About Me
Été 1987. Né à Mulhouse d’un père italien et d’une mère française, NYCO est bercé dès sa plus tendre enfance au son des mélodies italiennes : Eros Ramazzoti, Adriano Celentano, Rennato Zero, Laura Pausini, Richi e Poveri, Marco Masini, Claudio Baglioni, etc… résonnent sans cesse sous le toit familial. Traditionnellement, la famille se réunit autour de dîners qui se terminent en mini-concerts improvisés autour de ce père italien, par ailleurs guitariste amateur. Ces soirées donnent à NYCO le goût du rythme, de la musicalité et bien évidemment de l’Italie.
Le jeune homme vit dans un village d’Alsace peu connu, Carspach, à environ 20km de Mulhouse. Partageant ses moments de loisirs entre ses copains et l’école, il passe de plus en plus de temps à écouter son père jouer de la guitare. Fasciné par les belles mélodies, il ne lui en faut pas plus pour se décider à faire vibrer lui-même les cordes de la guitare paternelle. Après avoir plaqué les accords basiques qu’il lui a enseignés, NYCO décide de s’y intéresser de plus près et de continuer à étudier ses tablatures tout seul comme un grand.
Très vite, en autodidacte, il acquiert la maîtrise de la rythmique et commence à développer son propre style. L'artiste a alors une dizaine d’années et apprécie particulièrement le trio américain Hanson dont il ne cesse d’écouter les albums et de reproduire, uniquement d’oreille, les chansons sur sa guitare. Sa première guitare personnelle lui sera tout naturellement offerte par son père à l’occasion de sa deuxième communion : une guitare classique espagnole CAMP’S.
NYCO continue ainsi à se perfectionner et rencontre un batteur, Cédric, qui deviendra son meilleur ami : "J’ai rarement vu des batteurs aussi doué que lui", affirme-t-il. Ensemble, ils passent leurs mercredis et samedis après-midi à répéter et jouer des morceaux d’Oasis, Saez, Incubus, Offspring, Nirvana, etc… À 15 ans, le guitariste et sa famille s’installent définitivement en Bretagne (où il avait déjà vécu deux ans auparavant) et continue à se perfectionner sur son instrument. Cette pratique ne suffisant plus à ses envies, il s'oriente parallèlement vers le chant de façon plus assidue.
Il devient alors, à tout juste 16 ans, le guitariste-chanteur-leader de son vrai premier groupe, accompagné de ses amis musiciens (clin d’--il à Guillaume, le bassiste et Simon, le batteur). Leurs goûts se portent vers des artistes plus rock underground comme Girls in Hawaï, Interpol ou Nosfell tout autant que Placebo, David Bowie, Silverchair, Radiohead, Muse, Nirvana, Pixies ou Coldplay qui allient un son affirmé à des mélodies catchy correspondant pleinement à leur sensibilité adolescente.
Un an plus tard, Guillaume, le bassiste, se dirige lui aussi vers la guitare et le chant. Le groupe enchaîne répétitions et mini-tournées mais la direction musicale et les choix artistiques ne séduisent plus NYCO. Se sentant en désaccord, il quitte le groupe et poursuit l’aventure en solo passant l’essentiel de son temps à peaufiner ses compositions…
À l’arrivée des vacances d’été 2004, un musicien bassiste d’un groupe de pop-rock lui demande de faire un essai en tant que chanteur. NYCO a alors 17 ans et devient ainsi le chanteur-leader du groupe Bliss. Très vite l’alchimie au sein du groupe leur permet de se produire dans de nombreuses soirées (Fête de la Musique notamment) et d’organiser une mini-tournée régionale.
Grâce à l’argent ainsi récolté, le groupe investit dans du matériel d’enregistrement (enregistreur multi-pistes, kit micros pour batterie, micros pour le chant, etc...) et a l’opportunité d’enregistrer ses premières maquettes.
Munis d'un guide de la musique, ils proposent ces morceaux à de nombreux contacts espérant décrocher un contrat d'enregistrement avec une maison de disques. Finalement, ce sont des associations recherchant de nouveaux talents qui les remarquent et les engagent pour animer des soirées thématiques et autres manifestations locales. NYCO en profite pour se familiariser avec la scène et "la vie d'artiste" en tournée.
Galvanisé par cette modeste expérience, le chanteur réalise que la musique fait partie intégrante de sa vie et qu'elle constitue désormais la voie dans laquelle il doit progresser et consacrer toute son énergie. Mais il lui faut voler de ses propres ailes. Il décide donc, durant l'année 2006, de renoncer à l'école et de devenir indépendant. Ce changement, radical, lui demande beaucoup de sacrifices. Il quitte la Bretagne pour s'installer à Paris et y vivre de petits boulots en tentant de faire son chemin dans la musique.
Après des mois de galères, NYCO croise, lors d'une émission de télévision, un attaché de presse qui le remarque et lui propose de faire un essai en studio avec un ami producteur. Intimidé et impressionné par l'enjeu qui décidera de son avenir, NYCO n'écoute que son courage et lui présente des reprises a cappella et guitare-voix. Conquis, celui qui devient son producteur, le questionne sur ses envies, ses goûts musicaux, son parcours et ses origines italiennes qu'ils partagent.
Cette culture commune est le déclencheur qui les conduit à poser des voix en italien sur des maquettes. Le résultat est au-delà de leurs attentes et les conforte dans l'idée de travailler sur tout un album en italien. NYCO co-signe ainsi six des textes de l'album, compose et écrit entièrement un titre ("La Luna") et joue de la guitare sur l'ensemble des chansons.
Leur enthousiasme les encourage jusqu’à demander à Laura Pausini, figure emblématique de la variété italienne au succès français constant, d'écrire les paroles d'une chanson. Séduite par la mélodie, Laura offre à NYCO "Il ricordo che ho di noi" : un énorme tube en perspective.
Aujourd'hui, le premier single extrait, "Dimmi Perché…", affiche la direction musicale résolument pop mêlée de touches électro caractérisant la majeure partie de ses titres ("Parlami d'amore", "Paura"…). Sans oublier, bien entendu, de superbes ballades dans la plus pure tradition romantique… italienne !!! ("Amore mio", "La mia canzone", "Vivere").
NYCO a la voix. NYCO a des chansons en or. NYCO a un charisme irrésistible. Avec NYCO, l’alliance France-Italie prend sa revanche. Avanti !