Quelques bribes dans le désordre, de ce qui fait que moi je suis moi :
Je m'appelle Yael, qui est un prénom de fille même sans e à la fin.
J'aime autant la mer que le désert que les rivières que les forêts.
Ma couleur favorite s'étale sur toute la gamme qui se trouve entre les rouges et les bleus.
J'aime le vent et la pluie, mais je ne supporte pas les parapluies (sauf s'ils sont transparents).
J'affectionne particulièrement les éclairs, mais depuis que j'habite au cinquième étage, il m'arrive de prendre peur pendant les orages.
Je suis made in Israël, mais j'habite Paris depuis quelques années.
J'ai toujours rêvé de l'ailleurs, mais je suis arrivée en France un peu par le hasard et le cheminement de la vie. (Et sacrés Français, je vous aime beaucoup même si vous faites souvent la gueule et vous vous plaignez de tout constamment).
J'ai horreur de la guerre, mais je ne suis pas pacifiste.
Je suis en colère pour l'état de choses dans le monde, mais je crois que la colère peut être très dangereuse.
L'ignorance, la peur et la colère sont à mon sens les ingrédients du cocktail explosif qui mène aux conflits les plus tragiques.
Il m'arrive de pleurer en écoutent les infos.
J'adore les fruits, surtout les fruits exotiques et les agrumes.
J'ai grandi en face d'un verger d'agrumes. Ce verger n'existe plus, mais je le porte toujours en moi et ça m'aide énormément dans les moments de doute.
La dernière fois que j'ai grimpé sur un arbre, c 'était il y a un an.
Le premier objet de mes fantasmes érotiques était Superman. J'avais 6 ans.
Je suis passionnée par les langues et j'espère toujours continuer à en apprendre.
Je parle couramment l'hébreu, l'anglais et le français. Je peux baragouiner en italien mais seulement quand je suis en Italie.
J'essaie de garder mes distances avec les dieux mais j'ai souvent l'impression qu'ils se moquent bien de moi.
L'hiver de Tel-Aviv me manque. À paris en hiver, j'ai plutôt tendance d'hiverner.
Je suis extrêmement bordélique, mais néanmoins douée pour mettre les choses dans l'ordre ou l'ordre dans les choses.
Je n'aime pas les étiquettes et ceux qui les collent.
La pensée linéaire et binaire de certains m'ennuie terriblement.
La vision du monde qui consiste à la division entre Nous et Eux me met hors de moi.
Je ne suis jamais aussi heureuse que quand je danse.
Je suis fantaisiste, mais je me confronte à la réalité au moins une fois par jour.
Je suis noctambule.
On me dit souvent que je suis intimidante au premier abord. Je ne sais toujours pas pourquoi.
Je me suis toujours senti étrangère et étrange, une exilée de naissance. Ce sont les livres, les films et la musique qui me permettent de trouver une appartenance.
Faire des photos est aussi une manière d'appartenir dans le monde.
J'ai commencé de faire de la photo quand j'avais 16 ans parce que je voulais me rapprocher des gens. Je crois que c'est toujours ça qui me motive.
VOUS TROUVERZ PLUS DE PHOTOS SUR MON BLOG.
CHECK OUT MY BLOG FOR MORE PICTURES.