A six ans, je découvris le violon lors d’un bal folk, et commençai dès lors son apprentissage classique avec Philippe Arestan à l’ école de musique de mon village. Mais j’ eus la chance de découvrir tout un tas d’influences qui restent aujourd’;hui mes principales inspirations. A commencer par les divers voyages que j’ai pu faire avec mes parents, étant enfant : le Maroc, l’Inde et l’Himalaya ( où nous emportâmes nos instruments, pour jouer dans les villages ), la Martinique, la Grèce, la Turquie, le Liban ( dont l’activité porta sur le chant ), ainsi que l’Angleterre, l’ Ecosse, et l’ Irlande .
Aussi, à 15 ans, je découvris l’association MusTraDem (Musiques Traditionnelles de Demain), ainsi que, lors de ses stages, une puissance nouvelle qui etait celle de l’ivresse musicale (les "boeufs" collectifs, ainsi que les bals folk). Depuis, j’ y fis des stages de violon irlandais, bodran irlandais, théorie jazz et improvisation, musique des balkans, et sonorisation.
Cette même année, j’ entrais à l’ Ecole Supérieure de Design Rhône Alpes ( www.lamartiniere-terreaux.com/galerie/LMD%20ESDRA%2005-06.pd
f), pour y ressortir trois ans plus tard en possession d’un Bac STI Arts Appliqués. Deux années riches de théatre m’ y ont aussi été offertes. Outre les trois stages que j’ y ai effectué (dont un stage de photographie et un autre d’ illustration ), j’ ai eu la chance d’ acquérir un esprit critique et analytique de l’art, de comprendre l’avancement de son histoire, et de pouvoir assumer n’ importe lequel de mes choix en sa création. En matière de musique, le troisième des stages fut effectué chez le luthier Claude Macabrey qui m’ apprit avec passion les rapports infimes entre le son et l’ instrument, sans parler de sa simple culture en matière de musique. Ces années sont de meme largement à prendre en compte dans ma volonté présente d’ être compositeur.
Environ un ans avant de passer mon bac, je sentais déja une pressante envie d’aller passer une année loin de chez moi, de ma famille, et de mes amis. Après avoir longuement réfléchis ma décision de vivre de la musique, je décidais donc de partir en Irlande. Pourquoi en Irlande, pourquoi à Cork ? La musique irlandaise fut évidemment une part de mes motivations, mais je m’ étais toujours sentit des affinités avec ce pays. Cork fut la capitale européenne en 2005, et son festival de jazz est assez reputé. Mais j' allais aussi y trouver la fameuse Cork School of Music, crée en 1878, qui fut acceuillit en septembre dans de nouveaux batîments des plus reflechis en matière d’architecture et de technologie, et de reflexion sonore. (http://www.murrayolaoire.com/education/projects/csm/index.h
tml)
En son sein, en plus des cours de violon et de theorie, j’ai la chance de participer à la chorale, ainsi qu’ à la symphonie. Aussi, je decouvre la musique classique que j’avais jusque là plutot considere comme un simple sujet d’ etude. Enfin, certains livres passionnants sur la musique accompagnent mon annee, et m’aident à comprendre beaucoup de ses aspects.
Mes projets pour l’année prochaine ?
Paris, pour une licence de Musique et Musicologie a la Sorbonne.
