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Bienvenus, je travaille sur trois projets principaux:
1. La Paix. Cela ne semble pas sérieux, c'est la musique que tu écoutes maintenant sur le site, c'est un projet qui tente de démontrer à partir de la musique, la cohabitation de ce qui apparemment est opposé. La base c'est la recherche de la musique le plus « root », loin du « mainstream » -et qui généralement montre plus de résistance- (je crois aussi qu'ici on trouve le concept réel de la contre-culture, en même temps, cela montre la culture comme ce qui est civilisé et occidental). La paix, un thème vivant, nécessaire et urgent par rapport à la réalité mondiale actuelle, c'est cela qui montre mon espace, la possibilité d’intégrer dans un « compas » le yiddish et les égyptiens, les chants religieux grecs et le rap de Turquie ; l'idée est le pardon et l'évolution collective à partir des valeurs que le groupe visualise. Je suis collectionneur de musique du monde et je l’ai mise dans mon propre monde, un lieu plus juste et beaux ou tout le monde a un espace, rien n’est impassable, impossible ? impassable ; (dans le monde de DJ Jorge Lucas rien n’est impossible).
Mes fêtes englobe pratiquement toutes les regions du monde, c’est là , la musique du « mittleurope », la musique des marginaux, la racaille, les junkies, les gitans, les autochtones , les préhispaniques, les soumis, les minorités, les déjantés, les « pirecuas », les salsas, les raspa et la mélodie du « tibiri ».
2. Antonin Artaud.
Sur la base de l'oeuvre de l'auteur français, on propose une représentation de la conscience, de l’humain, la diversification. Ma musique n'est ni fond ni forme (comme dans le théâtre classique) mais elle prétend bouger comme une élément indépendant et être un texte en soi même qui présente aussi l'interprétation de l'auteur à partir de moi, ici j'utilise un « electribe », un « moog », une « g4 », enregistrements analogiques, le tout séparé dans sept chaînes, dans un essai cavernicole de créer des miroirs et rebonds spéciaux comme écho –la nymphe qui est tombée amoureuse de Narcise-. 3. Le Son
En soi même, le son est déjà un challenge. Son traitement, son respect, sa non sous-estimation. La musique est devant tout les arts (même si cela semble prétentieux), le son est la matière première et à partir de lui je fais mon journalisme (je vis de faire de la radio), mon travail et ma fête (je fais l'ingénierie audio de plusieurs groupes de rock et d’autres genres). Je préfère toujours les présentations massives, gratuites, si elles ont un sens spécial pour les assistants tant mieux, je me suis présenté dans places publiques, festivals d'art (même ceux très chics et des autres plus authentiques), dans des écoles de divers niveaux (même si je ne crois pas en l' éducation traditionnelle ni unidirectionnelle), dans des cabines de radio pour faire des expériences en direct, dans des marchés, dans des foires de différents nivaux et ordres, j'aime que ma proposition touche le plus de personnes possibles et que ça soi comme ils veulent (avec ou sans la frivolité du bar ou lieu en vogue mais si tu m'invites j'arrive aussi). Je n'ai pas de limites, j'aime la philosophie et la nourriture typique et aussi la technologie, je suis l'un des diffuseurs du logiciel gratuit et code ouvert spécialement pour aveugles (linux + blind = blinux). Je travaille tout mon matériel sans windog$ et je suis un critique, je crois que tout art ou littérature serieux doivent l'etre, je travaille sur la démythification et la destruction des idoles - plus c’est difficile mieux c’est-, je m'en vais (à partir de la recommandation d'un maître) avec une citation: ìA landscape is a representation, the painterÃs representation, and not, as we all know but habitually forget, the thing itself. This forgetting is so common that it constitutes a significant feature of aesthetics. We try to understand reality through our interpretations, through the stories we raise the significance, and through the meaning those stories make in the rest of our lives. It is also a feature of traditional autobiography. Stories told by others become part of our experience, as ìrealî as any house, school, or person in their ability to shape our lives.
Leigh Gilmore
Bienvenidos...
Trabajo sobre tres proyectos principales,
1. Paz.
Parece menos serio, es la música que escuchas ahora en el sitio, es un proyecto que pretende demostrar a partir de la música la conviencia de lo que aparentemente es enemigo. Está basado en la búsqueda de la música más root, alejada del mainstream -y que generalmente muestra más resistencia-, (incluso creo que aquà está el concepto real de la contracultura, al mismo tiempo muestra la cultura únicamente como lo civilizado o lo occidental).
La paz, un tema vigente, necesario y urgente respecto de la realidad mundial actual, eso muestra mi espacio, la posibilidad de en un compas integrar el yiddish y a los egipcios, los cantos religiosos griegos y el rap turco; la idea es el perdon y la evolucion colectiva a partir de valores que visualizan el grupo.
Colecciono música del mundo y la coloco en mi propio mundo, un lugar más justo y bello donde caben todos, nada es impasable, imposible? impasable; (en el mundo de dj jorge lucas nada es imposible).
Mis reventones abarcan prácticamente todas las regiones del mundo, figuran la música de la mittleuropa, la música de los rechazados, la escoria, los junkies, los gitanos, los nativos, los prehispánicos, los conquistados, las minorÃas, los azotados, las pirecuas, las salsas, la raspa y la melodÃa del tibiri.
2. Antonin Artaud.
Basados en la obra del autor francés, propusimos una representación de la conciencia, lo humano, la diversificación. Mi música no es fondo ni acompañamiento (como en el teatro clásico) sino que pretende moverse como un elemento independiente y ser un texto propiamente que presenta también la interpretación del autor a partir de mÃ, aquà uso un electribe, un moog, una g4, grabaciones análogicas, todo separado en siete canales con un intento cavernicola de crear espejos y rebotes especiales como eco -la ninfa que se enamoro de Narciso-.
3. El sonido
En sà mismo, el sonido ya es un reto. Su tratamiento, su respeto, su no subestimación. La música va adelante de todas las artes (aunque no quiero sonar pretencioso), el sonido es la materia prima y a partir de él hago mi periodismo (vivo de hacer radio), mi trabajo y mi reventón (hago la ingenierÃa de audio de varios grupos de rock y de otros géneros). Siempre prefiero las presentaciones masivas, gratuitas, si tienen un sentido especial para los asistentes mejor, me he presentado en Plazas Públicas, Festivales de Arte (de los muy mamones y otros que son más auténticos), en escuelas de varios niveles (aunque no creo en la educacion tradicional ni unidireccional), en cabinas de radio para hacer experimentos en vivo, en mercados, en Ferias de diferentes niveles y ordenes, me encanta que mi propuesta llegue a la mayorÃa de personas posibles y que sea como ellos quieren (en o sin la frivolidad de los bares o lugares de moda pero si me invitas también voy). No tengo lÃmites, me encanta la filosofÃa y la comida tÃpica y también la tecnologÃa, soy uno de los difusores del software libre y código abierto especialmente para ciegos (linux + blind = blinux). Todo mi material lo trabajo prescindiendo de windog$ y soy un crÃtico, creo que todo arte serio o literatura deben serlo, trabajo sobre la desmitificación y la destrucción de los Ãdolos -entre más dificil mejor-, me voy (a partir de la recomendación de un maestro) con una cita: ìA landscape is a representation, the painterÃs representation, and not, as we all know but habitually forget, the thing itself. This forgetting is so common that it constitutes a significant feature of aesthetics. We try to understand reality through our interpretations, through the stories we raise the significance, and through the meaning those stories make in the rest of our lives. It is also a feature of traditional autobiography. Stories told by others become part of our experience, as ìrealî as any house, school, or person in their ability to shape our lives.î Leigh Gilmore,
I work on three primary projects,
1. The peace.
It seems less serious than it is, is the music you’re listening on the site, it’s a project that pretends to demonstrate, from the music, the living together of what is apparently opposite. It is based on the research of the most root music, far from the mainstream – and which shows generally more resistance-, (I even think that here lies the real concept of contra-culture, at the same time it shows culture just as what’s civilized or occidental). The peace, a theme in force, necessary and urgent concerning the current global reality, that’s what sows my space, the possibility of integrate in a compass, the Yiddish and the Egypt’s, the Greek religious chants and the Turk rap; the idea is to forgive and the collective evolution from the values that visualized the group. I collect music from all around the world and I put it on my own world, a place more just and beautiful, where everybody is welcome, nothing is impassable, impossible? Impassable; (on dj jorge lucas’s world nothing is impossible). My parties include practically each region of the world, they’re there the music from the mittleurope, the music of the rejects, the scum, the junkies, the gypsies, the natives, the prehispanics, the conquered, the minorities, the ravers, the pirecuas, the salsa, the raspa and the tibiri melody.
2. Antonin Artaud.
Based on the work of this French author, we proposed a representation of the consciousness, the human, and the diversity. My music is neither form nor accompaniment (as in the classic theatre) but pretends to move as an independent element and to be a text by itself that also presents the author’s interpretation from me, here I use an electribe, a moog, a g4, analogical recordings, all of it separate on seven channels on a cave dweller essay of creating mirrors and special rebounds as Eco –the nymph who fell in love with Narcissus-.
3. The sound
By itself, the sound is already a challenge. It’s treatment, respect and non sub-estimation. The music comes before all the other arts (even if I don’t want to sound pretentious), sound is the raw material and I make my journalism from it (I live of making radio), my work and my party (I make the audio engineering for several groups of rock and other genres). I prefer always massive presentations, that are free, if they have a special sense for the assistants even better, I’ve presented on public places, art festivals (those very snob and others more authentic), in schools of different levels (even tough I don’t believe in traditional or unidirectional education), on radio broadcast for alive experiments, on markets, fairs of different levels and orders, I love that my proposal gets to the majority of possible persons and that it does it like they want it (with or without the bar’s or vogue place’s frivolity, but if you invite me I go there to). I don’t have limitations, I love philosophy and typical food and also technology, I’m one of free software and open code diffusers especially for blind people (linux + blind = blinux). I work all my material without windog$ and I’m a critic, I think all serious art must be, I work on debunking idols -the most hard it is, the best-, I go now (like a master recommends) with a quote: ìA landscape is a representation, the painterÃs representation, and not, as we all know but habitually forget, the thing itself. This forgetting is so common that it constitutes a significant feature of aesthetics. We try to understand reality through our interpretations, through the stories we raise the significance, and through the meaning those stories make in the rest of our lives. It is also a feature of traditional autobiography. Stories told by others become part of our experience, as ìrealî as any house, school, or person in their ability to shape our lives.
Leigh Gilmore