KERIDWENNLe groupe est créé en 2006 entre des copains de la fac de droit de NIMES après un essai musique pop acoustique peu concluant l’année précédente.Sa formation définitive arrive à son terme en novembre 2006 avec l’arrivée d’Edouard à la batterie et de François à la basse complétant ainsi un piano et deux guitares acoustiques et/ou électriques.Le style est alors clairement envisagé à travers le mélange des styles de musique écoutés par chacun et sans compromis.Ainsi on peut noter l’influence de groupes comme MUSE, COLDPLAY ou PLACEBO, mais aussi de sons plus énervés tels que Rage Against the Machine, ou plus d’ambiance comme GORILLAZ, CAKE, sans oublier touche classique apportée dans la construction des morceaux.Le groupe n’a pas la prétention de contrôler à la perfection toutes ces idées si différentes mais le lien entre elles donne un résultat reconnaissable et une couleur de son particulière.Les premiers concerts de cette formation ont été donnés à NIMES pour la fête de la musique 2007 ainsi que dans quelques pubs Nîmois mais l’accent a été mis sur l’enregistrement d’une maquette pour trouver plus de dates.Pour janvier 2008 KERIDWENN réalise son 1er album, nommé « ROTARY CLUBBIN’», entièrement autoproduit proposant 10 titres autour d’un thème particulier : la négation du « soft », en effet les paroles ( en anglais pour la plupart) traite de l’esprit du Rock un peu perdu de nos jours, parlant de cette révolte moderne qui n’ose heurter certains piliers dits « intouchables », comme si le rock devait se limiter à faire changer les mentalités dans un certain cadre et toujours faire attention à ne pas dire certaines choses ou à toucher certains domaines.Le Rock de notre époque serait devenu politiquement correct tout en croyant encore incarner un esprit de révolte lui-même dépassé.Cet esprit a enlevé au rock son essence même : le besoin de choquer, d’être dérangeant, avant-gardiste d’aborder des thèmes nouveaux et non pas des radotages reconnus maintenant par tous.Voila l’esprit de KERIDWENN : tout peut être abordé, sous n’importe quel angle pourvu que ça heurte les mentalités autant que le décalage des textes des STONES à leurs débuts et avec leur génération.Les générations ayant évoluées, il faut alors trouver d’autres mots et laisser aux classiques les thèmes de leur époque un peu trop réutilisés aujourd’hui.DON’T BE SOFT IN YOURS WORDS.
Create your own visitor map!
Layout by: