2008- TON BAISER LE PARTICULIER ABSOLU impression sur bache 130x90
à l'invitation de la Mediathèque de La Riche près de TOURS (déclinaison de BAISERS)
2006-BAISERS(une fortune en cascade).
Installation de Robert POTIER
Galerie Za-Gorodka 2006.
Une foule d'empreintes de baisers rouge à lèvres, une mise en lumière et un habillage sonore pour un dispositif aux charmes remémoratifs."BAISERS" une fortune en cascade
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Acte poètique implacable, chaque baiser fondateur, comme la mer avec la plage,
réinvente la stupeur de la rencontre .Expérience immédiatement addictive,
dissidence de la raison, le baiser exige son renouvellement perpétuel sous risque de disparition. Mais, savons-nous encore donner/recevoir ces baisers ? Chercher l'OR DU TEMPS ?
A vagabonder le long de cette série de traces fortement signifiantes, disposées à hauteur du visage, le visiteur est lui même sujet à la résonance du/des baisers donnés/reçus et retenus.
L'habillage sonore, la mise en lumière viennent renforcer la qualité remémorative du dispositif.
Ce parcours aux Baisers devient la rencontre d'éclairs multiples. Le souvenir des événements existentiels est accompagné par celui des grandes espérances issues de ces moments fondateurs.
Si le baiser nous élève, sommes-nous restés dressés? Face à nos limites, à la férocité du temps, quelle fidélité, quel accomplissement. Quels renoncements aux ambitions esquissées dans la clarté du meveilleux? Sommes-nous encore éveillés ou
de simple somnambules de l'économie de marché, hermétiques à toute poétique ?
SERIE "TOTEM". Présentée dans le cadre de l'exposition SUREXPOSEES à l'espace ARTS et MATIERES en 2005.
EXPOSITION "Baisers rêvés" à l'Orange bleue 2004.
SUREXPOSEES
Exposition d'images de Robert POTIER à l'Espace Arts &matières.Le bel écrin de la rue du Présidial, à Sarlat, accueille jusqu'à fin
Juillet une vingtaine de photographies fidèles au cheminement
créatif de l'ex-rédacteur en chef d'Aqui TV.
Si tout les moyens formats couleurs (30x40) sont bien issus, Ã la
base, d'un cliché argentique ou numérique, leur restitution s'est
affranchie des règles de la " belle photographie".
Ici, il s'agit plutôt de traces, de l'écho obsédant de souvenirs de
scènes, de rêves ou l'émotion dominait.
Corps, objets, lueurs, des images dont le message à surexposé la
rétine. Devenues icones oniriques, leur choeur mélodique est
troublant.
" ... Un cri dans la nuit, il l'illumine... C'est l"écho infini du pétale de
rose tombé " explique l'auteur sur une fiche proche de la série
Totem...
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