Vous êtes compositeur, interprète, éditeur, producteur…
Izou a quelques centaines de textes écrits, une soixantaine mis en musique, et des centaines à la poubelle. Très exigeante dans l’écriture, elle s’adapte à votre voix, vos envies, votre univers. Izou a écrit « Le Défilé » en collaboration avec Dorothée Maréchal, un spectacle musical décalé (sélection Franc’off de Spa 2007 et Biennale de la Chanson 2008). Izou travaille sur de nombreux projets (élèves et professeurs des Ateliers Chansons de Bruxelles, artistes reconnus...) avec des compositeurs de grand talent.
Déjà petite, Izou écrivait pour ses camarades. Aujourd’hui ses amis la charrient parce qu’elle tient son crayon comme d’autres tiendraient une cigarette. Tout lui donne envie d’écrire. Son stylo à rêves ne dort jamais.
Izou a participé à de nombreux ateliers d’écriture, Astaffort (Rencontres à l'initiative de Francis Cabrel), Ecrivage (Savoie), Mars en chansons (Charleroi) , Les écrivantschanteurs , Les ateliers de Daria (auteur pour Maurane), Le Festival d’Aix (conseils précieux d’Enzo Enzo, Georges Moustaki, Clarika, Charlélie Couture...). Vous trouverez les adresses sur son blog. L'idée de ces ateliers est avant tout la rencontre. Il n’existe pas de recettes pour écrire juste une formidable envie d'être vraie.
Les textes d’Izou ont reçu les félicitations d’artistes exceptionnels dont elle a sollicité la critique et qu’elle remercie sincèrement pour leur écoute et leur talent. Sansévérino, Agnès Bihl, Frédéric Château, Carine Reggiani, Anne Sylvestre, Jacques Roure, Claude Semal, Xavier Lacouture, Bernard Joyet, Rémo Gary, Daria de Martynoff, Vincent Baguian et Elisa Tovati (textes lauréats au concours Sony Music), Guillaume Ledent (dédicace sur son dernier CD « Ton Océan », à consommer sans modération), Les éditions Paris Sorbonne (le « Cabaret des monstruosités »)… merci de lui avoir donné l’envie d’aller toujours plus loin dans ce fabuleux métier d’auteur. Chapeau bas à tous les compositeurs aussi doués que généreux, dont elle a croisé la route et ce n’est qu’un début.
