Il y’a bien longtemps, bien apres qu’Alice quitta le pays des merveilles, le Chapelier fou, lasse de passer son temps a boire du the, decida de partir explorer le monde. Apres de folles aventures et rencontres exceptionnelles, le Chapelier fou decida de monter le plus grand Big Band de l’histoire de la musique : Le Grand Orchestre symphonique et cacophonique du Chapelier Fou. Il y’eut a la premiere de leur concert plus de 300 personnes (Dont 299 jouaient dans le groupe) On pouvait y entendre en vrac : des guitares, des violons, des soubassophones, des cadres de velo, des tambours et meme des instruments tres rares tel que le Poum poum tchak, le Choubidoua ou encore le Tagada Tsointsoin.
Ce premier concert fut egalement le dernier. Emporte par la musique et l’immense vacarne, les musiciens et le public se deverserent dans la rue pour jouer jusqu’a la fin de la nuit et disparurent sous les bravos et les Hourras.
Dans cette salle, neuf musiciens, qu’une tel experience avait epuises et qui s’etaient endormis, se reveillerent et abandonne par leur groupe et leur chef d’orchestre deciderent de continuer et de parcourir le monde afin de retrouver tout les musiciens egares En hommage au groupe ils se baptiserent le Petit Orchestre de Poche du Chapelier Fou.
Cree en septembre 2005, ils parcourent a present les rues et les cafes et cherchent a recreer l’ambiance de l’epoque en invitant a chaque concert des amis et des potes musiciens, jongleurs magiciens et danseuses.
Fussent les textes bien ecrit, ils feront de la chanson Francaise un jour. Bien que certains claquent des doigts en les ecoutants, ils se refusent a faire du swing, musique absolument decadente. Il y a beaucoup trop de notes dans le jazz et aucun d’entre eux n’a les cheveux assez long pour faire du Black Metal Gothique et Atmospherique ( Si, si ca existe). Aussi apres bon nombre de consultations, discussions et debats, ils se considerent comme
Une pale copie de Brassens mais en plus rythme, de Django mais avec moins de guitare, des tetes raides mais qui ressemblerais plus a Karpatt, de Robert Johnson mais en plus nombreux.
Enfin bref, il ne peut s’agir la que d’un simple groupe qui remercie leur aines d’avoir cree ce qu’ils ont amplement massacres