par Sandra Boré
Né de la rencontre de musiciens de Tarace Boulba, Gettabang, Mamienco, V.R.O.U.M. et Moon Zaïa, Omega voit le jour sur une côte du Finistère en décembre 2005, autour de morceaux sous influence du label new-yorkais Tzadik.
Trois ans, des dizaines de concerts, deux maxis enregistrés (dont 4 titres enregistrés fin 2007, disponible sur demande et aux concerts) et quelques changements de formation plus tard, Omega propose désormais une musique issue du jazz contemporain, composée essentiellement par Michael Havard (sax) et Jennifer Quillet (tp) et ponctuée de soundpainting. L'énergie dégagée par le groupe est très communicative et les influences sont aussi à chercher dans les musiques traditionnelles (klezmer, Maghreb, Ethiopie), le hip-hop et le rock'n'roll.
Les cuivres (soubassophone, trombone, trompette), les bois (saxophones, clarinettes), l'accordéon et la batterie montent ainsi au front pour lancer un son dark-jazz-groove offensif et décalé. Les musiciens vous baladent dans leur univers étrange et vous offrent des visions tour à tour ensoleillées et beaucoup plus sombres... L'envie de taper du pied, même sur des rythmes impairs, vous invite à rester dans la danse, jusqu'au bout de l'expérience...