Je n’ai pas de métier, je n’ai que ma vie, je n’ai pas de vie, je n’ai qu’un métier. Ainsi que je prends ma vie pour mon métier et le contraire est confirmé. Sachez que je respire parce que je vis, et mon travail me traverse, ainsi je vis pour mon travail, sans avoir de vie.Mes amis sont ceux qui me fréquentent, mes potes ceux qui me croisent. Ma maison est ici et là , très souvent la bas, j’aime bien le mot bas, car lorsqu’on parle bas, on est très grand et même les géant nous entendent. Alors imaginez…Puisse moi un jour devenir grand, mais si je joue, cela me suffit amplement. Car je suis différent. Je suis différent non pas pour mes origines, ma couleur de peau, ou ma tronche, je suis différent dans les idées, dans le vécu et dans mes attentes. J’attends énormément de l’être humain et encore plus du monde mais le monde se meurtri il est envahi par l’évolution, une évolution bien régressive des m--urs du temps.Le monde Tech mobile, où le net fait sa loi, où les portables dictent nos vies. L’affront vint par le manque d’humanisme, en côtoyant des machines, on devient nous-mêmes des robots, nous créons une sorte d’automatisme de vie, et nous laissons plus place à la vie, à l’imprévue, aux surprises, au sourire. Que c’est beau un regard qui souris.Le monde est un désordre merveilleux, une superficialité qui le néglige. J’aime le désordre car le monde est comme ça, j’aime le désordre car mon esprit est comme ça. J’aime le désordre car le rangement me gave. Je vomi les idées proprement conçu.Je suis un artiste, acteur est la maladie dont je fus contaminé que vous appelez mon métier, j’aimerai que celui ou celle qui lise mes mots, en sois transformé voir traversé mais si cela « manque lieu d’exister», j’aimerai tout simplement vous rencontré afin que nous puissions créer, le monde a besoin de nous, il est bon temps de laissé s’exprimer ceux pour qui l’art n’est pas un mot quelconque, ceux qui veulent apporté une nouvelle vision dans ce monde contaminé et stérile, ceux pur qui la parole est encore une nécessité.