Membre fondateur des Matchboxx (1996-2003) et de Stéréoflop, puis musicienne-comédienne dans la compagnie de théâtre musical Les Epis Noirs ainsi que dans la pièce « L’Amérique », récompensée aux Molières 2006, Claire Deligny a récemment créé le projet « Paris-Bruxelles ».
Elle accompagne actuellement Livane, Brice, Lou Volt, Joséphine, Bertrand Pierre, et a travaillé par le passé avec Le Bal de L’Elysée Montmartre, Zabou Breitman, Polo, Néry, Jérôme Attal, Eglantine Gouzy, Yoshihiro Hanno, Fred Léonard, Tom Platini, Alister…
L’AMERIQUE
« Extraordinaire road-movie théâtral, accompagné par la voix et la guitare de la transcendante Claire Deligny. »
Paris Match n°2942, octobre 2005.
« Elle est sans doute celle qui donne au spectacle son point de fuite. La chanteuse, la guitariste. La fille aux cheveux courts et au beau visage, la fille à la si belle voix qui transporte, bouleverse, transfigure. Guitare électrique et chant. Passages furtifs, ombres. Elle est l’univers sonore, sensible, elle fixe les années 70, par elle, on les reconnaît. »
Le Figaro, 1er novembre 2005.
« L’Amérique, dans cette pièce, n’existe qu’à travers le discret mais obsédant rappel musical « folk et rock » auquel se livre Claire Deligny en s’accompagnant à la guitare électrique. »
Le Parisien, 21 octobre 2005.
« Le spectacle est littéralement illuminé par les apparitions de Claire Deligny, qui, accompagnée d’une guitare électrique, chante en live d’une voix qui éveille de vieilles souffrances toujours à vif du folk-rock. »
Télérama n°2907, octobre 2005.
LES MATCHBOXX
« Deux gars et une fille complètement délurés, qui mixent musiques seventies, dérision déraisonnée et délires scéniques. Ils naviguent, dans la joie et la bonne humeur, entre twist chorégraphié, thèmes instrumentaux wiz et chansons d’amour intemporelles. Bref, de la ritournelle rock-électronique bien pétillante, à faire se lever un gisant. »
Aden, janvier 2002.
« Il y avait longtemps qu’on n’avait pas vu des marrants aussi drôles. »
Jackie Berroyer, Vibrations juillet-août 1999
« Le naturel distrait avec lequel Claire use d’un langage de charretier est absolument charmant. »
Le Figaro, 22 février 1999