About Me
Alio DieStefano Musso studied art and electronics in his home town of Milan, Italy, and began performing ambient, electro-acoustic music under the name Alio Die in 1989. Characterized by evocative acoustic sounds manipulated and tendered electronically, Alio Die's work builds intimate soundscapes tied to the mystery and majesty of life and nature. His first CD "Under an Holy Ritual", released on his label Hic Sunt Leones in 1992 and re-released on Projekt in 1993, was received with international acclaim. He subsequently released more than 40 CDs, and collaborated with many well-known artists such as Robert Rich, Vidna Obmana, Mathias Grassow, Nick Parkin, Yannick Dauby, Amelia Cuni, Raffaele Serra, Saffron Wood, Ora, Antonio Testa.
"Natural and acoustic sounds and selected noises, electronically treated and reworked, are integrated in a meditative and spiritual context that often, in the feeling, becomes close to a prayer. Visible static, this music is rich of hidden sounds, layers of elements to discover at each listening. Alio Die's music, in the consciousness space that creates, it's a melting of technology and mysticism, like a new ritual with echoes of a medioeval time, deep and grounded in introspection.".............................................
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......................................................Alio Die: L'introspection soniqueHéritié de la nébuleuse Eno, Alio Die a encré de nouveaux points de tangentes créant un style qui lui est propre laissant ainsi des voix d'accès pluriels au style ambient.
Cet artiste italien (de son vrai nom Stefano Musso) Alio Die veut dire en latin: " les jours d'autrefois" égrènne des matières sonores vibrantes où des paysages microscopiques se mettent en place.Sa palette sonore est vaste: Bruissements naturels , craquelures et textures diaphanes, éléments et instruments acoustiques, percussions, traitements et harmoniques électroniques, voix deviennent de la poésie sonore sombre et/ou radiante . Certains visuels sont aussi d'Alio Die. On pourrait penser à la peinture d'Antonie Tapiès ou d'une photo "macro" créative et réappropriée, des travaux de Russell Mills, de 4AD.
Son language esthétique est riche et demande une écoute attentive afin d'en
déceler toutes les strates et sédiments successifs.
Sa discographie est abondante et ponctuée de collaborations fructueuses
Robert Rich (Fissures), Vidna Obmana, Mathias Grassow, Nick Parkin, Yannick
Dauby, Amelia Cuni, Raffaele Serra, Ora, Antonio Testa.
L'idée de mouvement est présent derrière l'apparent immobilisme, l' univers sonore de l'infiniment petit se déploie dans une organisation naturelle. On oublie facilement la lutherie électronique déployée pour se concentrer sur son vocabulaire sonore et poétique. Un vivier de textures athmosphériques prend des allures de mondes introspectifs et organiques à explorer. On parlera de musiques nocturnes tant l'écoute demande un silence approprié de circonstance. On pense aussi à Robert Rich et ses "Glurp".On peut évoquer Eno (époque "No Land"), "Approaching silence" de David Sylvian, "Dream Theory In malaya" de Jon Hassell, Nausicaa de Michel Redolfi, Michael Stearns ou certaines oeuvres de Steve Roach/Jorge Reyes.
Alio Die est un des maîtres de ce courant.(Thierry Moreau)