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DRENO

About Me

Je suis né en juillet 1958, à Paris, d’une mère bretonne et d’un père roumano-ukrainien (en fait Bessarabe), et j’ai commencé à jouer du violon dès l’âge de 8 ans, au conservatoire de Montreuil sous bois, dans le neuf-trois (quatre-vingt-treize pour ceux qui parlent comme dans l’ancien temps).J’ai grandi en écoutant Georges Enesco, David Oistrakh, Django Reinhart, Kurt Weill et Procol Harum. Sans oublier Jean Ferrat, Marc Ogeret et Mouloudji, qui m’a fait remarquer un jour que j’avais le même prénom que Villon...Au risque de paraitre pédant, j’avoue avoir adoré le solfège, la musique sérielle et le free-jazz dès mon plus jeune âge.Mes études musicales accomplies, j’ai tout naturellement pratiqué la musique en orchestre, symphonique ou bien à cordes. Incurable cependant, j’ai joué du violon dans des groupes de rock, ce qui m’a permis de sentir l’odeur inimitable du «Golf Drouot» et du «Gibus»...En 1980, j’ai croisé la route de Jérôme Savary, qui cherchait un violoniste pour son spectacle «Le bourgeois Gentilhomme». Ce fut le début d’une aventure qui a duré quelques années et qui m’a fait découvrir le Monde, le vrai et aussi celui du spectacle.En 82, je joue «l’histoire du Soldat», de Stravinsky et Charles Ferdinand Ramuz, dans une mise en scène de Savary, une superbe partition pour le violon.En 83, Savary me confie la composition et la direction musicale de Cyrano de Bergerac, avec Jacques Weber et Charlotte de Turckeim, à Mogador. J’ai joué ce spectacle plus de 500 fois... et toujours avec le même plaisir.En 85, rebelote avec «La femme du Boulanger» de Marcel Pagnol, avec Michel Galabru et Valérie Mairesse, toujours à Mogador. Et re-500 représentations (environ...).En 87, Savary monte «Le bal des cocus», à Lyon, avec Anémone; je suis encore de la partie, mais ça sent la fin...Au cours de ces années, j’ai poursuivi mes activités musicales, principalement avec Kent Carter, le grand contrebassiste américain, avec qui nous avons monté un trio, rejoint par le violoniste portugais Carlos Zingaro. Nous avons d’ailleurs réalisé un enregistrement : «Willisau suite» et joué lors de nombreux festivals en Europe.Je participe également à cette période là au Super String System de Didier Levallet (CB), avec Dominique Pifarély(vln), Jean-Jacques Avenel (CB) et le regretté Lionel Benhamou (g). (Cd Paris Suite)En 90, je travaille avec Geneviève de Kermabon à la musique de «Morituri», un spectacle qui me permettra , entre autres choses, de composer un «ave maria», de jouer au Théâtre de Chaillot et de rencontrer des comédiens uniques, comme Paco Portéro et également l’immense et regretté Jean-Claude Grenier.A la fin des années 80 je rencontre le sculpteur Alain Valtat, avec qui je vais collaborer à la réalisation de sculptures musicales, dans le cadre d’une exposition pour Amnesty International. Nous nous retouvons en 2003, dans le cadre des «Journées du Patrimoine», pour refaire un pont entre son travail et mon violon, à Vicq, dans le limousin.En 1993, je m’installe à Strasbourg, pour répondre à une proposition professionnelle alléchante, mais sans rapport ni avec la musique, ni avec le théâtre...A cette période, mes activités artistiques sont devenues plus clairsemées, il y a sans doute des explications, mais ça serait long....En 96, Paco Portero me demande de composer la musique d’un spectacle de rue pour le Festival de Châlon en Champagne, «Le voyage» par la Compagnie Rayazone.En 98, je suis retourné à la Capitale pour assurer la direction musicale de «Hair» au théâtre Mogador (encore...), sur une adaptation française des chansons de Joëlle Angéli.En 99, je réalise mon premier album solo, «Je crois que ce type est sourd».C’est en Alsace que j’ai renoué avec les musiques populaires et traditionnelles, qui avaient accompagné mes voyages dans l’ouest, quand j’étais enfant, et que j’entendais distraitement (et j’avoue, avec un peu de dédain), lors des fest-noz, quand j’étais au lycée, à Montreuil dans le neuf-trois...C’est essentiellement la rencontre avec Sylvain Piron qui est à l’origine de cette renaissance. Nous avons monté un duo de musique traditionnelle, «La Draisine», dont le programme, chanté et joué est sous-titré : «bon pour tes oreilles et bien fait pour tes pieds»...En 2006, j’ai mis en route «Trefiddle», un groupe de musique irlandaise, avec lequel j’ai joué un peu partout dans la région.Le disque «The Irish Call» est sorti en juin 2007.Puis, c’est le projet «Héliotropes» avec Paul Adam qui a envahi l’espace de mes préoccupations musicales.
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I used Dave & Jay's amazing myspace editor .

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Music:

Member Since: 10/10/2007
Band Website: www.fdreno.com
Record Label: unsigned
Type of Label: Indie

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