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Frere
Est ce qu’on se reveille different
Quand on a passe la frontiere
Est ce que le ciel est plus clement
Loin d’une terre de misere ?
Combien le poids d’un regard
Combien le prix d’un sourire
Combien de chance separe
Un lourd passe d’un pire avenir
Freres, tu crois ?
Freres, de quoi ?
Freres, o de si peu
« Freres », dis-le-moi au fond des yeux
Passe les mers, les kilometres
Les reves tout au fond de mon etre
La-bas les blancs naissent au nord
L’avenir ici c’est la mort
Y’a des espoirs a revendre
Dans ton monde, faut me comprendre
Y’a des possibles en pagaille
Je sais, je sens, faut que j’m’en aille
Freres, tu crois ?
Freres, de quoi ?
Freres, o de si peu
« Freres », dis-le-moi-le-moi au fond des yeux
J’avais des espoirs a foison
Dans mes yeux, mille raisons
Qui me disaient : un autre pays
Si tu le veux, une autre vie
Du changement, ça, j’en ai eu
Pas de futur, present deçu
Ici nous sommes tous cousins
Mais des freres, non, pas un !
Freres, tu crois ?
Freres, de quoi ?
Freres, ô de si peu
« Freres », dis-le-moi-le-moi au fond des yeux
Freres, tu crois ?
Freres, de quoi ?
Freres, laisse moi rire
Freres, memes les familles se dechirent.
Les sacs a main
Dans les sacs a main des filles
Que peut-on bien y trouver?
Des tresors ou des broutilles
Pas facile de deviner
Mais que peut-il bien y avoir
Dans les sacs a main des filles ?
Des mots d’amour, des mouchoirs
Le dernier disque de Camille
Dans les sacs a main des filles ?
Que trouverait-on en fouillant
Pour avoir les yeux qui brillent
De l’eye-liner assurement
Mais qu’est ce qu’il peut bien y avoir
Cache dans leur sac a main
Un peigne, une brosse, un sechoir
Pas mal d’espoir pour demain
On dirait un puit sans fond
Ou un chapeau de magicien
Duquel sortirait sans fin
Des tresors d’imagination
C’est pratiquement une maison
Qu’elles trimballent a bout de bras
Un bric-a-brac, un debarras
Qui change avec les saisons
Dans leur sac a main, les filles
Que peuvent elles bien y fourrer
Des tas de babioles qui scintillent
Ça les a toujours rassures
Y’a p’têtre des choses incroyables
Dans les sacs a main des filles
Des trucs inimaginables…
Un caramel a la vanille ?
Alors attends j’texpliques : ‘ J’ai 1 ipod, 2 telephones, le dernier Paolo Cuelo, 1 ordi portable, 1 GPS, j’ai des chewing-gums, les cles de mon appart , celles de mon ex, une bouteille d’eau , mes pilules etc ….
On dirait un puit sans fond
Ou un chapeau de magicien
Duquel sortirait sans fin
Des tresors d’imagination
C’est pratiquement une maison
Qu’elles trimballent a bout de bras
Un bric-a-brac, un debarras
Qui change avec les saisons
Mais que pourrait-on recolter
Dans les sacs a main des filles ?
Des sous-vêtements qui se tortillent ?
Des vieux principes oublies
Qu’y aurait-il a decouvrir
Si on y plongeait la main?
Des vestiges, des menhirs
Ça pese une tonne leur machin
On dirait un puit sans fond
Ou un chapeau de magicien
Du quel sortirait sans fin
Des tresors d’imagination
C’est pratiquement une maison
Qu’elles trimballent a bout de bras
Un bric-a-brac, un debarras
Qui change avec les saisons
Et puis une fille sans son sac
Elle est presque un peu perdue
Elle se sent un peu vrac
Elle se sent completement nue.
Serai-je la
Dans les moments de peines
Dans les coups les plus durs
Quand s’ecorchent les veines
Que tombent les armures
Serai-je la ?
Dans le creux de la vie
Dans les moments moins bons
Quand s’oublient les envies
Quand le noir, trop profond
Serai-je la ?
Serais-je la pour ta douleur
Pour t’aider a la porter ?
Serai-je touche en plein cœur ?
Serais-je la a tes côtes ?
Aurai-je appris comme un echo
Que ta douleur est parfois mienne
Que ne suffisent plus les mots
Quand la vie se fait trop chienne ?
Au gre de tes derives
Au fil de tes oublis
De defaites passives
En raison qui s’oublie
Serai-je la ?
Au faîte de tes jours
Au pire de tes nuits
Quand le ciel est trop lourd
Sous le poids des ennuis
Serai-je la ?
Serai-je la pour ta douleur
Pour t’aider a la porter ?
Serai-je touche en plein cœur ?
Serai-je la a tes côtes ?
Aurai-je appris comme un echo
Que ta douleur est parfois mienne
Que ne suffisent plus les mots
Quand la vie se fait trop chienne ?
Aurais-je appris a demi-mot
Que la peine aussi se partage
Que même le poids de nos maux
Peut-être un plus leger bagage
Quand il est porte a plusieurs.
Serai-je la ? Serai-je ailleurs ?
Chasseuse d'etoiles
Fille de l’ombre, entre luciole et papillon
C’est votre ciel en decombre qui me sert de maison
Je virevolte, mon nez balaie les poussieres
Je me balade, je suis chez moi dans l’univers.
J’ai mon terrain de jeu au-dessus de vos têtes
Mes amis de fortune se prenomment cometes
Quand je regarde en bas, quand parfois ça m’arrive
Je pleure un petit peu, pauvre terre chetive
Je chasse les etoiles, j’apprivoise la lune
Le ciel est un desert dont je connais les dunes
J’y pars en promenade mon filet dans le dos
J’attrape des lumieres, les relâche aussitôt
J’ai dompte facilement Venus et la Grande Ourse
J’ai double plus d’une fois Pegase dans sa course
Mes souvenirs s’emmêlent aux notes de la lyre
Que les Gemeaux me jouent le soir pour m’endormir
Les terres eloignees je les connais par cœur
Les anneaux de saturnes, les soleils enchanteurs
Au fonds des galaxies j’ai cache des collets
J’y ai trouve un jour la belle Cassiopee
Je chasse les etoiles, j’apprivoise la lune
Le ciel est un desert dont je connais les dunes
J’y pars en promenade mon filet dans le dos
J’attrape des lumieres, les relâche aussitôt