Fils du Five.0.Nine, du zion, adopté par le 97. Ma vybes c’est essentiellent le fruit de la Dancehall comme tout les enfants du west indies qui frissonaient en parlant et en entendant parlé des sounds systems. En gros ma musique c’est ma caraibes, sa chaleur, sa tristesse, et surtout sa richesse. (West indies for life). J’écris des textes depuis mon plus jeune âge, à l’époque où les sons étaient enregistré sur les walkman sur une cassette qui passait une fois sur deux, mais j’ai réellement commencé à faire des projets concrets à 14ans en écoutants les singjays de la jamaique(Sizzla), quelques vybes haitiennes(Wyclef Jean), le hip-hop kreyol (Fuckly, Darkman), sans oublié un certain Admiral T au niveau Dancehall. Quelques temps après c’est la rencontre avec l’homme Mash qui devient un frère dans touts les projets et me donne une vrais force. Sinon les débuts dans l’underground c’est surtout les premiers pas avec le LCC(Lacroix, Pa Jok Pa tèss kon di Apo), puis le « Professy Crew » qui était composé de Madico, Bless, Gangsta, Doggy et qui est devenu « Dem Clean » en se consolidant. En 2006/2007, je laisse la Guadeloupe pour la France mais c’est aussi la continuité d’un nom qui commence à faire son petit bout de chemin, la rencontre de Selecta Jagwa, Kysha et Leerod avec qui je fonde le Bullet Lyrikal Production pour passer à quelques chose de plus structuré avec des ambitions plus grandes et une motivation sans limites. D’ailleurs Beaucoup de projets sont en préparation tel que mon Street album et autres projets communs qu’il faut suivre. On me demande assez souvent pour qui j’ai du respect dans l’underground et la réponse ne varie toujours pas. Il y’a beaucoup de deejays qui font le travail comme il faut mais les choses changent vite et les réèls d’aujourd’hui deviennent trop facilement faux et partousent une identité musicale. Ainsi, elle est rabaissée aux yeux de ceux qui viennent de l’exterieur et elle elle est amputée de son charme. Cependant les ambitions sont là et on voit qui fait de la musique pour manger des sketels et qui la pratique avec passion et dévotion. Le dernier mot, je le dédie à ceux qui m’ont le plus sévèrement critiqué, parce-qu’ils m’on fait voir comment la musique pouvait être cruel et m’on donné l’envie de progresser sans jamais m’endormir sur mes lauriers. Le dernier mot, c’est aussi pour ceux qui me suivent depuis le début, ceux qui me donnent la force d’avancer, la lionesse que Dieu m’a donné pour mêre et biensûr le tout puissant qui est le socle de tout mes projets. BIG UP A TOUT LES NEGUS