Voilà vingt ans que le groupe DREMMWEL parcourt les routes, déballant sa musique bretonne de fest noz en
concert, de pub en théâtre et festival, tant en Bretagne, en France, qu’à l’étranger (Belgique, Pays de Galles, Suisse, Écosse, Autriche, USA, Pays bas, Angleterre…)Bombardes, biniou, hautbois, accordéons, violon, guitares, percussions
s'accordent avec une belle complicité sur un terrain d'entente:
les musiques traditionnelles de Bretagne dans lesquelles se faufilent des motifs personnels.Anecdotique il y a peu, la harpe est devenue la véritable signature du groupe.
Trop souvent confinée dans la tiédeur des salons elle s'encanaille désormais sur les planches. Parce qu'elle est capable de passer de l'accompagnement à la mélodie avec une aisance rythmique et harmonique, il n'y avait aucune objection à ce qu'elle ne trouve une place de choix dans la musique à danser.Créer des arrangements originaux en préservant le caractère breton, offrir aux danseurs un rythme confortable, fusionner les sources de la tradition avec les idées d'aujourd'hui, telles sont les raisons qui ont valu
à DREMMWEL d'être repéré ici et là pour ses choix mélodiques, ses compositions, la variété de son répertoire, son dynamisme et ses couleurs musicales sans cesse renouvelées.En portant un regard sur sa région d’origine, le groupe a, lors de la parution de “ Glazig †son dernier album, insufflé une nouvelle vie aux gavottes oubliées du Pays de Quimper. Celles ci se sont rapidement propagées jusque dans les endroits les plus inattendus et connaissent aujourd’hui un sacré succès auprès des danseurs.Et puis, à la faveur d’une amitié qui s’est renforcée à l’occasion de l’enregistrement du second disque, une collaboration régulière s’est établie depuis 2001 entre DREMMWEL et la chanteuse Louise Ebrel. Ensemble ils se sont déjà produits sur de nombreuses scènes et ont créé « Un tamm amzer », spectacle dans lequel le chant breton a capella côtoie des instrumentaux d’origine traditionnelle et se fond dans des arrangements spécialement imaginés.A l’occasion de ses vingt ans de scène, DREMMWEL a enregistré « Lañs », nouvel album en compagnie de Louise Ebrel, Pascal Lamour, Les Repris de Justesse et Patrice Marzin.
Dremmwel, in Breton language - horizon, as a band are used to playing for the many local events that call for traditional dancing and their reputation has drawn invites from festivals from home and abroad. For about twenty years now the Dremmwel band have reached every corner of their native Brittany, the rest of France, and further afield to Wales, Belgium, Austria, Switzerland, Holland, and not forgetting Scotland and the USA.
They hail from the Cornouaille area of south-west Brittany and the core of their line-up has been settled since 1993.
A strong feature of this is the Celtic harp playing of Marin Lhopiteau who is also in great demand to make these instruments in his Quimper workshop. The classic coupling of Breton oboe, the bombard, and binou koz, the small Breton pipes, is played by Rene Marchand and Dominique Le Guichaoua respectively. Rene also plays whistle and the veuze, another type of small pipes from Nantes. He also handles the group's vocals. Dominique doubles on diatonic accordions and low whistles. Daniel Cadiou is the rhythm powerhouse on guitar and the most recent addition to the band is Segal Le Corre who brings his experience to play sensitive percussion to accompany acoustic instruments.
They have been including more guest artists in their stage show recently. This includes a partnership with Louise Ebrel, a daughter of Eugenie, one of the famous Goadec Sisters whose traditional kan ha diskan singing wowed the biggest stadium crowds attracted by Alan Stivell in the 1970s during the modern transformation of Breton music. Louise sings 5 songs on the current Dremmwel CD Lañs that was launched in May 2006.