Michel Borla est un quadragenaire nicois qui a décidé de passer le seuil du premier album en ce debut d’annee 2007. Inspire par la periode musicale americaine des annees soixante dix, il aime Neil Young, Bob Dylan et cela s’entend. Les textes ont tous ete signes Michel Borla, a l’exception de trois ecrits par l’ecrivain Claire legendre. Les guitares electriques et acoustiques tissent une toile folk-pop-rock tres agreable a ecouter car notre homme a manifestement un talent de melodiste. Nous trouvons egalement un ton personnel, un ton melancolique et intimiste dans les paroles des chansons. Il flotte une ‘desabusion’ (comme disait le cher Nino Ferrer tout au long des onze titres de ‘Tuer le Temps’. Sous les ponts les ombres passent, la vie s’ecoule et Michel Borla contemple tout cela avec une tendresse non feinte. En paraphrasant Michel Borla, il est toujours possible de tuer le temps…en ecoutant encore et encore ce premier opus tres attachant. Nous voici en presence d’un auteur compositeur a suivre.
Raymond Serini Tandis que Jack Lalli écrit dans La Strada: (18 juin 2007)
[...]Bien inspiré par un folk rock lorgnant vers Neil Young, Dylan, avec une poésie du vécu, passionné, tendre... L’âme du poète déambule dans « Toutes les villes » sortant des sentiers battus avec « Invincible » l’alcool source d’inspiration, de déception, de réunion... Douce harmonica sur « Tuer le temps » qui nous éloigne.. Mais ses mots sont accrocheurs. Prenante la voix de Françoise Marchetti qui enveloppe ces mélodies acoustique et électrique soft... « Cape Cod » pour ce voyage vers l’Asie... 11 titres majestueux accompagnés par un piano, guitare, basse, batterie, flûte, osmose avec ses musiciens. Moment reposant ou déroutant, Michel Borla a du répondant. A découvrir !
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