Trace Ta Roots

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.Vers la fin de l’an 2000 Trace ta Roots est timidement issu d’un mariage peu commun entre un amateur de gospel-funk-blues-jazzy et une rebelle fan de grosses guitares et de mélodies endiablées……. Leurs premiers projets très très très underground comme « Pizza », « Leader Price » ou encore « Patate Frite » étant totalement inaudibles dixit Cicilox et Flow, ils gardèrent leur projet « top secret » pour un temps jusqu’à leur voyage initiatique et mystique à Champs-Sur-Marne………Au volant de la « Free Tibet », belle 205 grise métallisée (paix à son âme), les instruments les plus fous étaient de la partie : « Huggie » le bon micro, « Djenga » la guitare, le djembe, « Karra-Ok » la chaîne, les petits suisses maracas et le synthé tout pourri…….Là ils composèrent et enregistrèrent en même temps, live-direct-in-your-face, la plupart des tubes qui constitue le premier album de Trace Ta Roots « Smoke your cigarette and shout your Pet » comme par exemple, « Momie, Momie, Momie » ou « Gueule d’aspirateur » sans oublier leur chanson très engagée contre la pénurie des vraies chips aux paprika dans nos contrées, « Paprika ». Leur style « experimental all kind » séduit immédiatement un public de gens bizarres et sympathiques qui, ne se contentant pas de les acclamer lors de leur concert triomphal à Rueil-Malmaison le 30 novembre 2001, ont même cassé leur tirelire afin d’acheter le disque, devenu aujourd’hui un collector inestimable !!!!!!!!!!! Mais il en fallait toujours plus au « dynamic duo » de Trace ta roots… C’est pourquoi, ils allèrent retrouver, les bagages pleins de nouveaux instruments-gadgets et de nouveaux tubes en puissance, celui qui a donné au morceau « Trace Ta Roots » toute sa signification à travers son ordi magique, le bien nommé Simon&Simon…….Et c’est ainsi qu’en quelques jours de travail intense dispersés entre les agendas overbookés de chacun, que « La Cohérence » vit le jour (ou la nuit) en mai 2002… Après de nombreux problèmes pour trouver une salle de concert et quelques essais ratés dans des tremplins, ils ne cessent de composer. Le monde n’est pas encore prêt… Un beau jour, Flow découvre un logiciel de musique qui va révolutionner le groupe : Garageband… En effet, à partir de janvier 2004, ils composèrent une bonne dizaine de morceaux, dont certains tubes comme « Bourrée Indienne », « Capill’hair » ou encore « Disko Playmo ». Impatients de montrer leur nouveau son à leur fidèle public, ils firent un fabuleux concert au Triage de Nanterre, le 12 juin 2004. Suite à ce concert, le quatrième album de Trace Ta Roots était né : Burlesque Le Trace Ta Roots nouveau est arrivé… Leur troisième concert dans la grande halle des Beaux Arts reste une expérience très expérimentale… (2005) Enfin ils finirent en feu d’artifice au concert du Plateau (FRAC), concert se déroulant dans une vitrine… Mythique !!! Une rumeur circule… Avant leur total « black-out », ils auraient enregistré tout un album de reprises (Sortie de Garage), et même un début d’album concept ou chaque chanson est un duo… Le mystère reste complet… Le groupe est tout d’abord composé de Flow, chanteur mais pas uniquement : il écrit ses textes et, de temps en temps, accompagne 66lox à la guitare, au piano, au djembé ou même encore aux « Tchikitchk » (autrement dit des maracas), et de 66lox qui, elle, joue tant bien que mal des mélodie très élaborées pour, à son tour, accompagner Flow…Sur scène, le stricte minimum leur suffit pour casser la baraque : quelques amplis, le synthé tout pourris et leurs autres amis instruments...