About Me
Formés à l’école "Cafés Concerts/Fanzines/etc.", les MOCKING BIRDS ont su se forger une solide réputation durant leur 6 ans d’activité qui se résume par un grand nombre de concerts, et d’une reconnaissance de part la presse ; ceci ponctué de deux CD autoproduits ("ASCENDANCY" [1997] et "CONTRADICTIONS" [1996]).
L’histoire commença au printemps 1994. Groupe de scène avant tout, les Mocking Birds donnent leur premier concert quelques mois plus tard.
Après plus d’une cinquantaine de dates, le premier CD autoproduit "Contradictions" sort en août 1996. Il sera uniquement distribué à la fin des concerts. De quatuor, le groupe devient trio.
Le second album "Ascendancy" sort en fin d’année 1997 (CD autoproduit en licence chez DATCHA et distribué par MUSIDISC). Bien accueilli par la presse et le public, une série de concerts s’en suivront (avec notamment Detrimental, Backsliders, King Size, Dionysos, Dead Pop Club, Homeboys, Dickybird, Peter And The Test Tube Babies, Heliogabale, Vendetta, The Turbo A.C.'s, Holy Curse, X-Syndicate, Les Magoo, Clamantis, Mokoka, Salauds De Pauvres, Shield, Stroke, Mafaldas, Gutter Kids, Garbagemen, etc.).
Le groupe prit ensuite une tournure plus Power Pop ("Maquette 3.2", 3 titres dont 1 en français), avant de s'éteindre en mai 2000.
LES INROCKUPTIBLES (18 Février 98) :
«Les Mocking Birds débarquent pour mettre le feu à l'hospice et rebâtir une crèche. Ils barbouillent à grands jets de gouache mélodique des soleils souriants et des édifices verts pomme. Ils réinsèrent la vie et la jeunesse au sein d'un rock'n'roll étouffé par vingt ans de cravates trop serrées. L'artisanat souligne ici de vraies perspectives d'avenir.» ( Jean-Luc Manet )
ROCK SOUND (Février 98) :
«Parfaitement en place, riffs secs et épais, rythmique béton, production brute mais au son travaillé, nos oiseaux moqueurs y ajoutent une solide dose de mélodies bien frappées. Le rock n'est pas mort.»
BEST (Décembre 97) :
«Ah, les belles guitares discordantes que voilà , toujours un brin trop rapides pour être correctement expédiées, tant mieux. Une belle énergie communicative qui ne demande qu'à être partagée.»
RAGE (Février 98) :
«Une boulimie créative à la mesure de leur motivation. Un mélange explosif de sueur, de décibels, d'adrénaline et d'émotions. Un groupe qui vous communique sans artifices leur joie de vivre.»
GUITARE & CLAVIERS (Janvier 98) :
«"Ascendancy" joue la carte du syncrétisme au sein de la congrégation binaire. »
GUITARIST (Janvier 98) :
«Ce trio parisien fracasse tout ce que la fusion compte d'étiquettes en mêlant rock sixties-seventies, garage, métal et pop.»
ROCK SUD (Aix-en-Provence / Février 98) :
«Une efficacité et une mélodie simple et directe. Par sa simplicité et sa sincérité, "Ascendancy" ouvre dans une direction parfaitement adaptée à l'épreuve de la scène.»
TATAPOUM (22 Mai 2006) :
«Pour une fois que les Inrocks ne descendent pas un disque et disent vrai, je peux bien les citer ! Entre les Thugs et les Dogs, entre Angers et Rouen (de Paris plus précisément ! Ha ha !), le trio nous balance un rock'n'roll à l'ancienne à la fois mélodique et bien burné, et nous gave de titres imparables (dix-huit en tout, c'est dire si on est gâtés !), de durées diverses, balafrant ce rock'n'roll des familles et le jouant à toutes les sauces. Entre le superbe "Slowly" assez psyché qui ouvre le disque et le "Everyone for himself" basique et fonceur qui le clôt superbement, que du haut de gamme. "Cold shoulder", "Lost soul", "Ascendancy", "From day to day" sont les cinq premiers titres et rien qu'au bout de ceux-ci, on ne décroche plus, et comme la suite est de même qualité, eh bien il ne me reste plus qu'à mettre 5. Et à ajouter les Mocking Birds à la liste des références frenchies citées dans mes autres chroniques. Excellentissime, une foutue leçon de rock'n'roll.» ( Driveblind )