About Me
« J’ai courbé mon dessein, pour plaire à mon visage»
Par le feu des ensembles, tout nous devint possible. Nous sommes tous vécus, et nous n’a pas de fin. L’espace est au présent, le temps à l’harmonie, il n’est nulle surprise, il est une ignorance. L’étonnement sublime à la faveur des foules, qui marchandent leur âme pour un corps pierre. Etrange à la logique… Et pourtant si touchante…, La soie parisienne, l’horreur du beau, la fuite par le nombre, un miracle ! Je suis seul. Vite, il faudrait que ça dure, mais l’enveloppe est de vapeurs, plus humaines que réelles, et pourtant asphyxiantes. Le rêve d’un beau jour, au milieu des typhons… Sinon, quelle valeur ? Le regard froid des serpents engloutissant le chaud, et les bêlements inutiles des épargnés temporaires. Oh ! Les signes ! Oh ! Les visions ! Fumisteries d’écoliers engrossis… Bien. Au croisement, qu’est il dit ? Est on des deux, ou d’aucun ? Paradoxe, postulat, axiomes, matières à s’écorcher, à brûler vif, à dueler, se distinguer… de qui ? Sinon… de… C’est un peu tôt, il reste quelques fossés à visiter avant. Résumons, par le feu des ensembles, l’esprit prit son envol, bien au dessus des grecs et des petits croyants, l’atmosphère devint un drap somptueux, volatile, un drap ? Un océan, de la matière palpable, je parle de l’atmosphère de l’âme, l’autre est une évidence. Songez, vous y étiez. Brûler d’impatience ?.... C’est un coup à brûler tout court. Attendre ? C’est le lot de la caillasse. Flotter. Des femmes pour les hommes, des enfants pour les femmes, des rires pour les morts, des larmes pour les autres… La religion nous vint, en charmant les défunts, à nul escient mesurable, sinon … Allez, un petit raccourcis, nous nous attarderons ailleurs, à nul escient mesurable sinon celui d’éteindre les trop faibles fripouilles… Cela fait, des loups étaient venus de loin dans l’univers, des ténèbres de l’eau… Quel temps pour les voir hululer !… Un souffle, une peccadille… En attendant les aigles… Embrasser le canyon d’un œil précis et pur, fondre s’il faut fondre et, voler s’il le faut… Tout est presque là , dans une plume. Chemin faisant, nous refaisions les mondes, chacun à son image, médiocre, enfantin, puni ! La loi des séries avait encore cour et nombre de ses valets dissertait en son sein, prédisant sans prédire, projetant d’un banc sûr, de petites galettes ricochant sur l’étang, et troublant un instant, mon dieu ! leur reflet émouvant… Donc ému… En plein soleil d’été, ceux là cramaient dans leur caverne. Qu’eurent pensé d’eux ceux dont ils se réclamaient ? Ils les avaient pourtant bien vus, au pied de la montagne, leur porter victuailles, et recommandations : « Prenez garde aux loups… »
Mais, alors seulement, et déjà cormoran… Les avaient ils plus vu que les petits poissons qu’ils devinaient dans l’eau avant que dans leur ventre ? Certaines coquilles sont là pour témoigner que oui. Alors. Les blés neufs détournèrent l’attention générale, et l’on égorgea quelques porcs. Les ensembles enclos et dûment calculés, l’hiver serait clément. Je revois (me voilà ) l’ombre d’un grand père, penché à s’effacer, je veux dire, à se fondre en son ombre, qui mâchait un peu d’air, et qui s’éloignant de la place, semblait bredouiller quelques mots. M’approchant j’écoutais. Et là , au milieu des ensembles, d’étoiles, de comètes, de planètes, de matières, d’espoirs (sic), de lubies, de folies, de vivants et de stoïques, je l’entendis tout bas, froissant son visage détérioré, et semblant avoir toujours, marchander son corps pour quelques perles d’âme, briller ces quelques mots.