Jean

Etudes : diplômé d’un BBA (Bachelor of Business Administration) Diplômé également d'un 3ème cycle en intelligence économique.Expérience professionnelle : 7 ans consultant dans le secteur telecom / InternetAssociations : - fondateur en 2001 de La maison du Journalisme Continu (http://www.journalisme-continu.info) - fondateur en 2003 d’A.Q.I.T (http://www.aqit.org)Livres : - Avoir 20 ans en France (avec la préface de Jacques Dermagne, Président du Conseil Economique et Social), éditions Le Sémaphore, mai 2000 - Le manifeste du Journalisme Continu, janvier 2005, auto-édition - Ils ont tué la télé publique, avril 2006, éditions du Journalisme Continu ( http://telepublique.blogspirit.com ) - La Judéomanie, elle nuit aux juifs, elle nuit à la République, août 2006, éditions Tatamis ( http://judeomanie.blogspot.com )Autres : - donne régulièrement son sang, ses plaquettes, est inscrit à la liste France Greffe de Moelle pour donner sa moelle osseuse, et invite ses concitoyens patriotes et/ou altruistes à faire de même. - anglais courant, notions de japonais, d'allemand et d'espagnol - révèle le 14 septembre 2005 que Thierry Ardisson ment sur l’ampleur de son plagiat (Pondichéry) dans son autobiographie Confessions d’un baby-boomer qui sortira deux jours plus tard. Ardisson prétend avoir plagié 6 pages dans 1 livre, Robin démontre qu’il a en fait plagié au moins 60 pages dans 6 livres différents.Etat d’esprit : Médiocrité, hypocrisie et pusillanimité : voici les trois mots qui pourraient le mieux définir la France actuelle. Toute initiative qui remet quelque peu en cause le Système est vouée aux gémonies, et implacablement censurée, étouffée, méprisée. Nous sommes en pleine tolérance répressive, comme disait Marcuse. Point de goulag, ou de camp de concentration, mais à la place un silence assourdissant, et une chape de plomb écrasante, ce qui n’est guère mieux pour la Liberté. La liberté d’expression notamment, qui ne s’use que lorsqu’on ne s’en sert pas.J’ai décidé de m’en servir, quoi qu’il m’en coûte, et quoi qu’il en coûte à ceux que je mets en cause, preuves à l’appui. Je suis passé par tous les réseaux habituels de distribution, de médiatisation et de diffusion, pendant plus d’un an, et malgré cela les portes sont restées closes. Certaines me furent même claquées au nez, trop occupées qu’elles étaient à cirer les pompes du Dieu-Système. Moi, pauvre clampin, qui osait montrer et démontrer les failles de celui-ci, et appeler au changement, je n’ai eu droit qu’aux refus, arrogants et minables. Tous ceux que j’ai rencontrés se sont définitivement couchés, j’attendais d’eux qu’ils se battent, j’étais plus que naïf, inconscient.Au milieu de cet esprit munichois, de cette école de la défaite qui a envahit les esprits en France, il fallait bien « faire comme si », il fallait bien se lever et faire percer des faits qui sont pour le moins têtus. C’est le propre de Tatamis, et des livres d’enquête qui sont sur le point d’être divulgués au grand public. Sans intermédiaire, sans frontière, sans les barrières que le Système érige autour de lui comme on s’enferme dans une tour d’ivoire ou un bunker. Le Système a voulu me zapper, je n’ai pas d’autre alternative que de zapper le Système. Et de donner directement aux lecteurs ce qu’ils attendent, à savoir les preuves d’une sclérose que tout le monde ressent mais que personne n’ose démontrer.Les deux premiers livres, l’un sorti fin avril 2006, l’autre qui sort fin août 2006, ont été chacun refusé par plus de vingt maisons d’édition, de toutes tailles et de toutes tendances politiques. Aucune n’a remis en cause les faits ou l’analyse apportés, mais toutes ont invoqué des prétextes pour le moins ridicules et souvent insultants à l’égard de l’auteur. Sans Internet et la création de cette entreprise, vous n’auriez jamais pu apprendre ce que contiennent ces deux livres, et tous ceux qui suivront. Les manuscrits que nous publierons seront sélectionnés pour la qualité des preuves et de l’analyse qu’ils apportent, et pour la censure du Système qu’ils ont ou qu’ils vont subir. J’en appelle donc à tous les auteurs qui s’estiment censurés à nous envoyer leur manuscrit par e-mail, [email protected], et nous vous répondrons dans les plus brefs délais.