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Member Since: 4/13/2007
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THEATRE DE RUE A L'ARTIFICE DE POCHE
TOUT PUBLIC A PARTIR DE 7 ANS
contact :
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diffusion :
Marie - 06.16.67.70.64
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... l'histoire :
« Marcel Poudre » est un spectacle de proximité comme une épicerie de quartier, comme une guerre de tranchées !
Marcel Poudre ressort “l’Affolanteâ€, cette unique machine à feu d’artifice de poche héritée de son grand père. Et, avec harmonie, entre ses peurs imaginaires et les dangers réels, il va exécuter pour la première fois un feu d’artifice où la pyrotechnie tente seule de se donner en spectacle !Par le biais de monologues absurdes, naïfs, ironiques et poétiques, Marcel parle de son enfance sans père dans une famille de marchands d’armes. « …Marchands d'armes de père en fils !... ». Des choses sans intérêts, une affirmation tragique de l’existence au travers des notions de volonté, de puissance, et d’éternels retours…
« ... le coup des poules, j'ai eu un doute, ce n'était pas que d'artifice ces feux !... »Mais ce ne sont que de petites histoires qui ne résistent pas longtemps au feu… ça explose pour de vrai, juste là , ça sent fort la poudre noire, le café, la saucisse et le cognac…Boum !
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extraits de texte...
« Ha ! Ça venait du monde entier à la maison,
ça rigolait,
ça se tapait sur les cuisses,
ça bâfrait sévère,
ça négociait sec aussi,
et à la fin ça prenait un cognac.
Puis ça repartait
les bras chargés d’bombes et d’obus,
comme des cadeaux pour les enfants
quand on revient de voyage.
Alors moi je regardais ça partir,
retourner dans tous ces pays
et je m’imaginais…
Ha j’en crevais
tous ces feux partout
grâce aux Poudre marchand d’foudre.
Ha ! J’en crevais d’envie à les tirer moi aussi !
Ha j’en crevais d’rêver d’envie,
mais pas ma mère… »
[...]
…Le coup des poules, quand même… j’ai eu un doute. Ce n’était pas que d’artifices ces feux, ça dispersait les poules aussi en petits bouts. Et si les poules aussi… alors pas que les poules surement. Quand on est enfant on ne sait pas vraiment, mais on se doute… Ha le doute ! A quoi ça sert ? A faire joli ?Quoi le doute ? Mais non abrutis ! comme disait mon grand père, pas peu fier.On fête les rois.
On célébre les guerres.
On adule les Dieux !
Faut qu’ ça péte !
Faut qu’ ça péte !...faut qu’ ça péte… pour faire joli.C’était lui l’abrutis, oui, en fait il avait qu’a tout m’expliquer depuis le début et j’l’ aurais aîmé quand même, moi, mon grand père…
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l'équipe technique et artistique est avant tout composée de complices...
marcel poudre : michel lafont
construction : sylv'1 fertard
écriture : thomas tessier
mise en rue : patrice jouffroy www.lamuserie.com
musique "plastic bottle" : FLX www.myspace.com/felicien
photos : arnaud iracane http://a.iracane.free.fr -joël verhoustaeten- elise - yves dupéron- fofi
illustrations : xavier boutin www.myspace.com/zavplus
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une co production :
le ratatouille théâtre,
les elvis platinés,
la vache qui rue / Le Théâtre Group'
le P.L.U.C,
le lieu noir / Cie cacahuète,
les amis du conte,
la friche du pont de la croix,
le jardin social club
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avec le soutien :
du Conseil Général du Gard, du Conseil Régional Languedoc Roussillon, de l'Atelline - pôle art de la rue / Languedoc Roussillon - Cie La C.I.A-------------------------------------------------------
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Pour la saison 2008 - 2009, "La cerise sur le béton" reçoit le soutien à la diffusion de "Réseau en scène / Languedoc - Roussillon"-------------------------------------------------
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Influences: le parlement du 17 novembre
Sounds Like:
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extraits de presse...
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Marcel Poudre, petit fils de marchands de poudres, nous présente cette machine unique, l’«Affolante », fabriquée par son grand père et qui permet de réaliser des feux d’artifices miniatures. Avant de nous faire sa première démonstration, il nous parle et laisse voguer ses souvenirs, car de la poudre d’artifice à la poudre à canon, il n’y a qu’un pas que son grand père a franchit sans état d’âmes.Ce personnage, simple et naïf, qui n’a pourtant pas l’air d’avoir inventé la poudre, laisse vagabonder sa mémoire et fouille dans sa malle pleine de souvenirs improbables, nous offrant dans une fiévreuse impatience coupures de journaux, plans d’origines de la fameuse machine, vieux morceaux de saucisson et verre de cognac,…. jusqu’à l’urne funéraire familiale.Michel Lafont nous offre avec justesse un personnage touchant et émouvant, qui se perd dans l’histoire simple de la vie, autour d’un long monologue, très écrit mais sans longueurs. Il campe avec justesse, un personnage border line, à la fois proche et lointain, attachant et inquiétant, qui reflète sûrement la complexité de l’âme humaine.Et cette belle histoire, à laquelle on finit par croire vraiment se termine par un époustouflant feu d’artifice de poche, qui réjouira et surprendra par son audace les spectateurs attendris.
Eric jalabert in vivantmag.fr
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... en pleine demonstration ?... euh, là j'suis plutôt calme, mais bon...
Record Label:
jardin social club
Type of Label: None