Né dans les profondeurs d'un pub parisien (mais lequel???) lors d'une réunion menstruelle des alcooliques plus vraiment anonymes, ce trio revisitait à ses débuts les standard disco en mode yé-yé.Après avoir changé de nom de groupe à peu près autant de fois que de slip (Fox Fucker & Carnage Scully n'ont pas été retenus) nos 3 zicos graisseux adoptèrent enfin celui de The Dirty Fly-Joe-Lets', en hommage à l'inventeur trop méconnu de la bière iophylisée.Plus tard, une fois qu'ils ont pu assimiler quelques riffs (entre 0 & 5) et en compagnie de leur vieil ami, le batteur mercenaire Philty (a.k.a Dirty Philthy), ils sont entrés (par derrière & par surprise) dans le vif du sujet à savoir le garage rock (quoique pour certains il s'agissait plutôt d'"abri de jardin rock"!).Les premiers concerts passés, dans des rades plus glauques les uns que les autres, ils décidèrent enfin, à la demande générale (LEE), de ne plus vomir pendant qu'ils jouaient.EMI & Sony (contrairement à Sodome & Gomorrhe) n'ayant pas voulu d'eux, ils décidèrent à l'unanimité moins 2 voix de ne plus se produire que dans des lieux totalement improbables, tenus de préférence par des Thénardier. A titre d'exemple: leur concert en plein air du 21/12/2004 lors du non festival de la non fête de la non musique au bar de la Coupe Rose dans le Beaujolais.Début 2008: nouvel élan pour the Dirtys.
Avec Dirty Lets parti pour une durée indéterminée to London (en fait tant que son foi pourra supporter la pint à 2 £...), c'est La Dirty Pin UP qui est devenue la bassiste du grûûûûpe avec un brio certain et une résistance réelle aux blagues de vieux mecs!
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