..
À VIF... d'Histoires
Auteur : Patrick Duquoc (dit Pant)
édition mille poètes
ISBN : 978-0-9800689-8-6
Format : 60 pages, 6.0 x 9.0 po., broché, papier intérieur crème #80, encre intérieur en quatre couleurs, couverture extérieure #100 en quatre couleurs.
Couverture & 27 Illustrations en couleur de Marlen Guérin
Patrick Duquoc dit Pant, ou l’inverse… !!! Peu importe, ce tout en fait un « Poète », et c’est peu dire… !!! Car l’être, c’est savoir s’ouvrir et se donner aux autres et ce sans aucune limite.
Résumer en quelques mots ses cinq (5) histoires ici... !!! Je le ferai en associant le titre de chacune d'elles dans une seule phrase. Ce n'est point un « Sanctuaire » de « Fermer les yeux », « Du jour » où tu prends la « Pomme » « À vif ».
PANT CROQUE DANS LA VIE ET EN LUI « À VIF » ET NOUS OFFRE EN PARTAGE “SON TOUT†AUTANT AVEC SES MOTS QU'AVEC SES MAUX… TOUT SIMPLEMENT…. !!!
De par la lecture, à vous d'en apprécier toutes ses couleurs. D’un temps, d’une vie, d’un rêve ... !!!
ECRI(t)S DANS LA NUIT ET G(r)AINS DE LUMIERE, isbn 1411673085, édition mille poètes
Collection : Poésie d'aujourd'hui
Pant. Quatre petites lettres. Timides. Discrètes. Recroquevillées. Un A et un N pelotonnés dans les bras d’un P et d’un T. Coquille vide/ vidée/ sous vide ? Surtout aVide.
Coquille creuse qui a faim et qu’une fin dévore. Sa faim/ fin, c’est l’écriture. Carnassière, mortelle, cette faim/ fin est une suite. Tel est le sens des deux premiers pan(t)s de ce recueil. La fin comme suite, comme fuite : « la fuite/ ou l’enfer/ la fin/ ou l’envers », dit-il. Un envers infernal qui n’est rien d’autre que les profondeurs de son être.
Pant retourne sa peau comme on retourne une peau d’orange ; il se considère de l’intérieur. Tout est blanc. Page vierge, et pourtant il faut y voir des émeraudes...
- Emilie NOTARD
et quelques autres encore en attente de parution...
Un co-réalisé avec
Emilie notard et Catherine Bourgeois aux pinceaux, et encore quelques
autres
Ces derniers temps mon plaisir consiste à travailler avec des peintres
Marlen Guérin, Catherine Bourgeois, Edine, et maintenant Chris
(voir sur le blog myspace) ou sur pant.savarts.com mon site
Illusion, mots posés, mots non reposés. Illusions, et silence. rien ne sert ? Rien, ni l’amour, ni aucun chemin. Nil les larmes au long fleuve sur les rivages de feu asséchés. Rien. Ne veut que le coeur et ne rien affoler, ne rien à voler, nos chairs, vers nos chères à se parler loin.
Dans les mots qui ceux recueil l’ombre, dans les coeurs d’Elles qui ont plumes à fer, oui à faire, pour s’inscrire pour l’écrire, pomme gravée à l’aube pour des poseurs d’or.
un défilé et des soupirs, en franges sur l’horizon, et nos idées rodent sur les rives d’une mer immobile. Entourés de tenailles nous marcherons ensemble, les peupliers sur le bord, comme corps déliés d’une nouvelle aube, vers une nouvelle Ode. Sur le sable pris.
La Fille-serpent
Marlen Guérin
À portée de vue comme sur dix doigts
je sais que toi là sur ma paume acculée lentement
tu rodes
et dans l’isolation funeste c’est indécent le reste
oui c’est bien c’est indécis que ça frôle l’insolation
Go dance please ta
dernière chance
Go
À portée de courage je t’ai vu remonter le long de mes dits
doigts
toi ma fille-serpent
c’est quand tu arrivant sur l’épaule te serres non ce n’est pas morose
dans quelques anneaux pour dire quelques années
ta salive à la pointe bifide
Et tout ce que je souviens du rouge sur tes mains ou mes yeux
souterrains
c’est deux muscles que la solution s’arrime
Toi ma fille-serpent
Sur le fil de nos retrouvailles tout est encore question d’âme
dans le vent
dans le vent et nobody else
ne saura être une star dans nos amour-railles pour de nouveaux
trains-trains et d’autres lendemains
se relire se relire et ne plus se dédire quand toute la mémoire
s’inscrit sur tes écailles
Go dance please ta
dernière chance
Go
À portée de nous veuve de la tempête oui prend en encore un
nouveau
cliché regarde ce ciel new life pour une neuve décision mais sont-ils
là tous les soldats comme la dernière chance derrière de nouvelles
apparences
Jeune mademoiselle il y a un autre temps pour se relire Ô que ce calme
laisse loin le présage il y a trop de force quand tu me serres on top
Oui je me souviens si c’était hier jour de lumière
je suis lâche tout est larme quand je me retourne elle frappe mes
paupières
et quand je derviche en tournant jusqu’à Milan
je suis lâche et tu me freines
jusqu’à l’arrêt
juste ça
l’arrêta
lÃ
Maria
Le jour est loin et j’aimerai bien danser
prendre de la nuit tous ces mouvements que tu apposes
Maria toi ma gitane
Tu t’allonges presque et ta robe drape à peine ce qui me
donnera prise sur ton coeur
même si tu étais à mes pieds non je te relèverais car tu es si belle Ã
danser
que j’en sens les mille dangers tout tes petits soldats
à l’enceinte de mon Je
et si quelques vents lunaires te dorait les épaules
l’argent qui y serait posé n’ornerait que tes lèvres
et même si tu disparaissais
j’apprendrais à courir après mon coeur
Et si ce pauvre gardian te voyait
celui qui pleure dans mon corps oui s’il te croisait
sur cette charnelle épaule il ferait pleuvoir
une marque grise qui ensorcelle les belles
et ferait fondre de tes yeux toute peur
Comme c’est étrange te revoilÃ
toi ma sorcière reine à soldats
sur laquelle lÃ
je referme vite les bras
sur toute ta beauté
Pant
Create your own visitor map!
Myspace.com Blogs - Je suis né là - Pant MySpace Blog
http://blog.myspace.com/index.cfm?fuseaction=blog.view&b logID=367030100&Mytoken=B2F27256-8682-42E8-B988C9733C63D C2914077232