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mega rubicube

from Mulhouse to Detroit

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on veut du LSD & des TR808 pour tout le monde !!!!!! on est jeunes , beaux et débile !!!!!on aime les casse_tete chinois mais pas les casses couilles !!!!on aime les blondes , les brunes , les rousses , les chauves mais pas les vieilles !!!!on aime les rubicubes , on en possede 7500 differents !!!!!

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Member Since: 2/12/2007
Band Website: youppala.com
Band Members: Hector Mayer & Arthur S§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ §Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â§Â §Â§Â§( for booking contact Natural undergroove resource recordings ) @ http://www.myspace.com/naturalundergrooveresource
Influences: HistoriqueLe LSD a été expérimenté pour la première fois en 1938 par le chimiste Albert Hofmann lorsqu'il travaillait pour l'entreprise pharmaceutique Sandoz (actuellement Novartis) sur les possibles applications thérapeutiques de l'ergot de seigle (Claviceps purpurea).Selon son témoignage dans son ouvrage LSD mon enfant terrible, il fut la première personne à l'expérimenter (de manière accidentelle la première fois) en manipulant ses cristaux cinq ans plus tard dans son laboratoire de Bâle en Suisse, expérimentant du même coup le bad trip.Jusqu'en 1966, Sandoz donnait du LSD aux chercheurs. Le LSD était alors utilisé dans les milieux de la psychiatrie et de la psychologie pour faciliter l'approche psychothérapeutique et de nombreuses études sont menées à son sujet. Certains chercheurs dont Timothy Leary deviennent convaincus du potentiel du LSD comme outil dans la recherche spirituelle, parlant d'état de conscience modifiée ; leurs recherches sont alors controversées et régulièrement soumises à caution jusqu'à être écartées de la communauté scientifique traditionnelle. Ils sont notamment à l'origine de la popularité du LSD dans la culture psychédélique dès le milieu des années 1960.Le LSD a été étudié comme arme chimique. En 1953, l’Office of Strategic Services (OSS), la future CIA, acheta du LSD à Sandoz pour développer une arme opérationnelle pouvant produire des effets tels que des troubles de la mémoire, un discrédit dû à des conduites aberrantes, des altérations du comportement sexuel, la délation, la suggestibilité et la dépendance. Ces recherches, « Projet MK-Ultra », cessèrent en 1960, après que de nombreux agents eurent pris du LSD pour leur propre plaisir.Il sera interdit par la convention sur les substances psychotropes de 1971 et interdit dans la plupart des pays à mesure qu'ils adapteront leur législation.Chimie [modifier] Formule chimique : C20H25N3O. L'agencement de ces atomes en fait une molécule liposoluble. Elle est automatiquement dissoute dans une carbonisation atomique de cologènes nucléaires.Le LSD est synthétisé à partir de l'acide lysergique, dérivé de l'ergot, un champignon à grain qui se développe principalement dans le seigle.Le LSD est une ergoline.Il existe quatre stéréoisomères du LSD : seul le diéthylamide de l'acide dextro-lysergique (d-LSD) peut être considéré comme psychoactif.Contrairement à ce qu'on croit, le LSD n'est pas acide mais basique (l'acide lysergique est acide mais le diéthylamide de l'acide lysergique n'est pas acide) ; il se combine avec un acide (par exemple l'acide tartrique) pour former un sel : le tartrate de diéthylamide de l'acide dextro-lysergique. Le LSD est sensible à l'oxygène, aux ultraviolets et au chlore, particulièrement en solution. Dans sa forme pure, il est incolore, inodore et faiblement amer.Pharmacologie [modifier] Le LSD est un psychotrope de la classe des perturbateurs ou psychodysleptiques et possède des propriétés hallucinogènes.Le LSD est vu comme l'une des drogues les plus puissantes : une dose de 25 microgrammes est souvent suffisante pour amener un effet pharmacologique.Le LSD n'entraîne aucune dépendance physique ou psychique.Le LSD ne conduit à aucune accoutumance à long terme mais à une importante accoutumance à court terme. Cette accoutumance provient probablement de la diminution de la quantité de neuromédiateurs (essentiellement la sérotonine) libérables par les neurones car une grande partie de ces neuromédiateurs ont déjà été libérés à travers les synapses lors des effets psychoactifs du LSD. Cette accoutumance disparaît progressivement. Cette accoutumance est croisée avec d'autres hallucinogènes comme la mescaline, le LSA, la psilocybine, le DMT.Usage détourné et récréatif [modifier] « Timbres » ou « buvards » imprégnés de LSD.Pour son usage récréatif, le LSD est vendu la plupart du temps sous forme de petits carrés de papier plus ou moins épais, imprimés ou non, dont les motifs servent souvent à désigner le genre (exemple : des pano pour des petits carrés imprimés avec un dessin de Panoramix, le druide à la fameuse potion magique dans Astérix). Plus exceptionnellement, il se présente sous forme liquide ou de micropointe : petite goutte de LSD dans une enveloppe gastrosoluble dont l'apparence peut rappeler celle d'un bout de mine de crayon. Sous sa forme liquide, le LSD est inodore, incolore et amer et il est sensible à la lumière et à l'oxygène.La légende urbaine veut que la dose de substance psycho-active contenue sur un carton de LSD varie de 50 à 400 microgrammes. En pratique, la dose varie entre 0 (1/3 des observations en France[1]) et 100 microgrammes.Effets [modifier] Du fait de son caractère hallucinogène, les effets du LSD peuvent varier en fonction de nombreux facteurs tels que les expériences passées, l'état d'esprit et l'environnement au moment de la prise, ainsi que la puissance de la dose.Le LSD agit sur les connexions entre les neurones qui régulent les fonctions intellectuelles.Les premiers effets du LSD surviennent généralement entre trente minutes et deux heures après l'ingestion, bien que certains usagers puissent ressentir les premiers effets après dix minutes seulement. Le sujet novice peut ne pas se sentir « partir ». La période active peut durer jusqu'à quatorze heures. La descente comme la montée s'effectue par « paliers ».Il est considéré comme enthéogène du fait de la récurrence de récits d'expériences mystiques de la part d'usagers.Effets recherchés [modifier] Désinhibition ; Sensation de liberté et d'harmonie ; Fous rires, euphorie ; Modifications sensorielles : hallucinations, confusion des sens (ou synesthésie, on voit les sons et on entend les couleurs); Perte de la notion du temps ; Il convient de préciser que même si le LSD est considéré comme un hallucinogène dans le sens où il perturbe l'ensemble des cinq sens, il est rare qu'il génère de véritables hallucinations visuelles (dans le sens de voir des choses qui ne sont pas là). Le LSD génère ce qu'il est plus correct d'appeler des illusions : déformation des motifs géométriques en mouvement, couleurs plus lumineuses, traînées colorées derrière les objets en déplacement...Le LSD étant un produit psycho-actif, les effets recherchés peuvent parfois se transformer en bad trip. En effet, ceux-ci sont souvent attribuables à un état psychologique et un environnement immédiat négatif lors de la consommation. Des sentiments tels que l'anxiété, la colère et la haine procurent souvent un bad trip. Cette expérience peut avoir des effets psychologiques négatifs, tels la paranoia et la dépression, jusqu'à longtemps après la consommation.Lorsque les effets s'estompent - descente - la fatigue apparaît et peut générer un état dépressif.Effets à court terme [modifier] Contraction utérine chez la femme pouvant entraîner un avortement ; hypertension ; accélération du rythme cardiaque (tachycardie); augmentation du taux de sucre dans le sang (hyperglycémie); crampes musculaires, tremblements ; dilatation de la pupille (mydriase). À fortes doses, il peut causer la synesthésie.Conséquences [modifier] Le LSD possède des particularités du fait de son puissant caractère hallucinogène et peut générer des accidents psychiatriques graves et durables dès la première prise, ainsi que des troubles de la perception. On parle alors de « syndrome post-hallucinatoire persistant », à savoir angoisses, phobies, état confusionel, dépression voire bouffées délirantes aiguës. Elle peut aussi amorcer la schizophrénie chez les personnes déjà sujettes à la maladie.De même, il existe un effet retour ou retour d'acide ou flash back qui replace brièvement l'usager dans l'état généré par la consommation de LSD sans en consommer, et ce plusieurs mois après la dernière prise.Aucune mort directement imputable au LSD n'a été recensée mais son usage peut avoir entraîné des morts par accidents ou suicide. Même si on manque d'études sur le sujet, certains estiment que la dose létale orale chez l'homme se situe entre 0,2 mg/kg et plus de 1 mg/kg [2].Argot [modifier] Les usagers utilisent des termes identiques à ceux utilisés par les usagers d'ecstasy :« gober » (ou bégo verlan): action d'avaler un carton de LSD ; « percher » (ou chépère ou shepper en verlan) : le fait d'être sous l'effet du LSD ; « montée » : le début des effets ; « descente » : la fin des effets. Le terme « tripper » servait originellement à désigner exclusivement les effets du LSD mais son usage se généralise dans un synonyme de délire et serait plus à rapprocher maintenant du terme bad trip dont il a repris le sens de voyage.LSD et société [modifier] Drogue générationnelle, le LSD a marqué son époque.De nombreux artistes ont consommé du LSD en grande quantité, notamment Jim Morrison des Doors, Syd Barrett du groupe Anglais Pink Floyd, les Beatles, Bob Dylan ou encore Jimi Hendrix. Ainsi, il a été très influent dans la création musicale de la fin des années 1960, et surtout dans la création et le développement du Rock psychédélique.
Sounds Like: nos parents
Record Label: Natural undergroove resource rec. / electrotopless
Type of Label: Indie