Myspace Contact Tables - Get this Contact Table .. Lyrics
Septembre 2006: L’idée est parti de CW, le rappeur du groupe. Il a réunit ses compères qui jouaient tous d’un instrument de musique car il en avait marre de ces samples minimalistes qui manquaient de vie, de création. Il admirait les groupes de rock, jazz et blues en live. Au début le groupe s’est appelé Song of a Beach, il était constitué d’une bass, d’une batterie, d’une guitare, d’un rappeur et d’une chanteuse mais les difficultés furent nombreuses. Comment calquer un courant musical dans un esprit hip hop? en gardant un rappeur présent? Quelles sont les meilleurs compromis à adopter?
Mars 2007: le groupe se sépare de son guitariste, et deux nouveaux musiciens arrivent : un saxophoniste et un nouveau guitariste ( de plus le rappeur CW devient pianiste à mi temps). Le nom du groupe est rebaptisé, ce sera Garage Audience. C’est quasiment un retour à la case départ mais les idées sont plus claires sur ce qui est de l’orientation à donner au groupe. Les membres du groupe n’ont plus peur de s’éloigner de ce qui est convenu, ils n’ont plus peur de pousser la définition du hip hop dans ses derniers retranchements. Ils sont prêts à oublier les barrières, aller plus loin. Après quelques tatements, ce sera une orientation vers le funk, jazz voir rock (les membres du groupe ont des goûts musicaux très variés, ce qui donne de savoureux mélanges) mêlée à l’esprit hip hop.
Fin Août 2007: le bâteau a empreinté des routes incertaines, c’est l’heure des remises en questions....des doutes, comment associer un groupe de musique et le hip hop?..., comment avancer? Le groupe était au bord de la fin.
Début septembre 2007: Les choses se rétablissent, et se dessinent...Une nouvelle méthode arrive dans le groupe, la rigueur et la volonté se sont décuplées. Des automatismes se mettent en place et l’arrivées de dates provoquent une motivation nouvelle....
Fin décembre: nous avons passé 2 jours ensemble dans une ambiance conviviale, plus(+) de délires que de musique pure... mais cela à rendu notre premier travail à peu près présentable (3 rue de l’Auxances). Les éléments techniques n’étant pas encore maîtrisé, les enregistrements se sont déroulé tard le soir. On a plus donné une vue du potentiel, que d’une maturité.
Début janvier: C’est la période du mastering, longues heures à retravailler des détails, mais on a pas eu le temps de travailler sur le son des instruments, car nous voulions participer au tremplin crous 2008. La maquette est remise, conscient de ne pas avoir donné le meilleur, mais ces étapes sont obligatoires. Le flow est à retravailler, les instruments à subtiliser, (nouveau mot) et la chanteuse à intégrer.Mi janvier: projet d’enregistrement, écho du my space, recherche de scènes. La musique en devient follement efficace. Peut être un mini cd "world is a symphony"? (avec un piano bass batterie chanteur et chanteuse) qui sait? cela arrive très bientôt...
Début février: notre guitariste quitte le bateau pour vivre une autre vie, de plus le manque de motivation se faisait sentir, "une vraie malédiction des guitariste". Tanpis pour le tremplin CROUS, recommençons tout! Et tout n’est pas si facile comme le dit NTM. Certaines personnes nous ont pas mal enfoncées alors que nous sortions à peine la tête de l’eau. "J’y crois pas à votre truc" ou "c’est peut être pas fait pour vous", de toute façon je ne leurs demande pas d’y croire, et nous pour l’instant on s’amuse. Abstraction faite des dires malintentionnés, nous remplaçons la guitare par la piano...c’est moi qui en joue, allons-y, y’a plus rien à perdre, tout à reconstruire. Trois, quatre répètes assez vides et sinistes. Ils nous manque ce guitariste, j’en profite pour ajouter que ce guitariste est d’exception tant dans sa facilité à créer et par sa modestie légentaire (par contre il a une mémoire quelque peu déficiente). Viens ensuite la 5 ème répète, le groupe est vraiment au bord, et on aurait très bien pu partir en se disant que c’était fini et que finalement on avait raison de laisser tomber. Mais, on a travaillé, on s’est ouvert, on a ouvert les yeux, on a regarder des concerts à la pelle, écouté pas mal de musique et on est tombé sur un riff plutôt accrocheur et détendu. Et là , on s’est peut-être dit que c’était un signe, peu importe ce que l’on s’est dit, le tout est que nous sommes repartis avec le sourire et fière. Alors les idées, ce sont déchaînées, un trombonne à coulisse qui n’est toujours pas utilisé vient de temps à autre pour voir ce qu’il peut faire. Des idées, de la rigueur, de l’envie, des notions plates à première vue, mais des notions de maturité. Il étatit particulièrement nécessaire à notre vie que ce projet continu, reste à savoir comment se passera la suite?