kayliana

Juste une cyber étrangère.
Tous ces textes sont partiellement écrits et restent inachevés car j'ai fait abstraction de "feuilles volantes" et j'ai donc jugé bon de vous faire partager ma pensée délirante en direct. Quant à leurs significations, ils reflètent une partie de mon brouillon cérébral.
A vous...
A tous ces crevards des baisers amoureux effrénés.
A tous ces fêtards arrosés, assoiffés de vanité.
A tous ces connards médisant la charité.
A tous ces chemins séparés pleurant le passé
A tous ces dédains respirés suffocant le respect
A tous ces humains accablés implorant la société
A nous tous passionnés ébranlant les sommets !
La cigarette.
Je suis le péché,
Ton Péché ;
Le Mal incarné,
Et le péché de tes envies ;
Le début,
Le début de ta fin.
Un peu Malin,
Un peu mesquin ;
Un moment,
Ton moment pour combler l’Ennui.
Tu me jettes comme un chien,
Quand ta bouche en est lassée.
Ta bouche fruitée ;
Délicatement elle m’attire,
M’agrippe et chavire.
Parfois tu m’inondes,
Tu m’inondes et m’encombres
De bien des pluies
Que l’on pourrait tant se passer.
Et comme une ombre
Qui s’efface et se cache,
Je suis le Fruit
De quelques instants partagés.
Tout Bien constitue un Mal.
Je née entre tes lèvres
Pour mieux mourir à tes pieds.
J'ne suis que fièvre,
Car c’est ma fumée
Que tu avales et inhales !
Lui et Toi
Combien de fois faut-il rêver pour s'adonner à quelques baisers?
Combien de temps dois-je m'échapper pour oublier cette réalité?
Lui et toi même moitié, pourtant si opposée.
Lui est passionné...chut...il m'attend dans son jardin d'Eden.
Troublant, enfant fragile et mal habile.
Regards coquins et quelques mots taquins qui font un sien, à moi mien, à toi plus ...rien.
Printemps, coup de coeur et quelques pleurs.
Dans son jardin privé, il arrose sa belle plante qu'il a nommé son amante.
UN PLUS UN EGALE DEUX
Lui et toi même miroir, pas même histoire.
Toi, si éloigné...chut...je t’attends dans mon jardin d'Eden.
Etranger de mon passé, étrangère de ton futur.
Présent lié, présente imposture.
Tu m'as étreinte,
Eteinte lorsque tu m'as restreinte.
A milliers d'yeux, les deux tiens n'y sont plus.
A mille lieux, je n'y vais plus.
UN MOINS UN EGALE NEANT

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