Album "GHANA FENOU" disponible dans tous les bons bacs de France depuis le 25 Mai
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EL HARRACHI au FESTIVAL "LES ORIENTALES"
envoyé par KAMSAMSO
KAMEL IS THE OLDEST SUN OF THE ALGERIAN MASTER OF CHAABI,POPULAR SINGER "DAHMANE EL HARRACHI" (1925-1980), HOW IS THE ORIGINAL AUTHOR AND COMPOSER OF THE INTERNATIONAL HIT "YEAH RAYAH" (COVERED BY RACHID TAHA IN 1998)
FIRST ALBUM OUT IN FRANCE MAY 25Th, STAY HAVE A LOOK HERE FOR FURTHER INFORMATIONS
PREMIER ALBUM "Ghana Fenou", HOMMAGE A DAHMANE EL HARRACHI, SORTIE NATIONALE PREVUE LE 25 MAI 2009, EXTRAIT EN ECOUTE SUR LE PLAYER MYSPACE .....
Kamel El Harrachi - Dzair
envoyé par radio_dz
BIOGRAPHIE
De loin comme de près, Kamel ressemble à Dahmane El-Harrachi le créateur, de Ya Rayah, (devenu tube planétaire grâce à sa reprise par Rachid Taha) dont il est bel et bien le fils aîné.
Né en Algérie en 1973, Kamel n’a eu de cesse depuis son enfance, de marcher sur les traces de son pèreOuvert sur d'autres styles, il ne se lassait pas d'entendre d’autres figures emblématiques du chaâbi, genre citadin populaire jailli de la casbah d'Alger dans les années quarante, comme Hadj M'rizek, el-Hachemi Guerouabi, Amar Ezzahi ou Bouadjadj pour mieux s'imprégner de leur art.
En 1991, Kamel prend le nom d’El-Harrachi pour perpétuer sa mémoire, enregistre sa première cassette chez Afric-Audio à Douéra, dans l’Algérois, où l’on peut se délecter de deux titres inédits de ce dernierCe garçon aussi discret qu’efficace a presque le même jeu de mandole que son père, mais une voix moins rocailleuse.
En 1994, il s’exile à son tour en France et commence par se produire tout comme son père, dans les cafés parisiens, pour finir sur des scènes telles que le Printemps de Bourges.Il poursuit, loin de tout tapage, une carrière musicale qui fait les délices de tout un public.
Depuis quelques mois, il a, enfin, repris le chemin des studios.On peut imaginer l’impatience de ses nombreux inconditionnels, tant son talent, sa maîtrise instrumentale et sa bonne tenue scénique sortent de l’ordinaire. En plus, il excelle dans tous les modes chaâbi.
Dahmane el harrachi
envoyé par casbadji
LES ECHOS
PRESSE FRANCAISEDZ-PLANETE (05/2002)LE FESTIVAL TOTAL CHAÂBIKamel El Harrachi n'est pas seulement le fils du grand Dahmane El-Harrachi, il est aussi un artiste plein de talent qui chante à merveille le répertoire de son père. Ce sera certainement une des révélations de ce festival. A voir absolument.
I- TELE (02/2004)Djamel Khalfaoui, ex-animateur de SOS ça bouge, persévère aujourd’hui dans un travail de recherche musicale, à travers la réalisation de reportages ou de documentaires au long cours sur le raï ou le chaâbi. Dans Les tubes de l’exil, titre d’un sujet diffusé en février 2004 sur I-Télévision, il présente Kamel El-Harrachi qui pérennise l’--uvre de son père Dahmane et donne une nouvelle jeunesse à cette musique.
LE MONDE (04/2005)LE RENOUVEAU DU CHAÂBI
Pour la deuxième fois de son histoire, le Printemps de Bourges invite le chaâbi, avec une soirée bâtie autour de Kamel EL-HARRACHI , jeune chanteur et joueur de mandole au talent sûr, originaire d'Alger et vivant à Paris. Il est le fils de Dahmane EL-HARRACHI, figure notoire de ce style populaire né au début du XXe siècle dans les tavernes et les fumeries de la casbah d'Alger. Alger est au chaâbi ce que Kingston est au reggae, Chicago au blues, Athènes au rébétiko, Oran au raï. Une musique des humbles.L’HUMANITE (04/2005)
LE CHAÂBI CE BLUES ALGEROIS Kamel EL-HARRACHI Fils du grand Dahmane El-HARRACHI a repris le nom de son père afin de perpétuer sa mémoire en 1991. Les observateurs le disent, la ressemblance est troublante, mise à part peut-être la voix, plus douce chez le jeune homme. Le public des inconditionnels du père (auteur du titre "Ya Rayah", popularisé, par Rachid Taha) soutiennent déjà le fils sans retenue.RFI-MUSIQUE (04/2005)
Kamel El-Harrachi, grand maître de cérémonie de ce spectacle n’a pas ménagé son enthousiasme pour faire partager ce soir ce qui est pour lui du domaine de la tradition familiale. Accompagné de cinq musiciens, cordes, claviers, percussions, le jeune homme a su créer l’ambiance. Le concert a démarré par un morceau instrumental où la mandole de Kamel a accompagné très noblement la mélopée langoureuse. Dès qu’il a commencé à chanter, quelques youyous ont rapidement fusé. Le tract se lisait sur son visage mais sa voix était on ne peut assurée. Le ton était donné. Chaleur et convivialité. Quelques personnes se sont alors déhanchées sur les morceaux les plus enlevés, accompagnés par le sourire de satisfaction de Kamel El-Harrachi. Le jeune homme a alors accueilli sur scène celle qui fut une amie de son père, la chanteuse et comédienne, Meriem Abed, considérée aujourd’hui comme une figure essentielle du répertoire féminin. Là encore des youyous et des applaudissements nourris. On ne savait plus à cet instant qui des deux artistes, avait accueilli l’autre ! On peut imaginer que la grande dame était venue hier soir apporté son soutien à un jeune artiste en devenir, un futur maître d’un genre populaire qui ne risque pas de disparaître, le chaâbi.PRESSE ETRANGERE
EL WATAN (01/2007)Hommage à Dahmane El Harrachi Le maître toujours vivantLa soirée, qui a démarré avec plus d’une heure de retard, a été rehaussée par la présence du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Yazid Zerhouni, qui a pris place aux côtés de Khalida Toumi, ministre de la Culture. Suivant au pas le paternel, Kamel El Harrachi clôturera la fête en interprétant avec cette voix éraillée quelques chansons fétiches de l’idole restée toujours la même dans le c--ur de ceux qui l’apprécient. Il annoncera à la fin de l’hommage que des textes inédits écrits par son père seront repris dans une production qu’il fera sortir dans les prochains jours. Le fils prodige fera un clin d’--il à l’artiste Hamidou qui a su convaincre les services du ministère de la Culture pour faire coïncider l’hommage avec l’entame des festivités d’Alger, capitale de la culture arabe.
LE JOUR D’ALGERIE (01/2007)Vibrant hommage au regretté Dahmane El-Harrachi Sous des airs nostalgiquesUn hommage a été rendu, lundi dernier à Alger, au chantre de la chanson chaâbie, le regretté Dahmane El-Harrachi avec la participation d’un grand nombre d’artistes. Cette rencontre s’est terminée en beauté, notamment avec l’apparition sur scène du fils de Dahmane El-Harrachi, à savoir le chanteur Kamel El-Harrachi qui a suivi le chemin de son père et dont l’héritage du timbre de la voix et de la méthode d’interprétation demeure flagrante.