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Texte de Coup pour coup R.Freche______ Musique C.Larroque.R.Freche_______Dans la manche G une arme blanche qui se déclenche et tranche la trachée des tricheurs beaux parleurs du téléviseur que j'ai dans le viseur 0078. Tenue blindée, beau gosse, venu parler de revanche aux gosses avec qu'une hanche et une hache pour chaque fautif que j'attache par les tifs et que je traîne à fond sur le périf. Vas-y approche gavroche, voici mon accroche sous hasch à la croche, je crache des lyrics trash, comme l'ambiance d'un dimanche en Ile de France. Dans des villes asiles où l'on dévient facile, dans la démence et le déli de faciès pour les fascistes qui dénoncent lors des audiences auxquelles ils assistent. J'atteste d'une triste romance qui a pour récompense des coups de violence et leur résonnance aux urgences. Ca suit le cours de l'essence, et le coût de l'existence mais ausi la baisse de la croissance ainsi que des croyances Est-ce des coincidences, des coups lourds de conséquence? C'est pour ça qu'on séquence la sentence sans latence, avec une syntaxe digne de la résistance, synthèse d'un système voué à la potence. REFRAIN X2 (Hè keum si t'as "ken" ma chienne, j' "ken" la tienne sans problème. Coup pour coup, jusqu'à ce que les sirènes se ramènent et même le score est le même, c'est toujours mon hardcore qui mène saigne l'hymen du domaine puis domine la race humaine.) Autodidact, mon style se raque autour de dix sacs à la FNAC hostile au rock, mon stylo braque, traque, comme un toxo au crack dans un cul de sac. Guette, Oze "back" chez le disquaire, sa mère, je porte les traces, les impacts des crasses qu'on m'a faite par derrière. Ok, c'est la guerre alors mes attaques sortent, et portent les coups de grâce aux ex-frères, avec un discours sans escorte, semant la discorde auprès des vautours alimentant les alentours d'Elancourt qui pour couper court, dissèque la barbaque dare-dare sur le tarmac, à coup de matraques, j'en ai rien à battre d'être une star chez les cafards, dès le couffin j'insultais les "Schtars" de batards cousins.Bavures, des baveux, pour zèle de bravoure, Barbares qui nous entourent de tout : radar, tour, "rodav" comme le départ de l'espoir du territoire. Résistant dans le 78 rugissant, ça te rend vivant ou envieux, tout dépend si le ciment prend, mon vieux. Pour eux j'en veux à s’ y méprendre sur ce que je leur laisse entendre. Mais plus rien ne m 'émeut, même les mamies prennent de la "meu-meu"et tant mieux, Many, si la vie de martyr n'a pas de prix, de prise, de temps mord, ni de mi-temps au mitard,matez mon teint, c'est pas celui de la Motown Alors oui j'en ai franchi des montagnes pour monter ma gagne puis monter la garde à la gare quand ça se tape. Le gwer est gore dans son sport, fourni l'effort si tu en veux encore. Porc, les rudiments du rap, on les apprend dans des rues démentes du matin au soir entre Voisins et Jusbar, à coups de "sparvar" de rasoirs et de coups de guitares dans les phares,trop fort. Micros, textes, trasch, un, deux, ceux qui veulent, testent le clasch, reviennent "maindeu" pour le test crach. En"indé" R.E.N.O.S.O.L.O" j'fais mon show parce que y'a "sonneper" pour t'aider à blinder le frigo désert de déssert comme si c'était l'embargo de chez Castro. En bagui cainri les MC ambigus qui causent trop sont castrés comme ces Feujs qui font les beaux dans un porsche de boch ou un Merco Merci mais je porte mon fardeau avec un lumbago au dos. C'est rigolo les faux sont gigolos, flashent avec leurs sapes "falsh" comme celles du pape, dun mac ou de mon cousin mesquin, gamin tu mérites bien des coups de surin, soudain tiens ton soutien.NOUVEAU CLIP Oze musique

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