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OEUVRE UNIQUE Hommage à I.BergmanYOU MUST SEE MY PICS IN THE WEB SITE OF MY AGENT www.lejoker.fr.. TORINO OCTOBER 2007 voici chez moi installation avec en guests DIRLOZ & ARTUS de l'ART POSTHUME chez OFR 2O rue du pt Thouars M.TempleINTUS


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MANIFESTE DE L'ART POSTHUME

INTENTION I-6
Un manifeste de l’art posthume
Ne vous attendez à rien
Attendez tout

Selon le dictionnaire le plus commun, l’art, c’est « l’expression d’un idéal de beauté dans les ..uvres humaines ». Nous nions cette définition que nous trouvons insuffisante en l’état. L’art, c’est un environnement et une sensibilité, l’art c’est la vie. Votre vie, votre environnement, votre sensibilité. L’art, c’est donner forme à l’espace qui nous sépare. L’art est politique. Depuis le carré de Malevitch l’art est, et, devant lui, « c’est une foule curieuse de critiques d’art instantané qui se presse à la traversée du miroir ». L’art est donc le seul domaine qui ait atteint son absolu, c’est-à-dire le domaine de la création pure. Le seul domaine où l’homme peut se vanter d’être l’égal d’un dieu, et ou il peut créer librement, et sans contraintes. Pourtant l’homme n’est rien sans le regard de l’autre. Cet autre qui juge, condamne, ratisse. Seul dieu juge. Et c’est pourquoi nous affirmons nous moquer de cet art sectaire et institutionnel qui est le vôtre. Celui que vous nommez contemporain. Il n’a de contemporain que son marasme. En ce jour brillant, nous décrétons la mort de l’art « contemporain » en terme d’époque de l’art, de mouvement, et l’avènement de l’art posthume. L’art-vie. « Il faut être un homme vivant et un artiste posthume ». Car « l’après-fin de l’art » ne peut-être ni moderne, ni contemporaine, mais posthume : « née après la mort de son père ». L’artiste posthume ne dispose pas, il propose. Non, « Dieu n’est pas détrôné ». Ainsi :De même que l’homme ne s’exprime jamais que dans ses contradictions les plus profondes, ce sont nos prétentions qui font de nous ce que nous sommes. L’art posthume ne se justifie pas. Il n’a rien à prouver. Nous préférons laisser l’art aux artistes qui le méritent, et vivre. Mieux vaut vivre que de faire de l’art. L’art est une conséquence, non un but. Il est grand temps de tirer les leçons de l’histoire, et de dépasser ces notions obsolètes que sont : le talent, la nouveauté, et le génie. Ils ralentissent. Si tout a déjà été dit, fait, et pensé, nous n’aurons aucune honte à redire, refaire, et repenser ce qui ne l’a pas été assez. Imiter nos pères pour mieux les dépasser n’est que justice leur rendre. Être multiple et agir dans tous les domaines nous permet de nous imaginer libre. Nous affûtons paraît-il déjà les couteaux qui nous tuerons plus tard. Conscience du support et soucis du détail valent bien chronologie et rétrospective dans le travail d’identification sociale de l’artiste. Notre identité n’a que faire de vos peurs. La réalité de nos faire est notre meilleure justification. Il faut penser plus large et prendre en charge notre propre système de diffusion. Nous rêvons de nouveaux lieux où les mannequins, les journalistes, et les artistes, iraient se faire voir. Créer des lieux de vie plutôt que des lieux d’art. « J’erre sans but et devenirs parce que je suis déjà, par le seul pouvoir de ma volonté ». Rien n’existe sans faire valoir, dit-on. La mannequin est le plus beau faire-valoir de notre époque, c’est une pute qu’on ne peut pas baiser. Nous sommes fatigués de ces madones rachitiques pour pédophiles patentés. Il n’y a pas plus d’intérêt à décréter art qu’à décréter artiste. Intéressé veut dire intéressant. L’art posthume est le miroir de son temps. What you see is what you get. Loft-story ne nous plait qu’en tant que mise en pratique des 15 mn de gloire de Warhol. Nous chions à la gueule du succès. Si « tout le monde peut le faire », tout le monde doit le faire. Il ne faut pas faire pour être. Il faut être pour être. Le courage de ne rien être, personne ne l’a jamais. Si l’on doit un jour être connu pour et par son ..uvre, cela sous-entend qu’on lira forcément cette dernière à la lumière de notre vie, et donc l’application d’une éthique stricte dans l’une comme dans l’autre. Nos valeurs ne sont pas artistiques mais humaines. L’intégrité, l’humilité, la fidélité et le respect, sont à l’amour, l’amitié et l’estime ce que sont la liberté, l’égalité, et la fraternité, aux français, une hypocrisie de plus à laquelle nous aimerions bien croire. Rien n’est gratuit, ni un hasard. Notre rancune se doit d’être tenace car pardonner, c’est déjà être supérieur. La réussite, c’est le masque de la société. En amour, nous choisirons toujours la pornographie à l’érotisme, elle a plus de réalité. La pornographie, c’est ce qu’on fait des choses. C’est vivant que nous sommes, et vivants que nous voulons être aimés. Notre paresse nous pousse à préférer l’amateurisme au professionnalisme du rien. Il y a une raison à ça. « La paresse est la vérité effective de l’homme ». Le travail n’est acceptable qu’extrême, car travailler, c’est se retirer de la vie. Le métier, c’est le savoir-faire de l’artiste qui va travailler une attachée-caisse dans le cerveau, et un chèque dans la poche. Nous n’acceptons le métier que dans le cadre de l’erreur qu’il représente, en particulier comme en général. L’acte d’amour est plus important que la jouissance, c’est pourquoi, dans notre système de pensée, la femme aura toujours plus de poids que l’..uvre qu’elle a inspirée. Dans les musées, nous préférons regarder les femmes que les peintures. En art, comme dans la vie, on a besoin de vérité, pas de sincérité. L’éthique gifle la morale comme la foi se doit de vomir l’espoir, ils ne sont pas compatibles. Vos doutes ne sont pas les nôtres. Nous n’avons que cette certitude que vous nommez égoïsme. L’égoïsme (au même titre que l’individualisme, le dadaïsme, le situationnisme, ou n’importe quel « isme ») ne vaut que s’il est partagé. À l’imitation, nous préférons l’original. Il vend mieux ! Ainsi nous préférerons Coca à Pepsi, le tatouage au body art, les tricheurs aux menteurs, Elle à Art Press, et Hustler à Purple, ils avancent à visage découvert. L’authenticité, d’aussi mauvais goût soit-elle, finit toujours par payer. Nous croyons au mauvais goût du public dans la durée. Lui seul à une chance de changer le monde. Il faut s’assumer tel qu’on est avant de vouloir changer le monde. Cette société du spectacle qui est la vôtre ne nous intéresse que dans la mesure ou elle nous fait perdre notre temps. « Perdre son temps est aujourd’hui la seule façon d’être libre ». « Il faut donner du sens au sens ». « Être invisible est l’unique alternative qui soit laissée à l’art posthume pour lutter contre la société du spectacle ». Nous ne serons invisibles que pour mieux vous aveugler. « L’art posthume est notre anti-matière comme la matière fait l’art contemporain ». Prêcher à des convertis ne peut être que le sacerdoce du faible. « La seule tyrannie qui existe est celle du faible sur le fort ». À côté de vos églises, ce sont des bordels gratuits que nous construirons, ainsi les gens pourront-ils choisir. Nous créons par amour de la vie, pas par peur de la mort. Du minuscule Palais de Tokyo, nous n’aimons que l’architecture qui a au moins le mérite d’être skatable, et donc utile. L’art posthume nique l’esthétique relationnelle, à qui nous reconnaissons quand même, dans notre infinie bonté, le droit à l’existence. Nous ne croyons pas plus à ces artistes qui ne peignent que pour eux-même et dans leurs caves, le pantalon plein de peinture, qu’aux artistes dit « contemporains ». Nous préférons pourtant nous vendre à vendre notre travail. L’artiste posthume étant forcément un grand homme, c’est aux grands musées que nous destinons notre ..uvre, notre vie. Les grands musées seuls séduisent le public. C’est au musée de venir à nous, pas à nous d’aller au musée. La reconnaissance ne vaut que par son caractère légitimant. La reconnaissance ne vaut rien. Personne ne peut, de toute manière, se targuer d’être le spectateur moyen de son époque. L’artiste reconnu ne pose que le problème de la reconnaissance de même que « les précurseurs n’ont que la chance d’être né avant ». Nous n’avons d’absolu que notre branlardise. Car nous sommes : Les fils de vos putes, de vos pds, de vos patrons et de vos jardiniers. L’air de votre air La liberté de votre liberté Le mépris de votre mépris Nous-mêmes. L’art posthume encule l’art contemporain. L’art, c’est la vie. Notre vie, à nulle autre pareille.

S’en revendique qui veut.

Volenti non fit injura. Gloria victis.

Artus pour l’art posthume.
AleksiAnnaArtusDanieleÉdouard,
Paris-Ernée, 15-26 août 2004.

Ne a Torino in Italia en 1975, Diplome de Graphisme en '95, en 1998 Mort de mon Pere SO... I Move in Paris en '98 pour assister le genie de Paolo Roversi, Je gagne le prix Kodak de la photo de mode (et oui je fait des photos depuis que j'ai 13ans...), je realise un special fashion week pour le FIGARO en 2001 (32page, 120photos et la mis en page..)et je m'achete une Renault 8 1970!!!, En 2002, je realise la couverture du TIME avec 10 page. En tout je realise des photos pour des magazines de mode comme: Harper's Bazaar, L'Officiel, Vogue, Dazed&Confused, Crash, Purple,Mixte, Label,... En 2004 avec ARTUS, Edouard Salier et Dirloz, je monte un collectif d'art appele ART POSTHUME, on ecrit un manifeste et on fait beaucoup d'expo sur Paris ou je realise des installations autour de l'Arte Povera et de la photos..., pendant la derniere exposition, chez Agnes B, on sort un livre, l'A.P.I. J'etait directeur artistique du mytique club parisien Les Bains Douches, ou j'ai realisè mes soirees culte SPLEEN. Je m'occupe aussi de plusieurs artistes et Dj's

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LA MAMMA! Daniele Tedeschi nasce come fotografo di reportage e foto bianche e nere intimiste ed un a volta arrivato a Parigi, dopo una breve esperienza di assistente per Paolo Roversi si dedica alla moda ma sempre in modo "concettuale" vince il premio Kodak e dopo aver interamente realizzato i supplementi "Fashion week" di TIME e Figaro e la copertina di Crash, pubblica su Dazed&Confused un immagine per Prada e su Purple un servizio dedicato al concept-store parigino di Comme des Garcons. Ritroviamo le sue immagini su numerose riviste prestigiose et underground come Harper's Bazaar, Label, Elle, Vogue greco, Mixte, etc... Ma non solo foto, lo troviamo alla creazione di un festival consacrato alla arte chiamato "Aperitivo", espone inoltre le sue istallazioni in gallerie come Patricia Dorfmann, Public, Agnes B, Punk, Carole de Bona, al festival di Hyeres ed al Museo della moda di Marsiglia. Ma è soprattutto un artista ed una persona in grado di creare eventi capaci di attirare a se migliaia di persone, per ultimo, la volonta con le sue serate "Spleen" di far rinascere un luogo mitico come Les Bains Douches. Nel 2004 con alcuni artisti della scena parigina , Artus, Anna Aquistapace, Dirloz e Edouard Salier, crea un movimento artistico chiamato l'ART POSTHUME scrivendone il relativo manifesto, esponendo e invitando un centinaio di artisti e pubblicando un libro intitolato l’ API (Art Posthume international). Nel suo lavoro ritroviamo constantemente, un gioco di luci contrastate ed ombre portanti. Nelle sue istallazioni sono presenti fotografia, video e musica. Ricreando luoghi di vita reali e spesso conviviali con opere prossime all'arte povera, sempre attorno ad un universo barocco illuminato di luci rosse.

Daniele Tedeschi, né comme photographe de reportage et photo noir et blanc intimiste. Une fois sur Paris en 1998, travaille bref ment comme assistant pour le photographe de mode Paolo Roversi et se dédie à la mode mais de manière conceptuelle après avoir gagné le prix Picto-Kodak. Après avoir réalisé, entier ment les suppléments modes du TIME et FIGARO, faite la couverture de Crash et publie sur Purple et Dazed & Confused, mais on retrouve ses images sur plusieurs revu prestigieuse et underground, comme, Label, Baco, Bil Bo K, Vogue Hellas, Mixte et Harper’s Bazaar. De plus ils est très actif dans la scène branche parisienne et on le retrouve à la tête d’un festival d’art contemporain nomme « Aperitivo ». Il expose dans différente galerie comme Patricia Dorfmann, Carole de Bona, In Fact, Public, Punk et Agnès B mais aussi au festival d’Hyères et au Musée de la mode de Marseille. Mais c’est surtout une personne capable d’attirer a lui-même des milliers de personnes dans ses événements nocturnes. Aujourd’hui est directeur artistique d’une soirée hype aux Bains Douches. En 2004, avec des artistes comme Artus, Anna Acquistapace, Dirloz et Edouard Salier, crée le mouvement artistique « ART POSTHUME » avec son propre manifeste écrit, il expose dans plusieurs galeries en France et a l’étranger et publie un livre appelle L’API (Art Posthume International). Dans son travail ont retrouvé un jeu d’ombre et de lumière très contraste et dans ses installations un mélange de Photographie, vidéo et musique, en recréant des lieux de vie conviviales avec des ..uvres proches de l’arte povera autour d’un univers baroque et lumières rouges tanisé.

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