Le GALAGO profile picture

Le GALAGO

About Me

GALAGO is the duo project of Christophe Marc and Gregory Pleiber-Lemoigne (from Ichabod Crane)


Myspace Layouts - Myspace Editor - Hot Comments - Image Hosting

My Interests

Music:

Member Since: 15/04/2007
Band Website: under construction...
Band Members: Christophe Marc (vocals, instruments), Gregory Pleiber-Lemoigne (drums)
Influences: Plenty!
Sounds Like: ............ Download this | Create my own widget
This album on jamendo.com"Sans aucun doute un des meilleurs albums du panel Christophe Marc. La batterie est effarante d'ubiquité, les guitares rivalisent de nappes harmoniques glaciales à la profondeur marbrée et la voix n'a jamais été aussi juste émotionnellement, entre mélancolie extatique et euphorie inquiète. Que dire d'un tel enchainement de titres fabuleux, sans s'empêtrer dans les adjectifs dithyrambiques, d'autant plus que l'excellence des titres augmente au fil de l'album jusqu'à atteindre un sommet indépassable avec 'The Idiot'. Animals débute avec un enchevêtrement de guitares lumineuses, que la batterie de Gregory Pleiber-Lemoigne vient cadrer avec fermeté, juste avant que les nappes de synthé ne viennent plomber cet envol d'arrières pensées ténébreuses. On ne quittera plus cet entre-deux tout au long de l'album, oscillant sans cesse entre deux extrêmes insaisissables, Une pesanteur sournoise s'immisçant perpétuellement au cœur même d'échappées hallucinantes d'amertume. 'Are you ready' résume à lui seul cette introduction, alternant plages arides et désespérées, et séquences d'une amplitude harmonique presque irréelle. 'Murder', course frénétique dominé par la panique s'achève en compagnie d'un violon vénéneux. 'Low Heaven' marque un premier palier. On se hisse avec ce titre un cran au-dessus de tout ce que l'on a entendu avant. Plus de tension, plus d'âpreté, plus de vertige, et un martellement profond et hypnotique qui irrigue ce qui va suivre de sombres appréhensions. 'The self in the shell' s'achève ainsi sur une rythmique haletante traversée d'accords dissonants. 'Better This way' semble tellement opaque que même l'humour noir du titre ne parvient pas à l'éclairer. 'Everything is fine' (habillés d'accents aériens qui évoque un peu les Smiths) inaugure quelques titres presque optimistes. At Sandy's, diamant noir, est magnifique de pâmoison torturée. 'Say Goodbye' offre un bouquet d'harmonies d'une étrange beauté avant la perfection sublime de 'The Idiot'. Et tout s'achève avec "C.C.", conclusion acoustique minimaliste et charmeuse." BALTHAZ..................................................... ........................................................... "Le cœur serré et exalté à la fois c'est rare. Je te mets sur mon étagère virtuelle avec le travail de "The Rest", "Death Cab For Cutie", "The Postal Service" et Grace Valhalla (mes artistes favoris depuis que j'ai abandonné les disques physiques). L'album tient vraiment la route en tant que tel. Ça fait plaisir de retrouver le frisson des galettes qui ont un début et une fin. Ok computer ou Kid A de Radiohead par exemple. Les références passent : Radiohead, Jeff Buckley, Bashung, Noir Désir, Smiths et bien d'autres mais restent au loin dans le paysage et on ne voit plus qu'une unité. Go Galago go." LEUGARYS............ Download this | Create my own widget
This album on jamendo.com"On retrouve ici les caractéristiques instrumentales du premier Galago, toutefois la tonalité générale en est nettement moins sombre. La voix de Christophe Marc est toujours aussi confondante de sensibilité exacerbée et de détachement presque réveur, et l'écoute de cet album apporte son lot de surprises enthousiasmantes: Galago prouve qu'il sait se renouveler tout en restant fidèle à lui même et c'est presque un bonheur communicatif qui émane de ces chansons, même si la fragilité de ce qui fait la vie reste un thème toujours présent dans les compositions. 'Little Opening' nous emporte peu à peu dans une sorte de sarabande étrange, étourdissante et vascillante, mélange d'euphorie et de nostalgie, comme si la conscience aiguë du temps qui fuit menaçait constamment l'instant présent. Superbe psalmodie répétitive de la flute, reprise ensuite par les cordes, qui chavire l'esprit. 'Everyone Of Us' enchaine magistralement, avec une mélodie sublime qui annonce la couleur, cet opus sera riche en harmonies subtiles ou ne sera pas. Le fantôme des Smiths va hanter la majeure partie des titres. 'So High' sera donc ainsi, obstinément serein, malgré un refrain qui sonne comme un glas prémonitoire. Ainsi également '41', un intermède aérien lumineux, et 'The Gift', une des plus belle chanson de l'album. Une ballade hypnotique rythmée par un arpège obsédant de guitare, un break en apesanteur, puis une chute vertigineuse ... 'Birkenhead' débute ensuite par un ouverture à la Johnny Marr, titre légèrement mélancolique auquel on pourrait également trouver des réminiscences de Prefab Sprout. 'Anywhere' poursuit sur une trame mélodique délicieusement maniérée, comme sous l'emprise d'une ivresse progressive des sens. Un étourdissement fabuleux auquel 'Here comes your love', digression hallucinée, apportera une conclusion apaisée. L'album s'achève avec 'You Swine', chanson spartiate dans son dépouillement orchestral (traversée au début du troisième couplet par la vision fantastique et fugitive d'un gouffre abyssal) qui invite à l'introspection, et 'Someone's bound to get hurt', titre magnifique à ne rater sous aucun prétexte." BALTHAZ
Record Label: Unsigned

My Blog

quelques nouvelles

Salut les "friends",juste un petit mot pour vous dire que je viens de mettre en ligne quelques nouveaux morceaux. Ceux -ci ne sont pas vraiment finis (le seront-ils un jour?) mais ils sont le résultat...
Posted by on Fri, 08 Aug 2008 23:55:00 GMT