Près de toi, ma vie, des frictions alcoolique use ma peau, excuses mes rêves, je me sais désespérément réelle.
Nue de béatitude, avec pour seuls arme, cet connerie éclipse, pourquoi ne pas abandonner mon corps, fuir vers de paradoxales no man’s lands ?
Je dis NON
Dans ce lit charnel
où je fume mes songes, je crie.
Trop d’ordre, je ne peux plus supporter ma stabilité !
Il faut vite briser, mes rêve sans sommeil.
Tes commentaires
Je ne les digérais pas je les garderais en moi, éclairant ma masse grise de ta réalités, remplissant mon livre d’images.
Je suis tu ais, c’est l’essence mémé, le moteur de somme…la définition
Marque-moi. Fragmente ce que je ne suis pas. Délie tes mots, votre essence, ma croix, laisse toi pénétrer par mon cosmos, saoule-toi de mes peut-être, tes pas, arrache ta matérialité.
Oublie les lois cadenassées, ces amarres trop tangibles,
et entraîne-toi vers les niveaux aveuglants, si loin, avant que tes yeux ne s’évadent, que ma peau ne me perde, que la ciguë ne s’osmose.
Que la nuit se sublime, unissons nos éternités pour quelques secondes…
Pour étalonner la différence de degré et de nature entre le bonheur et le plaisir, mémé simple hasard, Nous n'avons besoin de morale que faute d'amour …et j’aime,
sa me tueras peut-être,
seul l’amour des autres nous sauve,..
et geulerais jusque à mes 100 ans,
" dans quel monde vivons-nous".
vive la connerie
..