About Me
Née le 15 août 1986, ce fut le jour où Yannick Noah fut éliminé du tournois de Toronto, c’est ce même 15 août qu’un groupe universitaire découvre un nouveau produit pour la lutte contre les insectes. Cela expliquerai mon goût prononcé pour le sport et pour les insectes, c’est vrai que c’est bon les insectes ? Quand je suis à la pèche, étant assez impatient, il m’arrive de piocher dans la boîte à asticots, mes préférés se sont les gros blancs bien juteux.
J’ai rencontré la peur à l’âge de trois ans, dans la cuisine ma tête fait « toc » sur le carrelage ; je viens de tomber de haut en apprenant le décès de mon père, ça ne me fait plus mal maintenant mais j’y repenses souvent. J’aurais aimer le voir et l’avoir à mes cotés durant mon enfance. Qu’il voit mes dents tombées, mes boutons sortir et explosés (car c’est aussi une part d’horreur que de grandir). J’ aurais surtout voulu le voir triste à l’idée de voir mourir l’enfant et ému à la naissance de l’homme, vers 16 ans voyez-vous.
J’ai retrouvé la peur à l’âge de 20 ans, j’avais rien demander à personne, elle s’est pointer comme ça doucement, elle ma frapper dans le dos, elle m’a dit : « vas mettre tes rangers et marches aux pas derrière les autres », vive le service militaire.
Physiquement, je suis beau, enfin c’est ce que je crois : 1mètre80 pour 69 kilos, une taille de guet en effet. Je suis bien bronzé, dû à mes origines espagnoles dont je suis assez fier, ne me demandé pas pourquoi car moi-même je ne le sais pas. Je ne suis pas noir non plus, on va dire que j’ai le teint mat et loin d’être blafard. Mes cheveux, comme mes poils sont noirs, noirs comme une nuit d’hiver où on aurais enlever la lune et gommer les étoiles. Mon visage est sombre et en plus de ça, j’ai les yeux marrons, mais je m’aime tel que je suis et n’éprouve aucuns complexes en me regardant nu devant ma glace dans ma chambre. Je pense pas être polyvalent mais je m’adapte, je suis peut-être plus poly que valent…
Ce que j’aime, ça ne va pas chercher bien loin, j’aime plonger ma mains au plus profond d’un sac de grain. J’aime me ronger les ongles. J’aime tout, mais se que j’aime par dessus tout c’est de passer du temps avec mes amies. J’aime le football, le vélo et le sport en général mais je préfère quand même le foot.
Je suis gentil peut-être un peu trop même. Cette simplicité naturelle que je laisse transparaître se retrouve en moi qui ne suis non pas timide ou introverti, comme je suis trop souvent décrit, mais je sais tout bonnement rester à ma place. En résumer, je réussi l’exploit de rester authentique en toutes circonstances.
Je suis un vrai cow-boy, mais ne sachant pas monter à cheval je me contente d’un cheval à bascule et les balles de mon pistolet sont des balles à blancs. Aujourd’hui je suis bien dans ma vie mais étant jeune, je ne supportait pas ma vie telle qu’elle était. J’ai fugué, mais le simple fait que quelqu’un m’est rechercher fut suffisant pour ne pas recommencer.
Je rêve souvent que j’ai tué quelqu’un, que je l’annonce et que personne ne me croit, je suis tarauder par mon sens de la morale : la difficulté de prouver que j’ai bel et bien tué. Vous allez me prendre pour un fou et vous avez peut-être raison. Je ne suis pas comme ces psychanalystes qui tiennent un journal de leurs épisodes schizophréniques. Moi je communique étroitement avec des territoires enfouis, refoulés de moi-même, je fouille pour les faire jaillir. J’aimerais que les gens vote pour moi, je deviendrai alors le leader, celui qu’ils aiment. Malheureusement, les gens ne votent pas pour quelqu’un mais plutôt pour celui qu’ils n’aiment pas. Il me faudrait, comme adversaire un type, du genre (je laisse libre recourt a votre imagination et ainsi donc mettre le nom de votre ennemi).
Je suis malade de mon hyper productivité. J’ai constamment besoin de faire, de construire de voir grandir les choses, certainement pour endiguer une angoisse de mort, remplir cette invisible architecture qu’est la vie. Me tuer de fatigue, puis me plaindre, jurer que c’est fini puis recommencer. Pourtant j’ai conscience de la relativité de tout se qu’on fait. Je suis une contradiction vivante mais très consistante. Je rêve d’un monde où les gens m’adulent et m’idolâtrent, une sorte de Nikki Larson des temps modernes.
Je parle peut, disons que je ne parle pas pour rien dire. J’ai une voix presque fluette de « good-boy ». Je lis pas mal et possède un goût électrique en matière de musique, en effet je suis un mordu de rock. Mais pour moi, la musique quelle qu’elle soit est bonne à écouter. Je peu donc prêter mon oreille pour du rap ou autre. Niveau télévision je me force à ne pas rater mes séries favorites telles que « Dawson », « Friend’s » ; Il y en a d’autres mais je les ai zapper (jeu de mot).