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Alwijn

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Le groupe Alwijn étant dissous, nous ne donnerons plus de concert. Merci à tout ceux qui ont suivi notre aventure et nous ont soutenu.Floydement vôtreCédric.Once upon a time...Alwijn a vu le jour en avril 2002, grâce aux talents d'entremetteur de David Hennion (batterie), qui permit à Xavier Plantefève (basse) et Cédric Cavenaïle (guitare), tous deux fans de Pink Floyd, de se rencontrer. Comme souvent, quand trois musiciens se retrouvent ensemble, ils décident de jouer. Les premiers morceaux à venir tout naturellement sont ceux du Floyd : en moins de deux répétitions l'intégrale de Dark Side Of The Moon est jouée, l'idée de devenir un groupe tribute leur traverse l'esprit. Groupe tribute bien particulier : David connaît mal le Floyd. Plutôt que de commencer une analyse minutieuse de chaque note de batterie, le parti est pris d'y amener une touche perso et une base rythmique tenant plus des Who et de Led Zeppelin, comme aime à le dire Xavier.Originalité toujours : non contents de reprendre une musique qualifiée de bizarre, ils décident d'affubler le groupe d'un nom tout aussi énigmatique. C'est en mai 2003 qu'Alwijn voit officiellement le jour. Pour des explications supplémentaires, s'adresser au monsieur à la quatre cordes qui vous parlera de tout cela bien mieux que moi Un nom, une musique, un sonorisateur (Julien Barbez), ne manque plus qu'une chose essentielle aux trois jeunes hommes : un claviériste. Mais puisqu'il n'y en n'a pas, autant faire sans. En juin 2003, c'est avec le trac et à trois qu'Alwijn monte pour la première fois sur scène, histoire d'interpréter des classiques tels Echoes, Dark Side Of The Moon (en entier) et autres morceaux datant de la période 1968-1973.Alors qu'ils commencent à désespérer sérieusement, les membres du groupe sont contactés sur internet par Adrien Fontaine, qui, dès octobre 2003, va venir s'installer pour de bon avec son clavier. Tout comme David, il connaît mal Pink Floyd, mais il en faut plus pour le refuser. Alwijn va en être totalement modifié et au simple plaisir de jouer va venir s'ajouter une volonté d'aller plus loin. Depuis 2004, le groupe multiplie les concerts et commence à se faire un nom. Preuve qu'ils sont sérieux : ils enregistrent une maquette en mai 2005 et ont depuis décidé de sortir hors des frontières du Nord - Pas de Calais. Le répertoire s'est agrandi et va aujourd'hui de 1967 à 1975, de quoi (re)découvrir les différents avatars qu'a revêtu cette musique si particulière. Il ne reste plus qu'à voir ce que l'avenir leur réserve...Alwijn, qu'est ce que c'est ?Un groupe tribute bien sûr. Mais pas un groupe tribute comme les autres. Contrairement à un grand nombre de leurs confrères, les membres d'Alwijn ont fait le choix de ne pas déployer un attirail visuel grandiose. Ici, point d'écran géant circulaire, point de lasers, point d'effets spéciaux impressionnants. Si Alwijn devait avoir une devise, elle ressemblerait à quelque chose comme : " La musique avant tout ". La force d'Alwijn est d'avoir su transformer certaines faiblesses en atouts :Jouer à trois ? Aucun problème : une bonne dose d'énergie et de rock leur ont permis de reprendre du Pink Floyd avec une puissance inhabituelle. Puissance conservée avec l'arrivée d'Adrien, qui ne fait qu'ajouter un peu plus de folie à l'ensemble.- Deux membres sur quatre ne connaissent pas ou peu Pink Floyd ? Bien que cela puisse sembler embêtant pour un groupe de reprises, il faut aller au-delà de ce préjugé. Car Cédric et Xavier, qui connaissent bien leur affaire, vous diront qu'entre 1969 et 1973 tout n'était qu'improvisation et recherche musicale pour Pink Floyd. Et ça, Alwijn sait le faire avec un talent qu'on ne peut pas lui retirer. Transformant, modifiant le thème d'origine, ils arrivent à produire de longues improvisations passant par tous ces styles qu'ils aiment et qui les rendent si uniques. Jazz, rock, parfois même funk, le groupe a la rare capacité d'arriver à faire bouger ses auditeurs lors des concerts. Et avez-vous seulement réussi une fois à danser sur du Floyd ? Avec Alwijn, c'est maintenant faisable !- Un groupe tribute est forcément une pâle copie du groupe qu'il reprend ? Si vous recherchez un groupe qui fasse du note à note, Alwijn n'est pas pour vous. Par l'improvisation le groupe s'émancipe de ses illustres modèles pour se réapproprier leur musique et en faire quelque chose de personnel. Quel plus bel hommage que celui-ci : par la compréhension et l'amour de cette musique, Alwijn l'ouvre vers quelque chose d'autre, la réarrange, la réactualise, la dynamise. Écoutez bien : la guitare claire et puissante ponctuant parfaitement chaque envolée. Maîtrise et force tranquille, autant dire que Cédric n'a rien à envier à David Gilmour Écoutez encore : la basse diaboliquement présente, un groove à vous faire danser immanquablement, technique parfaite et classe très british. Voilà comment Xavier revisite et enrichit les morceaux qu'il reprend. Écoutez toujours : le rythme martelé par David qui frappe sur ses peaux avec tant d'intensité qu'on a l'impression que le Floyd a toujours été un groupe qui faisait un rock violemment planant. Imparable, presque radical, le beat à l'état brut, on est loin de Nick Mason ! Et enfin, écoutez ces nappes qui enveloppent l'ensemble, lui donnant un petit plus de douceur ou de folie. Bien qu'encore timide, Adrien nous réserve des surprises, vous pouvez en être sûr(e). La force tranquille qui ne demande qu'à se déchaîner quand la musique prend le dessus. A suivre donc, vous n'avez pas fini d'être étonné(e)Une dernière chose : ne vous attendez pas à entendre du tube : ici, pas question d'Another Brick In The Wall ou de High Hopes. Alwijn a fait le choix de remettre en pleine lumière des morceaux peu entendus en live (Atom Heart Mother, Let There Be More Light), voire jamais (Corporal Clegg, The Nile Song), mais aussi de rendre hommage à un groupe devenu légendaire en reprenant des grands classiques (Echoes, Shine On You Crazy Diamond). Là seule exception " tubesque " se fait avec Money Mais que voulez-vous, quand on a commencé par reprendre l'intégralité d'un album comme The Dark Side Of The Moon, peut-on vraiment faire l'impasse ? Alwijn s'intéresse avant tout à la période 1967-1975, de Syd Barrett à Roger Waters. Et en indécrottables puristes, ne vous attendez pas à les voir s'attaquer aux années 80 !Par Psychedd, rédactrice du webzine B-Side Rock www.bside-rock.com MyGen Profile Generator

My Interests

Music:

Member Since: 06/09/2006
Band Website: http://www.alwijn.net
Band Members:

Guitars and Vocals : Cavenaile Cédric Drums and Vocals : Hennion David Keyboards, sampling and Vocals : Fontaine Adrien Bass and Vocals : Plantefève XavierMembre annexe Sound : Barbez Julien Light : Robiolle Cédric
Influences:
Extrait d'Atom Heart Mother aux jardins des retrouvailles le 11 juin 2005 à Lille


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Extrait d'Echoes à l'Irish Bar le 9 décembre 2005 à Marquette-Les-Lille


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Sounds Like:

Tracklist

Astronomy Domine - Lucifer Sam - Interstellar overdrive - Julia Dream - Arnold Layne - Let there be more light - Set the controls for the heart of the sun - Corporal Clegg - A saucerful of secrets - The Nile song - Crying song - Green is the colour - Cymbaline - Carefull with that axe eugene - Atom Heart Mother - If - Fat Old Sun - Sunny side up (extrait de Alan's psychedelic breakfast) - One of these days - Echoes - Speak to me/Breathe - Travel sequence (on the run version '72) - Time - Breathe reprise - Great gig in the sky - Money - Us and Them - Any colour you like - Brain Damage - Eclipse - Shine on you crazy diamond part I-V - Wish you were here - Shine on you crazy diamond part VI et VII
Type of Label: Major

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