Après des années passées à accompagner des groupes à la basse et à la contrebasse (Salomé, la Nef des fous, Le P’tit Jezu , Le Bruit qui court et, encore aujourd’hui, Louis Ville), partager des scènes avec Touré Kunda, les Waillers, Marcel et son orchestre, Les Hurlements de Léo, Sanseverino, Higelin, Anis et d'autres !), Albert Boutilier s’empare du micro et devient L’ALBERT, empruntant les sentiers de la chanson française, mélangeant créole et français dans le texte.
Tantôt à la contrebasse, à la piccolo ou à la guitare, il peaufinera son spectacle solo en coproduction avec l’association Pavé (Le Gueulard à Nilvange). Un premier album en découle, intitulé « L’Albert ».
Toujours avec l’association Pavé et la salle Jacques Brel de Talange, L’ALBERT se lance dans une nouvelle aventure embarquant avec lui, Yragaël Unfer (percus, vibraphone) et Olivier Guerbeur (accordéon, percus). On découvre alors que l’univers de L’Albert épouse à merveille les sonorités si particulières et propres du vibraphone et de l’accordéon, au point que cette originalité devient une évidence.
L’Albert joue sur la profondeur de sa voix suave aidé en cela d’un groove nonchalant mais certain, envoutant ceux et surtout celles qui ont le bonheur de lui prêter l’oreille (Erik bonnet, la plume culturelle)
Une contrebasse, une voix suave, un flot de crooner tranquille et impertinent, des sensations jazzy qui balancent, des textes d’une poésie douce et sucrée. Voici l’Albert, des mots qui font mouchent dans un univers littéraire sobre et des sonorités feutrées et colorées qui font vibrer. (Festival zikamine)
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Yamour Editeur Myspace
