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Quentin Michel , commence à se faire une belle place dans le paysage musical. Un style épuré, une voix qui marque les esprits.
Quentin nous plonge dans son univers intimiste et nous délivre un message qui nous prend par les sentiments,
sur une mélodie tantôt acoustique, tantôt plus folk-rock,
abordée avec légèreté mais profondeur.
Son expérience grandissante de la scène lui fait mettre en avant,
de manière épurée, le son brut des instruments,
loin des effets divers et autres masques.
Et le résultat est clair :
une musique simple et efficace.
Début 2009, après un passage télévisuel très remarqué sur plusieurs grandes chaines et radio belges / françaises, Quentin clôture le projet Amosis et s'entoure de nouveaux musiciens afin de nous livrer ses nouvelles compositions,
plus matures et plus personnelles.
Nouvelle Star 2009 - Quentin - Lille
Quentin Nouvelle Star 2009 [AMOSIS] - Papillon De Lumiere
"[...] Séduit par son audace"
- Sud Presse -
"[...] Quand les bides deviennent des standards"
- Voici -
"Mais le plus étonnant aura été ce jeune montois. [...] Osez, ca paye !"
- La Dernière Heure -
"Après la S.A, c'est N.S qui pourra se vanter d'avoir trouvé une perle rare"
- StarNews -
"Dans la catégorie "insolite" on voudrait Quentin.
Nul doute que ce garçon peut encore nous étonner"
- PurePeople -
"A travers des compositions originales d'abord,
grâce à toute la hargne mise dans l'interprétation, ensuite.
Mixez le tout avec beaucoup de créativité et du talent made in mons.
Rendez-vous dans quelques mois quand il sera peut-être devenu le nouveau Suarez"
- La Province -
Et je m'en fous de tes lèvres
De tes yeux qui me bouffaient le soir
De tes baisers au goût de fièvre
Qui me brûlent, comme notre histoire
Et je m'en fous quand je me lève
De savoir avec qui, pourquoi
Pourvu que le temps nous enlève
Et nous redonne son éclat
Et je me fous quoi qu'on me dise, même si je mens
De mes conneries, de mes rêves, mes rêves d'enfants
Et je m'en fous et que j'en crève
D'avoir saigné mon cœur à blanc
D'avoir pu croire qu'on était grands
Invincibles comme deux géants
Nous n'étions que des enfants
Pourvu que le temps...
Et je m'en fous quoi que tu fasses
Quoi que tu dises, quoi qu'il se passe
Tu lutteras pour que ça passe
Mais saches que rien ne nous remplace
N'oublie jamais qu'on était grands
Deux grands géants, petits enfants
Petit homme brun, petit homme blanc
Pourvu que le temps...