"La
Rue du Désir fut barrée
par
les gravats de notre amour"
Marie
Dubas, Le Tango Stupéfiant
"La
Rue du Désir, une rue décatie, impudique, expressionniste où
les passions s'exacerbent dans les méandres d'une fantastique odyssée.
Voyage musical et onirique, dans lequel Orlando, chanteur-personnage androgyne,
rend hommage au Berlin des années 20 ( à Kurt Weill, Marlène
Dietrich, Fritz Lang, Pabst, Fassbinder... ).
"Un mélange visuel hallucinant de Grace Jones, Prince et Lisette
Malidor"
SCENEMAG