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A4

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A4, c'est une formation qui aurait pas du exister, et qui a la limite n'existe plus en tant que formation, mais c'est pas grave parce qu'on est tous l'insupportable de quelqu'un...

Sinon y'a des chances pour que des nouveaux titres arrivent,plus dans l'époque comme on dit...

Il faut savoir toucher du doigt le premier degrès et mettre la main dans les tripes du second degrès si on ecoute A4...

La base du lyrisme virtuose de ces quelques titres est le refus et la négation de la prolifération des codes moraux et sociaux qui se répandent petit à petit d'une manière totalitariste sous jacente...

En bref, l'époque sent la merde et ca va pas aller en s'arrangeant mais bon ...Autant que ca aille vite dans ce cas...

Arrosons nos plantes avec de l'huile de moteur, vidons nos cendriers dans la nature, n'hesitons pas a acheter de gros 4x4 fabuleusement beaux...

Battons nous pour une place de parking... Et enfin et surtout...SOyons beaux et lisses... A4 c'est un peu le ras le bol de tout ca...

Ah merde c'est une Bio ici?

Pas de concerts a notre actif, pas de concerts envisagés, juste quatorze titres que je vais diffuser au fur et à mesure et d'autres nouveaux dans les mois qui viennent...

Sinon je suis le mitard, gratteux qui a eu un groupe de rock n roll y'a longtemps qui s'appelait Blaster death, puis pas mal d'errances musicales pour en arriver à A4...

El Cocoz c'est un maçon repenti devenu franc, je vous laisse méditer la dessus...

Malin un type qui commence a etre bien connu avec son groupe Malin,

Blobbus un bassiste en quete de bonheur mais aigri, qui pense que le serieux s'est fait la malle caché dans notre trou d'balle...

Et pour finir El michomano c'est un pote, qui est pas du tout musicien , pas du tout créatif et pas chanteur, mais qui m'a pas mal preparé de douilles pendant les enregistrements...On peut considérer que c'est une lourde contribution...

A4, pour un monde moins aseptisé en surface et beaucoup plus net au fond...

Hésitez pas à lacher vos commentaires meme les plus dégueux...Enfin surtout les plus dégueux Haaaaaaaaaaa haaaaaaaaaaaaI edited my profile with Thomas' Myspace Editor V4.4

My Interests

Music:

Member Since: 18/06/2007
Band Website: Dèja un MySpace c est tres technologique...
Band Members: Le mitard, El cocoz, Malin, Blobbus, El michomano
Influences:

Stupéflip, Fonky Family,System Of a Down,Radiohead, Yvette Horner, Pussycat Dolls, Cradle of FIlth, Jack Face, Scarve, Triembach, Georges Lucas, Aaron Spelling, Jean Edouard Leclerc, Jacques Chirac, Motor Head, AC DC, Red Hot et celui sans qui je ne serais rien....Celui qui sert a l'humanité entière..Benoit XVI...Allelouhia mes frères...TRAVAILLER C'EST MOURIR UN PEU...HUIT HEURES POUR BOSSER, HUIT HEURES POUR DORMIR, HUIT HEURES POUR MANGER BOIRE ET BAISER...ALIENATION MENTALE:
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Dans notre société obsédée par le travail, ce dernier semble être le seul moyen honnête de gagner assez d’argent pour vivre et de trouver une place dans la société. L’identité des personnes est complètement liée à leur activité professionnelle et effectivement les loisirs sont eux mêmes un hommage au travail (à celui des autres) via la consommation ou le spectacle (que l’on appelle parfois aussi culture). La production, la consommation, l’activité culturelle et intellectuelle sont totalement ou en grande partie subtilisées à l’individu qui ne peut les vivre qu’à travers le biais de l’échange marchand, de manière séparée et non de manière directe.Les rapports sociaux entre les individus semblent aussi exclusivement liés au travail. D’ailleurs pour parler des exclus du monde du travail, on dit aussi les exclus tout court. Lorsqu’on rencontre une personne pour la première fois en dehors du cadre du travail, on s’empresse de lui demander « qu’est-ce que tu fais ? », sous-entendu « quel est ton travail ? », pour rapidement la placer dans ce cadre. Comme si, ce qui faisait l’intérêt d’une personne venait de son travail. Et quid des chômeurs et inactifs. De notre point de vue, le rôle social rempli par un individu effectuant un travail pouvant être effectué par une machine est extraordinairement plus faible que celui d’un chômeur ou d’un inactif hyperactif qui militerai dans des associations, prendrai part à la vie de son quartier, aurai une activité culturelle ou intellectuelle originale. L’intérêt d’une personne, les affinités que l’on peut avoir avec elle ne nous semble en aucune façon liées à son moyen de subsistance qu’est le travail salarié.André Gorz souligne de faon très pertinente et documentée que : « Jamais la fonction irremplaçable, indispensable du travail en tant que source de lien social, de cohésion sociale, d’intégration, de socialisation, d’identité personnelle, de sens, n’aura été invoquée aussi obsessionellement que depuis qu’il ne peut remplir aucune de ces fonctions ».Nous sommes aujourd’hui dans cette situation au combien paradoxale où un niveau de vie satisfaisant pourrait être offert à tous moyennant une faible quantité de travail, mais où le culte du travail doublé de l’invention du chômage poussent à produire sans cesse plus (sans pour autant systématiquement parvenir à employer plus de personnes), à consommer plus (sans pour autant améliorer sa qualité de vie), à accroître les inégalités, à placer certaines personnes dans la difficulté par absence de travail et d’autres par excès de travail. On est donc en droit de s’interroger sur la redistribution du travail, bien sûr, mais c’est surtout sa finalité qu’il faut questionner, sa place dans notre existence.A la question de la vie sans travail, de l’oisiveté beaucoup de personnes se disent qu’il doit s’agir de vie peu intéressantes, que l’on doit s’ennuyer, car c’est souvent le cas des chômeurs par exemple. Effectivement, on ne peut pas augmenter indéfiniment le temps consacré à regarder la télévision , se reposer, boire avec des amis, on finirait par être lassé (plus vite par la télévision que par le reste). Le point qui doit être bien compris est que notre temps libre est ici un temps libéré du travail, un temps fait de nos initiatives détachées de l’échange monétaire, constitué de nos errances personnelles, de nos rencontres avec nous-mêmes, un temps que chacun doit apprendre à inventer.


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Machin qui ressemble à Machin qui ressemble à MachinMachin qui ressemble à Machin qui ressemble à MachinMachin qui ressemble à Machin qui ressemble à MachinMachin qui ressemble à Machin qui ressemble à MachinMachin qui ressemble à Machin qui ressemble à MachinMachin


Record Label: Unsigned

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