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CLIP// Snake -26 GANG// "du rap" envoyé par RICSON 26 HALL... - Zoo envoyé par RICSON
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Sounds Like: Je me nomme Arthur BUCAT, j’étais un professeur à l’université de Paris vers 1951. J’avais 25 ans, nous étions dans le désert de Nasca, sur le champ de fouille au sud du site, prés du Singe, quand nous découvrîmes une tombe qui descendait. Une fois arrivés en bas des escaliers, nous entrâmes dans la tombe d’un roi inca accusé d’avoir libéré le dieu de la destruction : RICSON, dieu qui était représenté comme un serpent à plume sur les gravures mais qui ressemblait à une boule couverte de tentacules. Le roi Chipsou avait dressé un temple pour RICSON, ce temple n’avait jamais été découvert. Mais dans la tombe, un plan du temple et de son emplacement était marqué dessus, la légende racontait qu’un sacrifice humain permettrait le réveil du dieu qui détruirait la vie provoquant ainsi la fin du monde.« Mais ce n’est qu’une légende ? demanda mon ami_Oui, mais le plan prouve que le temple existe, répondis-je »Les lectures du plan furent rapides, mais il fallait les vérifier. Pendant ce temps, je m’intéressais aux inscriptions du tombeau. Il était marqué que pour arriver au temple, il fallait traverser des épreuves, et que ceux qui ne repartiraient pas auraient une chance de survie :« Crois-tu à cette légende ? demandai-je à mon ami_ Non, ce n’est qu’une légende, je n’y crois pas, me répondit-il. »Quand nous ressortîmes de la tombe, le chantier était désert, tous les ouvriers avaient fui de peur.
De retour dans la tombe, nous observâmes : il y avait, au fond, une dalle, une sorte d’avertissement, qui disait que personne n’était revenu vivant du temple de Ricson. Elle racontait aussi que le temple était gardé par un monstre, un géant qui foudroyait quiconque voudrait sortir du temple sauf le dieu. Le plan fut traduit et réécrit en français et en cinq feuilles, une pour la route, une pour la salle de sacrifice, une pour le temple, une pour la salle du trésor et une pour la façon de détruire le dieu. La prophétie arriverait vraiment mais on ne savait pas quand. La route à suivre nous amena en Amazonie.Nous décidâmes de faire une expédition là -bas, mais il fallait des personnes qualifiées, un explorateur se joignit à nous : John Wild. Une fois arrivés à l’embouchure de l’Amazone, nous réussîmes à acheter des porteurs et un guide pour nous aider. Nous partîmes le lendemain. Cette nuit là , je ne pus fermer l’œil de la nuit, j’imaginais le temple et la richesse du trésor. Le matin, nous prîmes un bon petit déjeuner, nous prîmes notre matériel : quelques fusils, un sac de munitions, quelques lampes et des vivres.Le début de l’expédition se passa sans problème mais le quatrième jour, nous entendîmes des tambours : il s’agissait des cannibales. Notre guide parlait « la langue des tambours », il nous traduisit :«Ils parlent d’un menu, ils disent que les porteurs ont l’air plus tendre._ Vous croyez qu’ils vont attaquer ? demandai-je_ Non tant que M. Wild tiendra son fusil, ils n’attaqueront pas, me répondit-il._ Ne vous en faites pas, je n’avais pas l’intention de le lâcher, dit John. »Le lendemain, deux des dix-sept porteurs disparurent. De jour en jour, le nombre de porteurs diminua. Quatre jours après la première disparition, cinq autres porteurs disparurent. On croyait qu’ils s’étaient échappés mais le cinquième jour, on découvrit les têtes plantées sur des pics avec une dalle sur laquelle était inscrit en langue cannibale «Territoire de Ricson»«Je crois que nous sommes bientôt arrivés dis-je._ Installons le campement ici, répliqua John. »
Cette nuit-là , je lus les cinq plans mais surtout la partie qui permettait la destruction du monstre et du dieu. Dès le lever dusoleil, le groupe était prêt et nous partîmes vers 9 heures. Nous entrâmes dans le « territoire de Ricson. A la vue du temple, nous devînmes plus prudents ; quatre porteurs tombèrent dans un trou rempli de serpents : nous entendîmes les cris de ces malheureux en train de se faire piquer. En entrant dans le temple, nous vîmes une statue avec des éclairs. Nous arrivâmes dans un labyrinthe. Il nous restait six porteurs. Au premier croisement nous prîmes à gauche comme c’était indiqué sur le plan.Une fois sortis du labyrinthe, nous débouchâmes dans une salle gigantesque avec deux portes, une porte pour la salle de sacrifice et l’autre pour la salle de trésor. Les porteurs voulaient voir le trésor, nous décidâmes de laisser là les porteurs mais dés que nous entrâmes dans la salle de sacrifice, nous entendîmes des hurlements d’horreur : nous y pénétrâmes. Lorsque nous entrâmes, il y avait au milieu de la salle un autel couvert de sang et derrière un trou avec un liquide vert qui faisait des bulles, qui dégageait des odeurs nauséabondes. Soudain, un prêtre arriva et prononça une formule magique. Le guide s’envola et atterrit sur la table. Le prêtre sortit un poignard, lui arracha le cœur et le fit tomber dans le liquide. A ce moment, une sorte de boule couverte de tentacules sortit du liquide et fonça droit sur nous en nous lançant des jets de magie. Quand nous sortîmes du labyrinthe, nous avions de l’avance, mais une vision d’horreur me glaça le sang. La statue était devenue vivante et elle nous lança des éclairs. John fut foudroyé. C’est alors que Ricson arriva. Le monstre et le dieu lancèrent un pouvoir mais je réussis à l’éviter. Le monstre toucha à mort le dieu qui lui-même tua le monstre.En sortant du temple je m’évanouis et me réveillai. A cause de la malédiction, à chaque pleine lune, je revois les gens qui périrent dans cette exploration. Je crois devenir fou par cette aventure.Baptiste LUCAS
Record Label: Brako Records
Type of Label: Indie
