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Arrivé ici par : . Hasard . Erreur . ce que vous avez cliqué sur n'importe quoi sur le profil d'Orkidhion
Qui suis-je ?
"Tu ressembles à la copine de Popeye." (Pour les traits physiques, c'est réglé.)
"Une fille digne de ce nom vs avez le label rouge. " (Ca y est j'ai mes règles "je suis une femme!!!", pour l'âge c'est donc à peu près ça)
"La petite image brillante sur un fond noir, le petit carré à côté d'une fenêtre, sur mon ordinateur ?" (J'ai une webcam mais je n'ai pas de forte poitrine. Donc rêve pour me voir)
"un mot anglais par s : sausage"
"C’est pour faire un acrostiche avec Washere car je ne sais pas comment structurer mon profil donc je vais faire : une lettre une partie"
"donc saucisse... c’est tendu lol, sympathic sinon, mais vu comment tu es habituellement, tu dois avoir plus à dire dans sausage."
En bref : je suis une fille qui suce quand elle perd au démineur, qui mouille quand elle entend Orkidhion, encore plus si elle les voit fumer, d'autant plus si c'est un blond. J'ai décidé d'être crue ça rapporte mieux.
En bref bis : "De moi...ya rien à dire! rien ki te concerne sauf si tu veux savoir kelke chose en particulier!" Parce que j'adore cette réplique...
Utilité de ce profil : Grâce à lui j'ai réalisé le rêve de toute groupie de 14 ans, j'écoute même de la pop, j'ai eu des correspondances avec Klaus Kinski, je mets des messages sublimaux derrières mes phrases. Donc en gros, ce profil est le lieu pour satisfaire un egotisme grandissant, plus un panneau publicitaire. (certes, ce n'est pas encore ça...)
J'ai négligé DiOgène dans ce profil alors pour me rattraper quelques mots brillants que j'ai trouvé à leur sujet :
" diogén sa alR tp bon mé fodré ke C[censuré pour ma sécurité] mface ékouT En tt K C 1 bon blog" et puis également "merci beaucoup l[censuré pour ma sécurité] de me les avoir fait découvert ..." Heureusement que ce n'est pas dans ce groupe qu'il y a un professeur de Français
Voilà tout est dit.
« Si le rayonnement des milliers de soleils irradiait dans l’instant le ciel dans toute sa splendeur apparaîtrait le Tout Puissant… Je suis Shiva, le destructeur des mondes ! » Grand amateur de poésie Indienne sacrée, le physicien Américain Robert Oppenheimer déclare ces quelques mots à l’assemblée triée sur le volet. Puis une lumière éblouissante foudroie le désert du Nouveau Mexique, à l’aube de ce juillet 1945. Le général Thom Farell est parmi les témoins. "Nous partageons, écrit-il, le sentiment d’assister à la naissance d’une nouvelle ère, celle de l’énergie atomique (...), d’une force gigantesque déchaînée pour la première fois de l’Histoire. Moins lyrique, l’ingénieur responsable des essais murmure à l’oreille d’Oppenheimer : « A partir de maintenant nous sommes des fils de putes. »