DIEU PENSE A L'HOMME Jules Supervielle/Martine Caplanne
(Guitare : Jules Thévenot)
TOI René Guy Cadou/Martine Caplanne
(Guitares : M.Caplanne - Jules Thévenot)
TA PAROLE + QUELQUE PART Hélène Cadou/Martine Caplanne
(Guitares : M.Caplanne - Jules Thévenot)
Originaire du Pays Basque, Martine Caplanne a commencé par écrire ses propres chansons, mais, très vite, elle a préféré mettre en musique les poètes. Martine chante partout en France et parfois à l’étranger. Ses circuits sont variés, avec peut-être une dominante : les manifestations autour du Livre, mais aussi des Festivals de musique et chansons (Les Tombées de la Nuit de Rennes, Alors Chante de Montauban...)
Outre ses prestations habituelles autour de divers poètes (CADOU - SUPERVIELLE etc...) destinées aux adultes et des animations Jeune Public, elle a présenté en 96 un spectacle LORCA où elle chante en espagnol avec un guitariste flamenco, Pascual Gallo et deux comédiennes.
En avril 98 "Lire et chanter Rainer Maria RILKE" avec une comédienne et un guitariste, David Usabiaga. Depuis avril 99, avec la complicité de Métélok, comédien, elle présente également un spectacle d'humour mêlant chanson et café-théâtre : "L'Anselme à tous vents", d'après l’oeuvre du poète Jean L'ANSELME.
Comment passer outre le bicentenaire de la naissance de Victor HUGO ? En 2002, « Salut Victor ! » évoque sa présence, son humanité et son actualité...
Depuis, la Scène Nationale de Bayonne a co-produit le spectacle « L’humour est un fan de poèmes », avec les guitaristes Albert Eyheramendy et David Usabiaga autour de l’humour de poètes tels que PREVERT, VIAN, FORT, DESNOS, QUENEAU, SOUPAULT…
Le 28 avril 2007 au théâtre du Colisée de Biarritz, a eu lieu la première du spectacle “La vie commence au mois d’avril†consacré à Guy d’ARCANGUES, avec le guitariste Albert Eyheramendy et deux artistes d’Escalazur.
"Peuple d'arbres" (2004) sur des textes de TOUZEIL est sa 10e production discographique.
“La liberté des feuillesâ€
Martine Caplanne sert dans ce spectacle la poésie du quotidien... de l’émotion au rire... la vraie vie quoi ! Son chant porte haut ces textes écrits pour nous par des amis connus ou inconnus. La guitare grave ou facétieuse d’Albert Eyheramendy enveloppe sa voix si particulière et les mots de Cadou ou Supervielle mêlés à ceux d’autres auteurs contemporains gardent leur éternelle jeunesse.
“L’humour est un fan de poèmesâ€
Tendre ou ravageur, absurde, insolent ou macabre, l’humour est décliné dans toutes ses nuances par nombre de poètes, qui ont su mettre en valeur avec drôlerie les mille et une facettes de la réalité. Martine Caplanne leur prête sa voix grave et chaude pour un tour de chant et un “tour de textes†pleins de fantaisie auxquels sont conviés Queneau, Prévert, Vian, Fort, Soupault, Desnos, L’Anselme, Dimey et d’autres, connus ou à découvrir.
“L’Anselme à tous ventsâ€
Un spectacle original mêlant chanson française et café-théâtre humoristique construit à partir de l’--uvre du poète contemporain Jean L’Anselme. Martine Caplanne, compositeur-interprête et Métélok, comédien de talent, ont imaginé un échange verbal entre l’auteur et son --uvre. Sa poésie est à la fois décalée, rafraichissante et philosophique. Son humour lucide et décapant n’est jamais méchant. Le dialogue est ponctué de textes dits et de douze chansons interprétées par Martine.
“La vie commence au mois d’avrilâ€
Au cours du spectacle, Martine Caplanne et le guitariste Albert Eyheramendy célèbrent le poète Guy d’Arcangues. La chanteuse qui lui consacra naguère un disque, a mis en musique - entre gravité et légèreté - un choix de textes où les images éclatantes du bonheur d’aimer côtoient l’ombre des mauvais jours et du temps qui passe.
PRESSE
(…) Trouver son mode d’expression demeure un des processus les plus passionnants de l’existence, le peaufiner relève du grand art. Un accomplissement en soi. Martine Caplanne a trouvé sa voie, la mise en musique des poèmes qui l’inspirent.Vétus de rouge et de noir, Martine Caplanne et son guitariste Albert Eyheramendy ont accueilli leur public par un malicieux “Bonsoir†du poète Philippe Soupault. Derrière le regard espiègle de la chanteuse conteuse se cache un tempérament vif. Sa voix à la fois grave et enveloppante, se teinte d’un voile pudique dans les textes les plus remuants. Elle semble s’accorder une distance tacite entre les mots qu’elle chante et leur impact direct, comme pour ne pas heurter de plein fouet la sensibilité de chacun. Donner du lest à la tristesse et du corps au plaisir...â€
Alexandre Lanz - “Journal du Jura†- Bienne
Martine Caplanne sert les poètes avec un talent extraordinaire. J’ai assisté récemment au Théâtre de Bayonne, devant une salle comble, à son spectacle ciselé et en suis ressorti conforté dans mon amour pour l’humour poétique sur scène. Si elle se produit près de chez vous, allez-y, vous ne regretterez pas votre soirée.
Jean Pierre Lesieur - Revue “Comme en poésieâ€
“C’est drôle, poétique, décoiffant et dénonciateur avec une ironie lucide et salvatriceâ€.
Bernard Keryhuel - “La lettre de Chants-Sonsâ€
La chanteuse Martine Caplanne ovationnée par le public pour le dernier “Chantez Guinguettesâ€. Samedi, la Maison de la Vie Rurale a fait le plein pour la dernière de “Chantez guinguettesâ€. Cette soirée organisée en partenariat avec Arts Métiss, recevait la chanteuse Martine Caplanne et douze poètes venus de la France entière lui rendre hommage. Accompagnée par son guitariste Albert Eyheramendy, elle a emmené le public jusqu’à minuit à la rencontre de poètes d’hier et d’aujourd’hui. A l’issue du spectacle, les applaudissements se sont prolongés longtemps.
“Ouest Franceâ€
Martine Caplanne chante Guy d’Arcangues et elle a raison.
(...) Je savais que Martine Caplanne avait enregistré un disque (épuisé) de textes de ce poète que sans l’avoir lu, je classais chez les “convenusâ€. Erreur de jeunesse, pensais-je, tout le monde a le droit à l’erreur, même “l’hirondelle des poètesâ€, que l’on ne peut taxer de superficialité ni de légèreté, encore moins de recherche de la “convenance†Par ces quelques lignes, je veux battre ma coulpe, et devant Martine et devant l’âme du poète disparu. J’étais au Colisée de Biarritz il y a quelques jours et j’ai assisté à l’hommage rendu par la chanteuse, son complice le guitariste Albert Eyheramendy ainsi que Luce Buchheit et René Hervé, deux artistes de l’association “Escalazurâ€. Et là je suis restée pétrifiée. Pas par la voix ni par l’interprétation de Martine dont je connais le charisme et la puissance émotive transmissible, pas non plus par la virtuosité du guitariste basque dont j’avais déjà ressenti le “feelingâ€, mais par les textes de ce d’Arcangues qui a quitté ce monde et son village tant aimé il y a trois ans. Tout y est : la profondeur, la gravité, l’émerveillement, la joie qui surgit là où on l’attend le moins, l’amour, la tendresse. Et l’humour et l’humanisme. L’engagement aussi. (...)
J.C. “Le journal du Pays Basqueâ€