x) est amour Laisser tourner & rugir le moteur de son ame comme si sa vie en dependait mais la vie tient a si peu de choses n'est-ce pas !? faire tenir un double bourbon en equilibre sur le bout de sa queue en matant droit dans les yeux a la first mome solitude qu'elle serait parvenue a mettre sur orbite Ne jamais dire je suis mais je ne puis pas etre autrement que tel que je suis ici & maintenant Tourner 7 fois sa langue dans la chatte des filles avant de se mettre a rever d'amourmais Yvette H. n'est pas un chien tout le monde sait ça & c'est très bien comme ça Yvette H. est un arbre dans la ville Yvette H. est une petite fille à fleur de peau Yvette H. est une nuit d’ivresse entre tes seins Yvette H. est un assassin sur mesure payé pour te faire jouïr Yvette H. est un crash sentimental au saut du lit Yvette H. est une révolution camping sur toi-même Yvette H. est un couple illégitime à elle toute seule Yvette H. c'est LA fracture sociale chute des corps fleurs & boue racine du mal monde perdu voie sans issue étoile filante reine des viaducs écrin de choix voyage de la pensée reine du Show Bizzzz volupté mécanique écorchée vive plaie ouverte internement par défaut ligné brisée sacrifice annoncé téléphone rose ligne de front héros malgré elle jungle fever chuchotement tiercé gagnant trio tragique traqueuse de scoop colère des juges tête d’affiche fantôme de Garbo mais qui donc est Yvette H. ???

PIZZA A LA COCAINE : YVETTE H. MISE A LA DISPOSITION DU PARQUET

Gouy-lez-Piétons. Mardi, vers 20h30, une patrouille de la police de Gouy-lez-Piétons a découvert 110 grammes de cocaïne sur une femme interpellée dans une voiture garée en face de la gare. La dénommée Yvette H., membre d’un groupuscule anti-mormons de la région, s’est défendue en affirmant que la poudre blanche était une épice pour accomoder les pizzas & a proposé qu’on lui coupe la tête si elle mentait. L’analyse du produit a confirmé qu’il s’agissait bien de cocaïne. La susmentionnée Yvette H. a été mise à la disposition du parquet.

YVETTE H. FAIT DE LA PATISSERIE : INTOXICATION DE 4 GARDIEN(NE)S A LA PRISON DE GOUY-LEZ-PIETONS

Quatre gardien(ne)s de la prison de Gouy-lez-Piétons ont été hospitalisés avec des symptômes d’intoxication après avoir goûté à un gâteau contenant de la drogue, préparé par une détenue fraîchement incarcérée.

Deux hommes & deux femmes ont été transportés d’urgence au CHU de Gouy-lez-Piétons avec des maux à l’estomac après avoir mangé une patisserie fourrée avec des stupéfiants, selon une source non identifiée de la maison d’arrêt.
La directrice-adjointe de la prison a confirmé que le gâteau en question avait été préparée par une détenue, Yvette H, incarcérée il y a quelques jours à peine pour détention de ... stupéfiants.

Les collègues des gardien(ne)s malades sont sous le choc. "Nous n’avions jamais connu une agression aussi violente, a déclaré l’un d’entre eux, c’est une attaque contre tout le modèle pénitentiaire & la tradition selon laquelle gardiens & prisonniers se cotoient de manière informelle, voire amicale."

Suite à cet incident, la direction de la prison a décidé que les gardien(ne)s n’accepteraient plus de gâteaux, petits pains & autres friandises préparés par les détenues.

Quant à la dénommée Yvette H., elle a été mise à l’isolement en attendant qu’une décision soit prise la concernant.

Impliquez-vous, signez la pétition pour la libération de Yvette H.

EVASION AMOUREUSE AU CENTRE PENITENTIAIRE "ARBEIT MACHT FREI" DE GOUY-LEZ-PIETONS (DEPÊCHE AGENCE FUCK PRESS EN DATE DU 13.05.08)

La dénommée Yvette H., détenue à la prison de Gouy-Lez-Piétons, pour des faits liés au trafic de stupéfiants, s’est évadée dans le courant de la nuit de dimanche à lundi avec la complicité d’un gardien, Raymond Crépu dit « Raymond le Maton », avec lequel elle entretenait, paraît-il, une relation amoureuse depuis plusieurs mois déjà. La directrice de la prison s’est refusée à commenter l’incident.

Les deux individus étaient toujours activement recherchés ce mardi matin.

COCAINE AU PARLEMENT

Cocaïne au Parlement - Lors d’un test effectué au Parlement, la police a trouvé des traces fraîches de cocaïne dans les toilettes du Parlement wallon. Une enquête aura lieu au plus vite, déclare la police. (POL)

MAIS QUE FAIT YVETTE H. ?

PARIS (Reuters) - Un agent de La Poste grièvement blessé par l'explosion dans la nuit de mardi à mercredi de l'engin qu'il manipulait est peut-être l'auteur d'attentats contre des radars automatiques en Ile-de-France, apprend-on auprès de sources policières.

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L'homme d'une trentaine d'années a eu les mains arrachées par l'explosion, qui s'est produite vers minuit dans l'appartement qu'il occupe dans un immeuble de La Poste, où résident d'autres postiers, à Clichy-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine.

Il se trouvait à l'hôpital en fin de matinée dans "un état critique", selon une source judiciaire. Il est dans le coma, selon une source policière.

Il a eu le temps de dire aux secours, avant d'être hospitalisé, qu'il faisait partie d'un "front antiradars", a-t-on précisé de mêmes sources.

Selon une source policière, les enquêteurs ont trouvé dans l'appartement du matériel permettant de fabriquer des engins explosifs du même type que ceux qui ont été utilisés depuis un an contre une douzaine de radars automatiques dans l'Oise, le Val d'Oise et les Yvelines.

Certains de ces attentats ont été revendiqués par une mystérieuse "Fraction nationaliste armée révolutionnaire" (FNAR), qui a adressé deux courriers au ministère de l'Intérieur en septembre et octobre et un autre en mars à l'hebdomadaire Paris Match.

Dans ces courriers, la FNAR réclamait quatre millions d'euros, l'expulsion de tous les sans papiers, la suppression des radars automatiques et une baisse des impôts.

"Nous sommes quasi certains que cet homme fait partie du FNAR", déclarait mercredi une source policière.

Ces dernières semaines, les policiers privilégiaient l'hypothèse selon laquelle les explosions pouvaient être l'oeuvre d'une seule et même personne.

Un autre habitant de l'immeuble, lui aussi agent de La Poste, a cependant été placé en garde à vue.

Des témoins l'ont vu, menotté et visage masqué, emmené par des policiers de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire, qui avaient également saisi un ordinateur.

Après l'explosion, un périmètre de sécurité a été mis en place autour de l'immeuble qui a été évacué. Les démineurs ont inspecté l'appartement. La police technique et scientifique a pris le relais.