Le parcours accompli au cours des dernières années (bars, salles de spectacles, festivals, France) permet aujourd’hui à François Aubert de présenter une musique de style folk-rock dont les textes se marient à la richesse des mélodies. Transportant avec sensibilité l’âme et l’esprit, il dévoile une touche francophone, enthousiaste et chaleureuse. Le partage d’expériences personnelles et humaines reste toujours présent dans cet univers musical.
DISCOGRAPHIE
Volant de ses propres ailes, il met l’accent sur sa carrière en réalisant ses premiers enregistrements. En parfaite ébullition, les 10 chansons de La pêche au homard témoignent de ses débuts d’artiste solo. S’adressant aux sens avec vigueur et détermination, il se garde tout de même le droit d’évoquer au passage ses inquiétudes et la tendresse associée au plaisir de rêver. Les morceaux nous transportent à travers les joies et révoltes d’une période créative et très inspirée.
Enregistré en France, Sur le dos des coquillages, premier CD de l’auteur-compositeur et interprète François Aubert, propose 13 chansons, mais c’est des murs de Québec qu’émerge une créativité conduisant à un regard vers l’intérieur de nos pensées, vers les conformités qui nous entourent et dont nous usons sans liberté. Sur une musique qui nous entraîne loin, très loin dans le monde des émotions avec des accents parfois tendres, parfois éclatés, parfois mélancoliques, les textes profonds, intelligents s’accordent à autant de moments captés dans la vraie vie. Pour réaliser ce magnifique album, Aubert quitte Québec en octobre 1999 et se rend en région parisienne pour l’enregistrement. Sur le dos des coquillages est l’aboutissement, une aventure franco-québécoise où l’on découvre toute la splendeur de cet univers réunissant rêve et poésie. Nous invitant à l’abandon, il chante la liberté, la nostalgie et le bonheur de découvrir la vie et signe une oeuvre exceptionnelle au gré de l’innocence du temps jouant avec les réalités divulguées par notre bien-être.
BIENTÔT
À travers des chansons colorées, entraînantes, racoleuses et rafraîchissantes, son nouveau CD raconte les amours de jeunesse, l’arrivée de la belle saison, le voyage, le rêve et l’humour mais aussi dans la perte d’illusions, le silence et la naiveté. Sans cesse guidée par les émotions, cette créativité vivement applaudie trouve refuge dans l’ambiance d’une musique propice aux rapprochements et à la convivialité.
Un artiste à découvrir pour sa créativité originale, son talent et sa personnalité dynamique et spontanée. Fort d’une très grande expérience musicale et scènique, il trouvera sans aucun doute une place de choix auprès du public québécois.
Voici des informations additionnelles concernant le nouvel album :
François Aubert: Voix, Guitare acoustique, Choeurs Rick Haworth: Guitares acoustiques, Guitares électriques, Guitare Baryton, Guitare organ, Rickenbacker, National, Harmonica Alain Quirion: Batterie, Percussion Louis Lalancette: Basse Jean-François Gagnon: Trompette Mélanie Guay: Claviers, Voix, Choeurs Hassan El Hadi: Darbouka, Bendir, Chants arabes Toby Gendron: Programmations, Choeurs
Production: Balmoral © 2006 Paroles: François Aubert, Sophie Nault, Karyne Nguyen Musiques: François Aubert Réalisation: Toby Gendron Arrangements: Toby Gendron, François Aubert Enregistrement: Toby Gendron, Christine Lacasse Mixage: Toby Gendron Studio: Studio Montana
SPECTACLESPremier spectacle conçu par l’artiste, TRAINERIES fut présenté pour la première fois à Québec en novembre 1996 au café-théâtre des Fourberies. Par la suite, le spectacle se dirige en France où il sera joué du 26 novembre au 17 décembre de la même année. Après l’enregistrement de l’album La pêche au homard en février-mars 1997, TRAINERIES reprend la route outre-atlantique pendant cinq semaines où une quinzaine de représentations seront offertes, dont plusieurs au festival du Printemps de Bourges. De retour au pays, les derniers concerts sont vécus au Festivent et lors de L’estival Juniart au carré d’Youville à Québec, histoire de boucler la boucle.
Provoquer le silence est entre autres une des raisons qui pousse François Aubert à revenir sur scène. Après une absence de quelques années en raison d’une période d’écriture et de l’enregistrement de l’album Sur le dos des coquillages, le spectacle INTERRUPSON prend son envol au festival du Printemps de Bourges, édition 2000. La réaction est unanime et le spectacle captive un public qui en redemande et participe à son succès. D’ailleurs, les chansons Marijo et Toi mon petit coeur, obtiennent une place de choix dans le coeur des Français. Encore une fois, les cinq semaines de tournée, permettent la présentation de plusieurs spectacles, avant de revenir poursuivre sa course au Québec, en s’arrêtant le 24 mai 2001 Aux oiseaux de passage, lieu de la première provocation.
Après une brève absence en raison de l’enregistrement de l’album Naïf, un spectacle promenera très bientôt sa fièvre contagieuse partout au Québec. Les chansons feront vivre au spectateur une gamme d’émotions variées et le pousseront dans une direction inattendue et révélatrice du talent de l’artiste.
"Aux diverses rythmiques qui transportent en musique ses rêves, réflextions, pensées et sa poésie, François Aubert dégage du dynamisme à pleine pelle."
"Un artiste accompli à introduire dans une programmation et à découvrir pour sa créativité originale, son talent et sa personnalité dynamique et spontanée."
"François Aubert est en effet de ceux qui trouvent que la vie vaut la peine d’être vécue et il ne se gêne pas pour l’exprimer dans ses chansons. Possédant une solide expérience de scène, il sait gagner la ferveur et l’estime de son public à chacune de ses prestations."