Cristina Violle est une «carioca bahianaise» qui a su absorber deux tendances musicales différentes tout en gardant leurs particularités et similitudes : le Rio de Janeiro des écoles de samba, la Bahia des afro-samba-reggaes.Elle est aujourd’hui le portrait d’une artiste brésilienne proche de ses racines africaines. Elle le porte dans sa voix, chaude et puissante, qui nous transporte sur les sensuelles et trépidantes mélodies brésiliennes. Sa personnalité séduit autant que ses talents d’interprète.Cette pétulante chanteuse s’est fait reconnaître et apprécier grâce à un parcours scénique éclectique. C’est ainsi que l’on a pu la découvrir.1995 Dès son arrivée en France elle représente le Brésil au Festival de la Musique Sacrée Afro-brésilienne à Paris (Groupe ALAFIA).
Puis elle participe au spectacle d’ouverture des MTV European Music Awards’95 au Zénith.Elle poursuit son travail scénique en se produisant dans différents cabarets parisiens et réalise parallèlement un travail en studio pour le CD du chanteur africain GOOMIS SERRY.1997 Elle fait découvrir son spectacle à travers toute la France et termine son périple en Corse. De retour à Paris elle apporte son expérience musicale au groupe TUPI NAGÔ en tant que chanteuse. Avec ce groupe, elle animera la fête de la musique à Paris (place de la République) pour ensuite entamer une tournée européenne : en Italie, dans le cadre du Festival Latino Americano et au Portugal, pour le Festival d’Expression de Rue.1998 Elle cumule sa carrière solo avec celle du groupe TUPI NAGÔ. Elle se produit à nouveau dans plusieurs cabarets parisiens : Brasil tropical, All Jazz Club, Divan du Monde, Café de la Musique, Satellite Café, New Morning, Blue Note. Elle fait vibrer aussi le Village Brésil lors de la Coupe du Monde de Football et part en tournée en Afrique pour le Ier Festival de Percussion (Conacry).Elle rejoint le Festival World of Music Awards’99 et poursuit également son activité en studio, avec l’enregistrement du nouveau CD TUPI NAGÖ «ABRACADABRASIL». Avec eux elle participe à plusieurs festivals : le Printemps de Bourges, les Francofolies de La Rochelle et le Afro-Pfingsten en Suisse.
Elle continue de faire parler d’elle avec une activité musicale débordante. Du nord au sud on entend ses rythmes tropicaux : au Maroc et en Egypte, en Allemagne (Cologne) pour le carnaval et en Ile de France (Vanves) pour le festival « Le Chorus du Brésil ». A Paris, elle partage la scène de la Cité de la Musique avec Paulo Moura, un des maîtres de la MPB (Musique populaire Brésilienne).
Elle prépare actuellement un CD de compilation MPB : un mélange des nouvelles tendances musicales brésiliennes sur fond de bossa nova.
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