lecube ne se sépare jamais de cette vieille guitare italienne qu'un ami lui a laissée le temps d'une vie dans les îles.
lecube chante les hommes qu'il aimerait être et les femmes qu'il aimerait aimer.
il chante aussi l'inverse
et le reste.
Des histoires qu'il glane au hasard des lits défaits, des quartiers résidentiels, des chambres de jeunes anxieux et des sentiers odorants des sous bois de sa campagne tarnaise.
une musique
PRISME
la rugosité des sons se mêle in extremis à la douceur de mélodies boîteuses, aux harmonies boisées qui parfois se tendent jusqu'à se rompre...crac.
lecube
rêve
d'un retour au mythe, à la magie de la musique d'oreille. Il construit dans son atelier désert des anamorphoses tendres et violentes qui nécessitent une écoute rasante pour que se libère une musique dont la seule facilité réside dans la crudité des arrangements, le refus de l'artifice et de l'édulcoration.