Artiste plasticienJe ne peux nommer de manière déductive mon exorde dans l’art.
Une post-observation suggère une ,,uvre qui implose, inverse les composants de la « libido ».
Est-ce l’environnement externe qui se rapporte indirectement ou directement à la libido et qui agît sur mes pulsions internes et externes ? Ou suis-je un sujet emprunt à celle-ci ?
De cet « Etat nodal », mon art se construit, évolue, et se modifie dans son expression.
Mon théâtre fait appel à différents corps d’expressivités : technique-plastique-esthétique, dont la mission se réduit à celle de ne rien perdre de la particularité émotionnelle de la collision, soit reçue ou soit provoquée, et d’en restituer la magnitude.
La machination des ouvrages intemporels du « Marquis de Sade », en miscellanées à celle de ma main armée du scalpel de mon infamie vont étinceler une antinomie la monstruosité complexe de l’homme et celle de la femme.
Analyser cette habileté d’infliger une sévère correction à l’espace, au nerf général de l’oeuvre et d’en amplifier l’ampleur de part la mise une scène privée.
Je structure une oeuvre qui souligne certaine réalité : où la satisfaction de nos besoins instinctifs singuliers est incompatible avec le bon fonctionnement de la société.Par des mots qui se tirent entre eux, des costumes traités avec la minutie de terrer toute notion de spontanéité, un maquillage émaciant la façade pour celui du corps originel, une coiffure minimisée ou abusé, des décors accablés d’un réel malaise de faim affectif.
Ces « tous unis» par la technique de la photographie, image par image, puis emboités en une animation.
Au final deux identités en scène « Jeannette & Janicole ».
Ci dessus Jeannette éclairée aux paupières bleu.
Je cherche des personnes pour le montages de ce projets qui travaillent ausi bien que Matthew Barney dans le traité de l'image.
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