MACAK

MON TRAVAIL DE RÉAL (DEMO) (musique Gotan Project) Démo 2008
MA PLUS BELLE RÉALISATION UNE PUB TORDANTE QUE J'AI FAIT. À DISSÉMINER À VOS AMIS petitspoulets
Sommes-nous ? MUSIQUE DE DARLING A Sommes-Nous ?
COMME RÉALISATEUR J'AI FAIT ÇA: Fric SHOW
Je suis bien peu de chose et c'est déjà beaucoup. Vivant dans les vents de travers, j'en arrache avec mon brushing. À grand coup de barre à clou dans la poitrine, j'essaie de ne pas trop m'en faire. Mon père est parti et pourtant il arrive de partout. Y a des chansons qui attendent qu'on les écrivent alors au boulot l'ARTISSSS.C'EST LUI QUI M'A FAIT, IL EST MORT AU PRINTEMPS Jacques avant sa mort
UNE CHANSON POUR LUI:La route qui mène à LuiLe Soleil éclairait par en dessous, j'avais le cœur gros pis les yeux petits Sur la route qui me ramenait à lui 400 milles à l’hiver d’une vieJ’montais le volume de la nostalgie Souvenirs de pêche, câlins de silence Dans les bras de cette homme immense Au rêve trop grand pour ses habitsIls ont élargi la route Qui mène à Chicoutimi C’était sa lutte, sa bataille Ouvrir la porte qui mène à luiC’était sa façon à lui De nous dire, je m’ennuie Il ne peut y avoir de pays Sans le chemin, qui nous relieComme ses camions, plein de montagne Il portait un rêve d’Espagne L’indépendance commence ici Et remontera le courant jusqu’à LévisIl était la voix d’un royaume Sans couronne et sans trône L’écho d’une force tranquille Fou, fort, fier et libreIls ont élargi la route Qui mène à Chicoutimi C’était sa lutte, sa bataille Ouvrir la porte qui mène à luiC’était sa façon à lui De nous dire, je m’ennuie Il ne peut y avoir de pays Sans le chemin, qui nous relieLà où les eaux sont profondes Les larmes de mon cœur inondent La blessure est aussi profonde Que ce fjord qui sépare le mondeMais je m’accroche comme cette maison Aussi forte que ses fondations Quand arrivent les torrents de boues Mes racines me tiennent deboutIls ont élargi la route Qui m’ ramène à Chicoutimi C’était sa lutte et sa bataille Ouvrir la porte qui mène à luiC’était sa façon à lui De nous dire, je m’ennuie Il ne peut y avoir de pays Sans le chemin, qui nous relieAu revoir Jacques et merci